jeudi 24 avril 2025

Sous le gouvernement du Saint-Esprit par T. Austin-Sparks

Transcrit d'un message donné en mars 1962. Ceci est un extrait, la transcription complète se trouve dans le livre intitulé « La Voie du Saint-Esprit ».

Son visage… comme un silex… pour monter à Jérusalem. Vous voyez ce que cela signifie ? Tout cela était impliqué… nous le savons et Lui le savait, mais Il a résolument fixé Son visage comme un silex, pour monter à Jérusalem ; Il est engagé. Il est engagé ! Il est sous le gouvernement de l'Esprit.

Vous savez, quand on voyage en avion, quand on voyage sur de longues distances en avion, il y a toujours un point que le pilote sait être le point d'où il n'y a pas de retour en arrière. Nous sommes allés trop loin pour faire marche arrière ; il serait bien plus fatal de faire marche arrière si quelque chose tourne mal que de continuer. À partir de maintenant, la seule chose à faire, quoi qu'il arrive, c'est de continuer, nous sommes engagés. Jésus a parcouru tout le chemin depuis le jour où l'Esprit est descendu sur Lui ; Dans Son cœur, Il était allé jusqu'au bout, sans retour en arrière possible. Il était déterminé, résolu.

Je le répète : une vie sous la conduite du Saint-Esprit est une vie engagée, sans retour en arrière possible. Avez-vous atteint ce point d'engagement ? Avez-vous vraiment atteint ce point d'engagement ? Comme on dit, tous les bateaux ont brûlé, tous les ponts avec le passé ont été détruits, explosés ? Engagés. Le vent a pris le dessus, l'Esprit est maître : il soumet, il contrôle, une force qui soumet toute autre force en nous. Toute autre force ! Nous verrons comment cela fonctionne dans un instant.

Alors, la première chose – et chers amis, je m'en tiens strictement aux Écritures dans ce que je dis, vous le savez – la première chose à propos du Saint-Esprit, en tant que Vent du ciel, comme on l'a vu le jour de la Pentecôte, le grand fondement de la dispensation qu'est la dispensation du Saint-Esprit, c'est qu'Il prend tout en main et exige cette place de souveraineté absolue. Vous n'allez pas vous disputer avec le vent ! Vous savez qu'il est vain de discuter avec un ouragan, qu'il est vain de tenter des conclusions avec un vent puissant et impétueux ! Vous serez soit brisés de façon désastreuse, soit brisés de façon glorieuse. Il est possible d'être brisé de façon glorieuse. Mais tout en Christ suit cette ligne : suivre l'Esprit.

L'autre chose à propos du vent, c'est qu'il choisit et suit sa propre voie. Vous ne pouvez pas lui dire où aller ou venir. Vous ne pouvez pas lui dicter son choix, ceci ou cela. Le vent choisit simplement sa propre voie et suit sa propre voie ; ainsi est celui né de Dieu, né de l'Esprit. L'Esprit exige le droit d'agir ainsi avec nous, chers amis, de choisir Sa voie avec nous et de la suivre avec nous, Il exige le droit de le faire.

Pierre est un exemple magnifique de tout cela. En un sens très concret, Pierre incarne tout ce que je dis. Ce n'est pas sans signification que ce soit Pierre qui soit la figure dominante le jour de la Pentecôte. Pas sans signification, dis-je. Quelle signification ? La signification même de Pierre ! Rappelez-vous les dernières paroles que le Seigneur a adressées à Pierre sous l'Ancien Testament, avant l'Ascension : « Simon, quand tu étais jeune, tu te ceignais toi-même et tu allais où tu voulais ; mais quand tu seras vieux, un autre te ceindra et te mènera où tu ne voulais pas. » Où tu voulais, où tu ne voulais pas ; naturellement. Vous avez ici Pierre présent avec son tempérament naturel, cet homme impétueux. Quel mot descriptif ! Avez-vous déjà renversé du mercure par terre et essayé de le ramasser, de le recoller ? Il faut le chercher dans toutes les directions, et quand on pense l'avoir, on ne l'a pas ; c'est Pierre, n'est-ce pas ? Simon, très descriptif… l'ancien Simon, son tempérament, sa constitution, son tempérament… constamment en mouvement. Frustré d'une certaine manière, il est en mouvement d'une autre. « Tu allais où tu voulais. » Le Seigneur avait bien résumé la situation de Pierre, n'est-ce pas ? « Où que tu veuilles, tu as tracé ta propre voie ; tu as choisi ta propre voie, tu as suivi tes goûts, tes aversions et tes préférences. Tu étais maître de ta vie et, comme tu le pensais, de ton destin ; mais un autre te ceindra, un autre te ceindra. Tout cela relève de ton immaturité spirituelle, ta maturité spirituelle sera marquée par ceci : un autre te ceindra et te mènera là où toi, le vieux Simon, tu ne veux pas ! Cet Esprit qui te ceindra agira à l'encontre de ta constitution, de ton tempérament, de tes dispositions, et t'empêchera de faire ce que tu veux ou ce que tu es disposé à faire, un autre te ceindra.» Le vent choisit sa propre voie, la suit, ainsi est né de Dieu…

Le jour de la Pentecôte, Pierre fut ceint de la puissante ceinture et la bataille entre le vieux Simon et le nouveau Pierre commença ! Comme vous le savez, Actes chapitre 10, Pierre priait sur le toit ; après avoir jeûné et prié, il eut très faim, tomba en transe et eut une vision. Vous vous souvenez de l'histoire du drap descendu, plein de créatures impures. Et une voix : « Lève-toi, Pierre, tue et mange. » Le vieux Simon se lève et dit : « Pas ainsi, Seigneur ! » Comme on mélange les choses, n'est-ce pas, quand on entre dans ce monde de la nature : « Seigneur… » ce mot ne suffit pas, ce mot ne suffit pas quand c'est nous qui disons « pas ainsi ». On ne peut pas dire « Seigneur » et en même temps « pas ainsi ». Et cela se reproduit trois fois, et la vision passe, Pierre est appelé, et vous connaissez la suite de l'histoire, n'est-ce pas ? Voici arriver les trois hommes de Césarée et le centurion Corneille, qui frappent à la porte… Lisez l'histoire, je n'ai pas le temps de la relire.

Pierre était ceint ; le Seigneur dit : « Va avec eux », va avec eux ; l'Esprit dit : va avec eux. L'Esprit dit : va avec eux ! Ce fut un casse-tête pour Simon, mais il était ceint et il entra – dans la maison d'un païen ! Au milieu des païens ; des bêtes impures selon le rituel juif. Selon, remarquez-le bien, et vous m'avez déjà entendu le dire, les Écritures de l'Ancien Testament. Il pensait avoir les Écritures de son côté, et il s'en tient à son interprétation des Écritures, elles le soutenaient. Mais l'Esprit faisait quelque chose ; voyez la contradiction avec les Écritures elles-mêmes et avec toute sa position ! Oh, je sais le danger de ce que je dis, mais vous voyez où je veux en venir. Le Saint-Esprit sait ce qu'Il fait et exige la souveraineté absolue en la matière, car ce n'est même pas notre interprétation des Écritures qui est définitive, mais l'interprétation du Saint-Esprit. Et très souvent, en cheminant avec le Seigneur, nous en arrivons à un point, oui, à plusieurs reprises dans notre vie, où nous devons dire : « Je dois faire un ajustement là-dessus. Je croyais très fermement ceci et cela à ce sujet, mais je dois m'adapter, le Seigneur m'a demandé de changer d'avis. »

Il y a quelques années, un colonel à la retraite, un ami à moi, avait écrit des livres et des livres sur un sujet prophétique, les avait publiés ; ils étaient connus et lus partout. Il m'a dit : « Vous savez, je dois me rappeler de tout cela. La vraie vie, la lumière que le Seigneur m'a montrée et répandue sur cette question, m'oblige à changer complètement d'avis, de position sur cette question. » Il était honnête, il était honnête ! Mais il n'y a aucun doute, le Saint-Esprit avait pris le contrôle de cette question de son jeu mental sur les Écritures et leur interprétation, et c'est toute la différence entre une interprétation mentale et une révélation spirituelle.

Eh bien, voici Pierre dans la maison de Corneille dans cette merveilleuse histoire. Que faisait réellement Pierre, ou le vieux Simon, dans cette affaire ? Écoutez : il rendait le Christ bien plus petit qu'il ne l'est réellement. Et s'il y a une chose contre laquelle le Saint-Esprit est contre, c'est bien cela ! Il est contre cela. Israël, les élus… l'aristocratie spirituelle ; les Gentils, les chiens… les bêtes impures. Israël… Le Saint-Esprit dit à Pierre avec force : Jésus-Christ est un Christ bien plus grand que tout ce que tu as vu, Pierre, tu dois t'y faire. S'il y a une chose contre laquelle le Saint-Esprit est contre, c'est l'exclusivisme, ne t'y trompe pas, quand l'exclusivisme rend le Christ bien plus petit qu'Il ne l'est. C'est la tragédie d'Israël : élu, oui ! Élu, oui ! Vu les oracles, oui ! Tout cela, mais à quoi bon ? Pourquoi ? Pour le bien des nations. Un témoignage de Dieu au milieu des nations, afin qu'elles voient, croient et se tournent vers le Seigneur. Voilà l'horizon de Dieu, mais Israël…

Oh, Jonas, Jonas en est vraiment un exemple : « Va à Ninive, la grande et puissante ville.» Vous connaissez l’histoire de Jonas, mais Jonas représente la position traditionnelle d’Israël : exclusif, renfermé sur lui-même, « Nous sommes le peuple et personne d’autre ! Nous sommes les élus, nous sommes les élus, nous avons reçu la lumière, nous avons la vérité.» Mais pourquoi ? Pourquoi ? Pas pour nous-mêmes, pas pour faire de nous quelque chose en nous-mêmes, pas pour nous entourer d’une barrière, excluant tous les autres, mais pour le bien de tous les autres ! Pour le bien de tous les autres, c’est tout ! Et Israël a perdu sa position, chers amis, pendant toute cette dispensation, sur un seul point : ces deux mille ans de l’histoire tragique, si tragique, d’Israël, c’est la question de faire du Fils de Dieu, moins qu’il n’est réellement. Oh, quel est le Christ ! Ce que Dieu a voulu qu’il soit pour Israël et le monde ! Voyez-vous, c'est dans ce chapitre que les mots les plus familiers de toute la Bible sont : « Dieu a tant aimé le monde… quiconque… » Nicodème, Nicodème, tu dois naître d'en haut, de cet exclusivisme, de ce traditionalisme étroit, de cette position figée qui est la tienne. Né dans la grandeur du dessein universel de Dieu en Son Fils. Que Christ est grand ! Oh, puissions-nous être préservés d'un Christ plus petit que celui que Dieu veut nous donner. Il n'y a aucun danger à cela, chers amis, le Saint-Esprit peut s'en occuper. Mais ce que je veux dire, c'est que le Saint-Esprit, dans ce dixième chapitre des Actes, dit simplement ceci : « Je ne veux pas que vous limitiez Christ, pour quelque raison que ce soit. Vous pouvez citer Lévitique chapitre onze si vous voulez, mais je ne veux pas.» Ce que Dieu a purifié, ne le dis pas impur. La Croix a mis fin à toutes ces impuretés cérémonielles et a ouvert les vastes perspectives de la grâce à tous les hommes.

La troisième fois que Pierre est cité, voyons d'abord son tempérament, puis son fanatisme spirituel. Chapitre quinze… Paul fait référence à ce qui s'est passé dans sa lettre aux Galates, à ce qui s'est passé. Pierre est appelé à rendre des comptes par les anciens de Jérusalem. Il est, comme on dit, sur le qui-vive, devant répondre de ce comportement inhabituel, inouï. Eh bien, vous savez, nous avons cité Pierre qui résume tout cela : « Qui étais-je, qui étais-je pour résister à Dieu ? » Voilà à quoi cela revient. Qui étais-je pour résister à Dieu ? Mais il s'est passé autre chose. Pierre est à Antioche. Les Gentils d'Antioche ont été sauvés, rassemblés, l'Esprit a agi avec eux et Pierre est là-bas, dans la joie ! Il poursuit, il poursuit Césarée, la maison de Corneille, joyeusement avec les Gentils d'Antioche, mangeant et buvant. D'accord, « Mais quelques-uns descendirent de Jérusalem, Jacques et quelques autres, descendirent de Jérusalem, et quand ils furent descendus, Pierre se retira. » Pierre s'est retiré ! Pierre s'est retiré… il y a un retrait. C'est une offense dangereuse au Saint-Esprit, une violation de ce qu'Il faisait. Et Paul en a reconnu l'importance et a dit : « Je lui ai résisté en face à cause de sa dissimulation. Je lui ai résisté en face. » Simon traverse une mauvaise passe, n'est-il pas sous l'égide du Saint-Esprit ? Il l'est vraiment. Que s'est-il passé maintenant ? Voici que quelque chose de l'ancien Simon – l'esclavage de l'homme – est réapparu : « Que diront les frères ? Que diront les chefs, que diront les notables ? Je dois, je dois faire attention à ce qu'ils diront et peut-être à ce qu'ils feront. » Et ce genre de choses s'oppose à la souveraineté du Saint-Esprit ; deux choses qui s'entrechoquent, impossible.

Je suis si heureux que Pierre ait pu surmonter cette épreuve ; s'il ne l'avait pas fait, il n'aurait pas pu écrire ses deux lettres. Et il n'aurait pas pu dire plus tard, à propos de cet homme qui lui a résisté en face, « Pierre, tu es condamné, devant Dieu, tu es condamné. Tu es coupable de dissimulation.» Plus tard, Pierre écrivit : « Notre bien-aimé frère Paul… dans tous ses écrits… où il y a des points difficiles à comprendre… !» Vous voyez ? Mais il a surmonté son obstacle. Le Saint-Esprit a choisi la voie et l'a suivie, et il voit Pierre s'aligner. En entrant dans le rang, certains, remarquez, ne l'ont pas fait : « Démas m'a abandonné, il est retourné à Thessalonique. Je ne sais rien de Barnabas. Je ne sais rien de Barnabas, même Barnabas… » dit Paul, « Même Barnabas, même Barnabas, impensable ! Cher et bien-aimé Barnabas à qui je dois tant, nous devons tous tant, l'Église d'Antioche doit tant, mais même Barnabas a été emporté.» Barnabas sort du Nouveau Testament. J'espère ne pas exagérer le jugement, la condamnation, mais il y a ceux qui s'écartent du chemin du Vent lorsqu'il souffle vers ce grand et complet dessein de Dieu ; ils dissimulent, se retirent. Que le Seigneur nous sauve.

Je ne sais pas où terminer. Le Vent cherche… puis-je terminer sur ce point et laisser le reste ? Le Vent cherche et teste tout, surtout les fondations et les structures, de quelle nature elles sont. J'ai passé une grande partie de ma vie en Écosse, mon enfance et plus tard. C'est un spectacle courant en Écosse : nous avons beaucoup de pins, de forêts de pins et de pins qui poussent le long des routes, et c'est une terre où le vent souffle parfois. Et après chacune de nos grandes tempêtes, on peut aller voir ces pins déracinés, eux-mêmes à ras du sol, les racines en l'air. Avant, les gens les admiraient, en disaient de très belles choses ; quels beaux arbres ! Quel spectacle magnifique ! Et le vent souffla… et le vent souffla, testant la profondeur de leurs racines. Testant leur endurance. Testant leur résistance. Et tant de ces arbres – autrefois admirables et dignes d'éloges – s'effondrèrent, s'écrasant sur terre. Le vent souffle ! Le Saint-Esprit fait exactement cela, vous savez, mes amis ! C'est ce qu'Il fait. Le Saint-Esprit va souffler sur nous tous. L'expérience chrétienne se résume à cela : sous la souveraineté du Saint-Esprit, nos fondements vont être mis à l'épreuve ; ne vous y trompez pas, ils vont être mis à l’épreuve, ainsi que notre structure, notre construction, notre endurance, notre résistance.

Le vent souffle aujourd'hui, ma parole, il souffle sur cette terre. Voyez toutes les épreuves, voyez tous ces effondrements tragiques. Savez-vous, chers amis, que le christianisme tel que nous le connaissons va voler en éclats, en éclats absolus, et qu'il n'en restera plus rien. Le christianisme tel que nous le connaissons. Tout cela doit être dissous, dit Pierre. Tout cet ordre cosmique et tout ce système chrétien tel que nous le connaissons sont en train de disparaître. Vous dites : « C'est une déclaration terrible ! Sur quelle autorité ? » Eh bien, beaucoup ! J'ai vécu deux guerres mondiales, qu'avons-nous vu ? Je sais que c'est un exemple très simple et modeste de ce que je dis ; nous avons vu de nombreux lieux dotés d'une grande tradition chrétienne, des valeurs qui ont représenté quelque chose, tout simplement anéantis, presque pierre sur pierre. Partout, destruction ; aucune préférence, aucun favoritisme, et Dieu, où est Dieu ? Où est Dieu ? « Oh, si quelque chose devait être préservé, Dieu aurait dû le protéger ! » Non, la réponse est non ! Pourquoi ? Parce que Dieu ne s'intéresse pas aux choses. Il ne s'intéresse qu'à une seule chose. Le Saint-Esprit ne se préoccupe que d'une seule chose, chers amis, d'une seule chose, et l'histoire le confirme. Le Saint-Esprit ne se préoccupe que de Christ. De Christ, de ce qui est Christ, de ce qui est de Christ, de la mesure de Christ. Le Saint-Esprit n'a qu'un seul individu dans sa vision, c'est Christ, et il demande toujours : « Quelle part réelle de l'essence éternelle de Christ se trouve ici ? »

Vous pouvez donc aller en Asie Mineure aujourd'hui et ne trouver aucune trace des églises d'Asie, vous pouvez aller en Galatie, vous pouvez parcourir tous ces lieux du Nouveau Testament et ne rien trouver de tels lieux aujourd'hui. Or, les trois premiers chapitres de l'Apocalypse insistent sur ce point. Notez aux églises, aux sept églises d'Asie, ce que dit l'Esprit, ce que dit l'Esprit, ce que dit l'Esprit ; sept fois : « Ce que dit l'Esprit ». Le vent souffle… à quoi bon ? Juste pour découvrir, non pas si ceci a la tradition, ni ceci, ni cela, ni autre chose, ni s'ils ont un bâtiment et un lieu de réunion, ni une technique de culte, ni une sorte d'ordre néotestamentaire, MAIS, qu'ils aient cela ou non, quelle part du Christ ressuscité, vivant et exalté est ici ? Et le Saint-Esprit ira jusqu'à dire : « Repens-toi, sinon j'ôterai ton chandelier de sa place, car la lumière s'est éteinte. » À quoi sert un chandelier s'il n'y a pas de lumière ? De simples ornements qui n'intéressent pas le Saint-Esprit. Vous voyez l'idée ? La Lumière, c'est Christ, la mesure de Christ, c'est Christ, c'est Christ ! Ce que dit l'Esprit, ce n'est pas ceci ou cela : Je connais tes œuvres, tes travaux et ta patience, tout cela est très bon, MAIS !

Conformément au souhait de T. Austin-Sparks que ce qui a été reçu gratuitement soit donné gratuitement et non vendu dans un but lucratif, et que ses messages soient reproduits mot pour mot, nous vous demandons, si vous choisissez de partager ces messages avec d'autres, de respecter ses souhaits et les offrir librement - sans aucune modification, sans aucun frais (à l'exception des frais de distribution nécessaires) et avec cette déclaration incluse.



 


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