(Une courte exhortation pour nous en tant que corps et en tant que disciple du Seigneur, sans prétention, simplement par quelques points de cette lettre si encourageante! jcb)
Cette lettre est une des plus affectueuses, des plus tendres de toutes les lettres que Paul a écrites pendant son ministère. Elle déborde de joie, d'actions de grâce, une suite pleine d'effusions et d'élans de son coeur pour le Seigneur et pour ses amis de Philippes. Il était prisonnier et savait que ses destinataires passaient aussi par des temps difficiles (2.29) Lorsque nous lisons dans Actes 16 comment est née cette église, nous nous apercevons que Paul est resté très peu de temps dans cette ville. Nous voyons aussi que cette église a démarré dans la maison de Lydie, une femme! C'est très intéressant de relever ce fait. Il n'est pas mentionné que celle-ci soit mariée. Cette femme était marchande de pourpre. C'était une femme craignant Dieu. Nous connaissons la suite....
Lisons ses salutations
1 Paul et Timothée, serviteurs ( doulos, esclaves dans le texte grec) de Jésus-Christ, à tous les saints en Jésus-Christ qui sont à Philippes, aux évêques et aux diacres:
2 que la grâce et la paix vous soient données de la part de Dieu notre Père et du Seigneur Jésus Christ!
Paul salue les Philippiens sans mentionner son ministère comme dans la plupart de ses lettres. Il se déclare "esclave" de Jésus-Christ et associe Timothée à ce service pour le Seigneur. Il s'adresse en premier aux saints de l'église et mentionne ensuite ceux que le Seigneur a établi dans le ministère : les évêques et les diacres. Ce sont des saints parmi les saints avec un service pour le corps. C'est la seule lettre qui est adressée aux ministères de l'église, en les citant. C'est donc une épître destinée aux saints et surtout à ceux que le Seigneur a établis pour le service dans l'église locale.
Cette lettre décrit de façon admirable les cœurs de ceux qui sont appelés pour servir l'église, "en faisant paître le troupeau que le Seigneur s'est acquis au prix de son propre sang" (Actes 20.28). La description de ce coeur pour le service nous la lisons au chapitre 2, c'est celle du cœur de notre Seigneur décrit de façon admirable par l'apôtre.
Paul écrit : "Ayez en vous la pensée qui était en Christ-Jésus...." et il décrit pour nous, le coeur de notre Seigneur, esclave d'amour pour nous en obéissant à Son Père. Cette obéissance l'a conduit à la croix pour subir notre châtiment. Nous avons la description, au début de ce chapitre 2, la plus haute, la plus noble, la plus belle, de ce cœur du Fils de l'homme, Jésus, venu sur terre pour nous réconcilier avec Dieu qui devient "notre Père",
Lisons des versets du chapitre 2:
1 Si donc il y a quelque consolation en Christ, s’il y a quelque soulagement dans la charité, s’il y a quelque union d’esprit, s’il y a quelque compassion et quelque miséricorde,
2 rendez ma joie parfaite, ayant un même sentiment, un même amour, une même âme, une même pensée.
3 Ne faites rien par esprit de parti ou par vaine gloire, mais que l’humilité vous fasse regarder les autres comme étant au-dessus de vous-mêmes.
4 Que chacun de vous, au lieu de considérer ses propres intérêts, considère aussi ceux des autres.
5 Ayez en vous les sentiments qui étaient en Jésus-Christ,
6 lequel, existant en forme de Dieu, n’a point regardé comme une proie à arracher d’être égal avec Dieu,
7 mais s’est dépouillé lui-même, en prenant une forme de serviteur, en devenant semblable aux hommes;
8 2-7 et ayant paru comme un simple homme, 2-8 il s’est humilié lui-même, se rendant obéissant jusqu’à la mort, même jusqu’à la mort de la croix.
Notre Seigneur a montré, par Sa présence ici-bas, l'exemple d'une vie entièrement soumise au Père, par laquelle se déversait sur l'homme la grâce de Dieu manifestée par le pardon des péchés, les guérisons, les miracles les prodiges et un enseignement tellement beau! Il nous a montré le chemin, lorsqu'Il s'est dépouillé de son vêtement (symbole se Sa gloire) pour s'entourer d'un linge (symbole de l'esclave) afin de laver les pieds de Ses disciples (Jean 13). Par cet acte merveilleux, Il a mis le comble à Son amour pour les siens, écrit Jean, en les aimant jusqu'au bout, ou à l'extrême selon les versions. Il est à remarquer que Judas a eu ses pieds lavés par le Seigneur! Il a ensuite repris Sa place auprès d'eux en leur expliquant ce qu'Il venait de faire.
Il leur a dit : "vous m'appelez le Maître et le Seigneur, et vous dites bien car JE SUIS". Ce "JE SUIS" est une allusion à Exode 3.14 et elle est l'affirmation de Sa divinité. Comme c'est beau! Il est bon de méditer sur ces passages de la Parole. Cet acte du Seigneur est vraiment sublime! Ils les a aimés à l'extrême, jusqu'au bout, comme un esclave et cela juste avant d'affirmer Sa divinité!
Paul, malgré son emprisonnement, malgré les attaques de certains (1.15-17) et tout ce qu'il subit, explose de joie durant toute cette lettre. Nous lisons le mot joie tout au long de la lecture (1.5, 25 ; 2.2, 29 ; 4.1, 10) mais aussi cet ordre : "Réjouissez-vous" (2.18 ; 3.1 ; 4.4 ). Paul se réjouit aussi quand on veut lui faire de la peine, (1.18) ou en pensant qu'il peut servir de libation (2.17). Toutes les circonstances de sa vie, bonnes ou mauvaises sont un sujet de joie, car le témoignage pour Christ est efficace. Oh! Le coeur de Paul! C'est beau et combien cette attitude de l'apôtre nous exhorte à nous réjouir en tout temps et toute occasion, si ce que nous vivons, en bien ou en mal, glorifie le Seigneur! C'est à cause de cela que cette lettre est adressée aux ministères établis dans les églises pour prendre soin du troupeau!
Paul décrit d'abord la gloire de Jésus. Il existait en forme de Dieu, sa condition était celle de Dieu, il était l'égal de Dieu, de condition divine selon les traductions. Ensuite il décrit ce qu'Il est devenu sur la terre de Sa propre volonté en accord avec le Père. Il s'est vidé (ou dépouillé, anéanti) Lui-même pour prendre la forme d'esclave. Il n'a pas fait semblant d'être un homme! Il l'a été vraiment avec les limites de tout être humain. Il est, ainsi, devenu dépendant du Père et tout ce qu'Il a accompli sur terre venait du Père et non de Lui. Le Père a été glorifié par l'attitude de Son Fils devenu esclave d'amour de Son Père et pour nous afin de nous sauver. C'est l'esclave par amour décrit dans Exode 21.1-6.
Nous devons, je le pense en tout cas, lire cette lettre et comprendre à partir de ce que décrit Paul au sujet du Seigneur comment vivre une vie en dépendance absolue de Dieu par la puissance de l'Esprit. Le Seigneur s'est réjoui en restant sur la terre tout en sachant le sort qui Lui était réservé : obéissant jusqu'à la mort, la mort sur la croix. A cause de Son humiliation, le Seigneur a été élevé par Dieu. Il est devenu Celui devant qui tout genou fléchira et toute langue confessera : Jésus est Seigneur, à la gloire de Dieu le Père! Mais pour cela, Il s'est humilié par Son obéissance qui l'a conduit à la croix.....pour subir notre condamnation! Quelle grâce!
Il est notre exemple suprême! Jean n'as-t'il pas écrit dans sa première lettre:"tel Il est, tels nous sommes dans le monde." Si nous nous humilions par l'obéissance sous sa main puissante, le Seigneur sera exalté durant notre vie et Il nous élèvera au temps convenable (1Pierre 5.6) Comme l'a si bien dit Jean-Baptiste : "il faut qu'Il croisse et que je diminue!" Si nos vivons selon l'exemple de notre Seigneur, nous devenons des personnes aptes au service!
Paul a suivi l'exemple de Christ, dans sa mesure, bien sûr, car il a accepté de tout perdre afin de "Le connaître", ainsi que la puissance de Sa résurrection et la communion de Ses souffrances, en devenant conforme à Lui dans Sa mort..... C'est le sujet développé dans le chapitre 3 de cette lettre. A cause de ce qu'il vient de dire, il nous exhorte à rester unis malgré les divergences de points de doctrine, à être ses imitateurs et à "porter les regards sur ceux qui marchent selon le modèle que vous avez en nous." Je pense que ce modèle au sein de l'église fait référence à Paul et Timothée et doit être la norme pour les anciens et les diacres.
C'est le corps entier qui doit vivre ainsi. Il s'agit de la vie collective de l'église et non seulement des ministères ou de "super spirituels".
jcb
Cette lettre est une des plus affectueuses, des plus tendres de toutes les lettres que Paul a écrites pendant son ministère. Elle déborde de joie, d'actions de grâce, une suite pleine d'effusions et d'élans de son coeur pour le Seigneur et pour ses amis de Philippes. Il était prisonnier et savait que ses destinataires passaient aussi par des temps difficiles (2.29) Lorsque nous lisons dans Actes 16 comment est née cette église, nous nous apercevons que Paul est resté très peu de temps dans cette ville. Nous voyons aussi que cette église a démarré dans la maison de Lydie, une femme! C'est très intéressant de relever ce fait. Il n'est pas mentionné que celle-ci soit mariée. Cette femme était marchande de pourpre. C'était une femme craignant Dieu. Nous connaissons la suite....
Lisons ses salutations
1 Paul et Timothée, serviteurs ( doulos, esclaves dans le texte grec) de Jésus-Christ, à tous les saints en Jésus-Christ qui sont à Philippes, aux évêques et aux diacres:
2 que la grâce et la paix vous soient données de la part de Dieu notre Père et du Seigneur Jésus Christ!
Paul salue les Philippiens sans mentionner son ministère comme dans la plupart de ses lettres. Il se déclare "esclave" de Jésus-Christ et associe Timothée à ce service pour le Seigneur. Il s'adresse en premier aux saints de l'église et mentionne ensuite ceux que le Seigneur a établi dans le ministère : les évêques et les diacres. Ce sont des saints parmi les saints avec un service pour le corps. C'est la seule lettre qui est adressée aux ministères de l'église, en les citant. C'est donc une épître destinée aux saints et surtout à ceux que le Seigneur a établis pour le service dans l'église locale.
Cette lettre décrit de façon admirable les cœurs de ceux qui sont appelés pour servir l'église, "en faisant paître le troupeau que le Seigneur s'est acquis au prix de son propre sang" (Actes 20.28). La description de ce coeur pour le service nous la lisons au chapitre 2, c'est celle du cœur de notre Seigneur décrit de façon admirable par l'apôtre.
Paul écrit : "Ayez en vous la pensée qui était en Christ-Jésus...." et il décrit pour nous, le coeur de notre Seigneur, esclave d'amour pour nous en obéissant à Son Père. Cette obéissance l'a conduit à la croix pour subir notre châtiment. Nous avons la description, au début de ce chapitre 2, la plus haute, la plus noble, la plus belle, de ce cœur du Fils de l'homme, Jésus, venu sur terre pour nous réconcilier avec Dieu qui devient "notre Père",
Lisons des versets du chapitre 2:
1 Si donc il y a quelque consolation en Christ, s’il y a quelque soulagement dans la charité, s’il y a quelque union d’esprit, s’il y a quelque compassion et quelque miséricorde,
2 rendez ma joie parfaite, ayant un même sentiment, un même amour, une même âme, une même pensée.
3 Ne faites rien par esprit de parti ou par vaine gloire, mais que l’humilité vous fasse regarder les autres comme étant au-dessus de vous-mêmes.
4 Que chacun de vous, au lieu de considérer ses propres intérêts, considère aussi ceux des autres.
5 Ayez en vous les sentiments qui étaient en Jésus-Christ,
6 lequel, existant en forme de Dieu, n’a point regardé comme une proie à arracher d’être égal avec Dieu,
7 mais s’est dépouillé lui-même, en prenant une forme de serviteur, en devenant semblable aux hommes;
8 2-7 et ayant paru comme un simple homme, 2-8 il s’est humilié lui-même, se rendant obéissant jusqu’à la mort, même jusqu’à la mort de la croix.
Il leur a dit : "vous m'appelez le Maître et le Seigneur, et vous dites bien car JE SUIS". Ce "JE SUIS" est une allusion à Exode 3.14 et elle est l'affirmation de Sa divinité. Comme c'est beau! Il est bon de méditer sur ces passages de la Parole. Cet acte du Seigneur est vraiment sublime! Ils les a aimés à l'extrême, jusqu'au bout, comme un esclave et cela juste avant d'affirmer Sa divinité!
Paul, malgré son emprisonnement, malgré les attaques de certains (1.15-17) et tout ce qu'il subit, explose de joie durant toute cette lettre. Nous lisons le mot joie tout au long de la lecture (1.5, 25 ; 2.2, 29 ; 4.1, 10) mais aussi cet ordre : "Réjouissez-vous" (2.18 ; 3.1 ; 4.4 ). Paul se réjouit aussi quand on veut lui faire de la peine, (1.18) ou en pensant qu'il peut servir de libation (2.17). Toutes les circonstances de sa vie, bonnes ou mauvaises sont un sujet de joie, car le témoignage pour Christ est efficace. Oh! Le coeur de Paul! C'est beau et combien cette attitude de l'apôtre nous exhorte à nous réjouir en tout temps et toute occasion, si ce que nous vivons, en bien ou en mal, glorifie le Seigneur! C'est à cause de cela que cette lettre est adressée aux ministères établis dans les églises pour prendre soin du troupeau!
Paul décrit d'abord la gloire de Jésus. Il existait en forme de Dieu, sa condition était celle de Dieu, il était l'égal de Dieu, de condition divine selon les traductions. Ensuite il décrit ce qu'Il est devenu sur la terre de Sa propre volonté en accord avec le Père. Il s'est vidé (ou dépouillé, anéanti) Lui-même pour prendre la forme d'esclave. Il n'a pas fait semblant d'être un homme! Il l'a été vraiment avec les limites de tout être humain. Il est, ainsi, devenu dépendant du Père et tout ce qu'Il a accompli sur terre venait du Père et non de Lui. Le Père a été glorifié par l'attitude de Son Fils devenu esclave d'amour de Son Père et pour nous afin de nous sauver. C'est l'esclave par amour décrit dans Exode 21.1-6.
Nous devons, je le pense en tout cas, lire cette lettre et comprendre à partir de ce que décrit Paul au sujet du Seigneur comment vivre une vie en dépendance absolue de Dieu par la puissance de l'Esprit. Le Seigneur s'est réjoui en restant sur la terre tout en sachant le sort qui Lui était réservé : obéissant jusqu'à la mort, la mort sur la croix. A cause de Son humiliation, le Seigneur a été élevé par Dieu. Il est devenu Celui devant qui tout genou fléchira et toute langue confessera : Jésus est Seigneur, à la gloire de Dieu le Père! Mais pour cela, Il s'est humilié par Son obéissance qui l'a conduit à la croix.....pour subir notre condamnation! Quelle grâce!
Il est notre exemple suprême! Jean n'as-t'il pas écrit dans sa première lettre:"tel Il est, tels nous sommes dans le monde." Si nous nous humilions par l'obéissance sous sa main puissante, le Seigneur sera exalté durant notre vie et Il nous élèvera au temps convenable (1Pierre 5.6) Comme l'a si bien dit Jean-Baptiste : "il faut qu'Il croisse et que je diminue!" Si nos vivons selon l'exemple de notre Seigneur, nous devenons des personnes aptes au service!
Paul a suivi l'exemple de Christ, dans sa mesure, bien sûr, car il a accepté de tout perdre afin de "Le connaître", ainsi que la puissance de Sa résurrection et la communion de Ses souffrances, en devenant conforme à Lui dans Sa mort..... C'est le sujet développé dans le chapitre 3 de cette lettre. A cause de ce qu'il vient de dire, il nous exhorte à rester unis malgré les divergences de points de doctrine, à être ses imitateurs et à "porter les regards sur ceux qui marchent selon le modèle que vous avez en nous." Je pense que ce modèle au sein de l'église fait référence à Paul et Timothée et doit être la norme pour les anciens et les diacres.
C'est le corps entier qui doit vivre ainsi. Il s'agit de la vie collective de l'église et non seulement des ministères ou de "super spirituels".
L'exhortation s'adresse aussi et même surtout au corps plutôt qu'à un individu. Je crois que nous avons ici le moyen par lequel une église peut être une terreur pour notre ennemi! Une église qui vit cela est en permanence dans la victoire de notre Seigneur. Il faut en payer le prix au niveau de notre humanité, de notre ego, de notre chair. Le Seigneur est notre exemple, un exemple tellement au-dessus de ce que nous pouvons vivre, être ou faire.
Les diacres et les anciens sont nommés dans cette lettre car Dieu les a établis pour être le modèle, la référence, de tout le corps, comme l'était l'apôtre, par une vie d'esclave, une vie attachée au Cep et qui laisse passer la vie divine et la transmet tout autour de lui.
Si chaque enfant de Dieu vit en dépendance absolue par l'obéissance à l'Esprit, nous vivrons en ayant un même sentiment, un même amour, une même âme, une même pensée. L'église sera conforme à la volonté de Dieu, notre Père et Il pourra nous rendre utiles au royaume. Certains pensent que vivre ainsi, c'est perdre son identité (en tout cas je l'ai entendu durant une réunion) et devenir un numéro sans la moindre parcelle de caractère propre! Je crois, au contraire, que c'est le moyen par lequel nous vivons notre vraie personnalité....en Christ!
Les diacres et les anciens sont nommés dans cette lettre car Dieu les a établis pour être le modèle, la référence, de tout le corps, comme l'était l'apôtre, par une vie d'esclave, une vie attachée au Cep et qui laisse passer la vie divine et la transmet tout autour de lui.
Si chaque enfant de Dieu vit en dépendance absolue par l'obéissance à l'Esprit, nous vivrons en ayant un même sentiment, un même amour, une même âme, une même pensée. L'église sera conforme à la volonté de Dieu, notre Père et Il pourra nous rendre utiles au royaume. Certains pensent que vivre ainsi, c'est perdre son identité (en tout cas je l'ai entendu durant une réunion) et devenir un numéro sans la moindre parcelle de caractère propre! Je crois, au contraire, que c'est le moyen par lequel nous vivons notre vraie personnalité....en Christ!
Si la tête qui est le Christ a montré l’exemple d’un roi sur la croix avec une couronne d’épines, comment pourrait-il en être autrement pour le corps qui est l’Eglise.
Aussi, tous les ministères sont appelés à prendre leur croix et à la porter, en se repentant du péché d’orgueil si les autres membres du corps les ont reconnus pour leur ministère, et pire encore, pour leur grandeur....
La seule grandeur dans le gouvernement du Christ, c’est de donner sa vie pour les autres. Il est impératif que l’Eglise accepte les principes du Royaume de Dieu et que soit installé au milieu d’elle le véritable fondement de Christ.
(auteur inconnu)
jcb
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