15 Si vous m’aimez, gardez mes commandements.
16 Et moi, je prierai le Père, et il vous donnera un autre
consolateur, afin qu’il demeure éternellement avec vous,
17 l’Esprit de vérité, que le monde ne peut recevoir, parce qu’il ne
le voit point et ne le connaît point ; mais vous, vous le connaissez, car
il demeure avec vous, et il sera en vous.
18 Je ne vous laisserai pas orphelins, je
viendrai à vous.
19 Encore un peu de temps, et le monde ne me verra plus ; mais
vous, vous me verrez, car je vis, et vous vivrez aussi.
20 En ce jour–là, vous connaîtrez que je suis en mon Père,
que vous êtes en moi, et que je suis en vous.
21 Celui qui a mes commandements et qui les garde, c’est celui qui
m’aime ; et celui qui m’aime sera aimé de mon Père, je l’aimerai, et je me
ferai connaître à lui. (Jean 14)
L’affirmation du Seigneur, dans ce passage, qui est importante
(en tout cas pour moi) est : ‘’vous me verrez car je vis et vous vivrez
aussi.’’ Les disciples sont bien vivants à ce moment-ci et malgré cela le
Seigneur leur promet une vie : ‘’vous vivrez’’ Cette affirmation est très
importante car le Seigneur les interpelle afin de les préparer à recevoir cette
nouvelle création qui va surgir de l’œuvre de la croix. Il est vrai qu’à cet instant,
ces paroles doivent être bien mystérieuses à comprendre. C’est pour cela
sûrement que le Seigneur ajoute : ‘’en ce jour-là…’’
En premier nous devons méditer sur ce : « VOUS ME
VERREZ ! » Dans Jean 12, lorsque ces quelques Grecs ont voulu voir Jésus,
le Seigneur a répondu aux deux disciples qui lui ont fait connaître leur
demande, par la parabole du grain de blé tombé en terre. Il conclut verset
32 : « Quand j’aurais été élevé de la terre, j’attirerai tous (les
hommes) à Moi ! Jean explique : « Il disait cela pour indiquer
de quelle mort Il devait mourir. » Pour voir Jésus, le voir réellement,
même pour ceux qui l’ont suivi, il n’y a plus qu’une seule condition : Le
voir à la croix ! C’est là, que nous pouvons connaître qui Il est
vraiment ! Mais cela ne suffit pas car il est ressuscité ! La croix
est la porte qui mène à la révélation du Ressuscité !
Paul, qui n’avait jamais suivi le Seigneur, durant son
ministère a vu le Seigneur sur le chemin de Damas. Il a vu le Fils de Dieu
ressuscité, glorieux, ainsi sa vie a été définitivement bouleversée. Ce
jour-là, il a perdu sa vue naturelle et par l’imposition des mains d’Ananias,
il a pu recouvrer la vue, une vue différente de celle du rabbin qu’il était.
Plus tard, il écrira dans Galates au chapitre premier :
15 Mais, lorsqu’il plut à celui qui m’avait mis à part dès le sein de
ma mère, et qui m’a appelé par sa grâce,
16 de révéler en moi son Fils, afin que
je l’annonçasse parmi les païens…..
Il expliquera,
dans sa deuxième lettre aux Corinthiens qu’il a été ravi jusqu’au troisième
ciel, dans le paradis pour entendre des paroles ineffables qu’il n’est pas
permis à un homme d’exprimer. Il a vu le Seigneur et a reçu la grâce de pouvoir
accomplir l’œuvre pour laquelle il a été choisi. Nous pouvons, nous aussi, à la
mesure de notre appel VOIR le Seigneur dans Sa gloire, pour notre équipement au
service dans lequel nous sommes appelés. C’est ce qui s’est passé à la
Pentecôte pour Ses disciples. Ils ont VU le Seigneur !!
Regardons cette
autre parole du Seigneur, que nous trouvons aussi dans ce discours : Le
Jour ou Ce Jour-là. C’est une expression empruntée au langage des
prophètes pour annoncer la consommation de toutes choses. Dans le contexte qui
nous occupe, en ce Jour-là, représente toute l’œuvre de la croix mise au
bénéfice de la nouvelle humanité, confirmée par l’envoi du Saint-Esprit. Ce
jour-là, c’est l’effusion de l’Esprit à la Pentecôte. Ce jour-là, les disciples
ont réellement vu le Seigneur, par les yeux de leur cœur ! .
Cet enseignement, le dernier avant Sa Passion, a commencé par
l’acte merveilleux du Seigneur lorsqu’Il s’est ceint de ce linge qui est le
vêtement des esclaves, pour laver les pieds de Ses disciples. Il a d’abord ôté
Son (ou ses) vêtement. Le vêtement est, dans la Bible, le symbole de la
dignité, du rang de celui qui le porte. C’est très parlant pour chacun de nous.
Nous voulons servir sans nous débarrasser du vêtement de notre dignité afin de
revêtir celui d’esclave. C’est une action sublime de notre Seigneur pour Ses
disciples et quel témoignage pour nous ! C’est sur cet acte d’humilité absolue que les dernières exhortations du Seigneur vont pénétrer le cœur de Ses
disciples étant fondées sur cet acte d’amour merveilleux.
Plus tard, après la Pentecôte, lorsque les disciples ont enfin
‘’connu’’, combien ont-ils pu apprécier ce dernier acte d’amour du divin
Maître ! Cet ultime enseignement du Seigneur est devenu efficace pour
laver leurs pieds pendant l’exercice de leur ministère. L’acte de Jésus dans
Jean 13 est devenu cet enseignement qui prépare les cœurs à un service
efficace, dans l’humilité et dans l’amour. (celui décrit dans 1Corinthiens 13)
Il a pris cette position d’esclave car ses disciples se
disputaient pour savoir qui était le plus grand nous rapporte Luc dans son Évangile. (Luc 22.24) C’était une question récurrente chez les disciples car
Luc, Mathieu et Marc racontent que cette question a déjà été abordée. (Luc
9.46, Mathieu 18.1-4, Mac 10.35-45) Après avoir lavé les pieds de ses
disciples, Jésus commence à les enseigner en disant :
12 Après qu'il leur eut lavé les pieds, et qu'il eut pris ses
vêtements, il se remit à table, et leur dit : Comprenez–vous ce que je
vous ai fait ?
13 Vous m’appelez Maître et Seigneur ; et vous dites bien, car
je le suis.
14 Si donc je vous ai lavé les pieds, moi, le Seigneur et le Maître,
vous devez aussi vous laver les pieds les uns aux autres ;
15 car je vous ai donné un exemple, afin que vous fassiez comme je
vous ai fait.
Quelle grande
et belle leçon ! C’est le Maître et Seigneur qui leur a lavé les
pieds ! Il ajoute ‘’Je (le) suis’’ Dans le texte grec, Jésus dit ‘’Je
suis.’’ C’est le Nom de Dieu révélé à Moïse en Exode 3.14 lorsqu’Il lui
apparaît dans le buisson ardent. Après avoir accompli le service de l’esclave,
Il affirme Sa véritable identité, qui Il est vraiment ! C’est Dieu le Fils de
toute éternité ! Je ne pense pas qu’ils aient vraiment réalisé la portée
de cet acte jusqu’à la venue de l’Esprit sur eux, à la Pentecôte.
‘’Vous
vivrez !’’ Jésus affirme que le Saint-Esprit qui demeure auprès d’eux et
qu’ils ‘’connaissent’’ bien, sera en eux. Il ajoute : ‘’Je ne vous
laisserai pas orphelins, je viendrai à vous.’’ Il les prépare à la venue de
l’Esprit en eux ce qui sera leur nouvelle intimité avec le Père et le Fils par
l’Esprit. Certaines versions traduisent : ‘’il demeure avec vous et il
est en vous.’’ Je ne crois pas cette traduction correcte, car Jean, au
chapitre 7 de son Évangile, et verset 39, affirme que ‘’l’Esprit n’était pas
encore car Jésus n’avait pas encore été glorifié.’’ Le Seigneur affirme
aussi dans Jean 16.7 : ‘’mais si je m’en vais, je vous l’enverrai.’’
Le Saint-Esprit
a toujours été sur la terre car il est déjà mentionné dans Genèse 1.2. Il a
toujours agi dans, avec et sur les hommes. Il a toujours accompagné les hommes.
Abram qui n’était pas encore Abraham, a été choisi par Dieu. Je suis persuadé
que c’est par l’Esprit qu’il a entendu la voix de l’Éternel. La puissance de
l’Esprit de Dieu venait sur des hommes choisis, pour des actions, des
prophéties, des miracles, mais il ne restait pas en permanence dans le cœur de
ces hommes. Les prophètes étaient oints de cet Esprit pour l’œuvre à laquelle
ils étaient appelés. Les grands hommes de Dieu de l’Ancien Testament pouvaient
servir avec la puissance de l’Esprit, mais il n’était pas encore en eux. Ce
JOUR n’était pas encore arrivé, mais l’Esprit de Dieu était malgré tout à
l’œuvre.
20 En ce jour–là, vous connaîtrez que je suis en mon
Père, que vous êtes en moi, et que je suis en vous (Jean 14)
23 En ce jour–là, vous ne
m'interrogerez plus sur rien. En vérité, en vérité, je vous le dis, ce que
vous demanderez au Père, il vous le donnera en mon nom.
24 Jusqu’à présent vous n’avez rien
demandé en mon nom. Demandez, et vous recevrez, afin que votre joie soit
parfaite (Jean 16)
………………………
26 En ce jour, vous demanderez en mon nom, et je ne vous dis
pas que je prierai le Père pour vous ;
27 car le Père lui–même vous aime, parce que vous m'avez aimé, et que
vous avez cru que je suis sorti de Dieu.
28 Je suis sorti du Père, et je suis venu dans le monde ;
maintenant je quitte le monde, et je vais au Père. (Jean 16)
Vous
connaîtrez. C’est la première vérité que leur dévoile le Seigneur, vérité
qui n’a pas dû avoir un impact trop fort sur eux. Ils devaient pressentir que
quelque chose de grand allait se produire, mais, je pense que leur entendement
était encore voilé par les traditions et leur arrière-plan d’hommes ayant vécu
sous la Loi. Vous connaîtrez que Je Suis en mon Père, que vous êtes en Moi
et que Je suis en vous.
Nous savons que
ce verbe connaître en grec implique une relation très profonde et la jouissance
d’une intimité constamment renouvelée. C’est une connaissance fondée sur une
expérience personnelle. Il ne s’agit pas d’apprendre par le témoignage de
personnes, par de la lecture ou même pas par un enseignement, mais par une
communion intime, profonde et constante avec notre Maître. Il se révèle à nous
par le Saint-Esprit !
L’expérience
des autres membres de Christ ne me donnera jamais cette intimité avec le
Seigneur. Ma part ne peut être vécue par personne d’autre que moi. Je peux être
encouragé, interpellé par le témoignage d’hommes et de femmes de Dieu, mais
leur expérience est pour eux. La mienne ne dépend que de ma consécration, de
mon intimité, de ma communion, de ma sanctification de ma volonté à connaître
Celui qui m’a sauvé. Ce sont des choses qui ne s’apprennent qu’en les vivant
soi-même.
Par cette
expérience personnelle, je connais que Jésus est dans le Père, que je suis,
moi-même en Christ et que Christ est en moi. Cette connaissance ne peut venir
que dans la vie de l’intimité avec mon Dieu et par la révélation de l’Esprit en
moi. La communion avec notre Dieu se cultive ! C’est la part de chacun !
Ce jour de
l’envoi de l’Esprit est le début de la nouvelle ère qui aura son apogée au
retour du Seigneur. Ce Jour-là, la pleine connaissance de l’enseignement, donné
par le Maître a pu être établie par le Saint-Esprit dans les cœurs de Ses
premiers disciples. Il en est de même pour nous. Nous lisons cet enseignement
(ou tout autre partie de la Parole) et le Saint-Esprit nous le révèle au plus
profond de nos cœurs. La Parole devient vie en nous.
Nous pouvons
être enseignés par des frères sur ces vérités fondamentales, les connaître
intellectuellement et ne jamais les vivre, si nous ne nous maintenons pas dans
la communion avec notre Seigneur. Le Saint-Esprit donne la révélation
nécessaire pour vivre de notre nouvelle vie, la vie de résurrection. Nous
pouvons vivre et dépendre de cette vie de résurrection, par l’Esprit de Christ
en nous. C’est l’Esprit de sainteté qui a ressuscité Christ ! Ce même
Esprit est en nous ! C’est l’Esprit de sainteté qui a ressuscité Christ et
l’a établi Fils de Dieu avec puissance par cette résurrection ! (Romains
1.4)
Par ce même
Esprit Jésus s’est offert Lui-même à Dieu, sans tache, pour nous ! Il est
bon de réfléchir à tout ce qui est écrit dans le saint Livre au sujet de ce
Saint-Esprit qui habite en nous par la grâce immense et merveilleuse de notre
Père. Je pense que nous n’avons pas vraiment conscience de toutes ces choses.
Nous avons besoin de grandir dans ces vérités si profondes et essentielles pour
notre marche ici-bas.
Vous ne
m’interrogerez plus sur rien. C’est le Saint-Esprit, répandu depuis le jour
de la Pentecôte,, qui conduit dans toute la vérité car il prend de ce qui est à
Jésus et il l’annonce aux disciples. Il conduit dans toute la vérité, ses
paroles ne seront pas de lui–même mais il parle de tout ce qu’il a entendu du
Seigneur pour le révéler aux disciples. (Eux et nous) Il annonce les choses à
venir. Il prend de ce qui est à Jésus et qui vient du Père pour nous le donner
et nous nourrir spirituellement. Nous n’avons plus d’interrogation, si nous
sommes dans cette dimension de communion par le Saint-Esprit. Nous savons ce
qu’il faut demander car la Parole est révélée dans nos cœurs par le
Saint-Esprit…Si nous obéissons, si nous cultivons cette communion de Christ en
nous, par l’œuvre de l’Esprit. Nous avons toujours notre part à accomplir pour
vivre selon la volonté de notre Père.
SI nous
cultivons cette communion avec notre Seigneur par le Saint-Esprit, c’est-à-dire
dans son obéissance absolue, nous pouvons demander dans le Nom du Seigneur. Il
est sûr que notre demande sera exaucée car elle est fondée sur les promesses de
la Parole que l’Esprit nous révèle, promesses dont notre Père est le Garant.
Même si nous devons attendre des années ou plus, l’exaucement viendra, car Dieu
est fidèle et ce qu’Il promet, Il le tient toujours.
Vous
demanderez en mon Nom……car le Père Lui-même vous aime, parce que vous m’avez
aimé et que vous avez cru que Je suis sorti de Dieu.
Car le
Père Lui-même vous aime ! C’est extraordinaire, nous sommes aimés du Père
parce que nous avons aimé le Fils et nous croyons qu’Il est sorti de Dieu. Si
nous croyons, c’est l’œuvre de l’Esprit en nous. Si nous sommes sauvés, c’est
parce que le Père a envoyé des ouvriers dans la moisson que nous étions. Tout
vient de Lui, nous croyons à cause de Son amour révélé dans nos cœurs. Cet
amour a transpercé nos cœurs par la révélation de l’Esprit. Par cet Esprit nous
avons eu cette conviction profonde de péché qui nous a menés à la repentance et à la nouvelle naissance. Tout est venu du Père. Il nous prouve Son amour, nous
l’aimons, étant confondus, accablés par la connaissance de notre nature révélée
par le Saint-Esprit et en retour nous avons cette promesse : ‘’Vous
demanderez en mon Nom.’’ Jésus ajoute : ‘’Je ne dis pas que je prierai le
Père pour vous.’’ L’amour du Père est suffisant et Jésus n’a pas à prier pour
nous car nous sommes aimés. L’amour que nous avons pour le Seigneur nous ouvre
le cœur du Père.
Il est écrit
ailleurs qu’Il (Jésus) est toujours vivant pour intercéder (Hébreux 7.25) Dans
le contexte, il s’agit de ceux qui s’approchent de Dieu en vue de leur salut.
Sa dignité de Souverain Sacrificateur selon l’ordre de Melchisédek Lui donne le
pouvoir de sauver ceux qui s’approchent de Lui, par Son intercession
souveraine. Elle est fondée sur le Sang de l’Agneau de Dieu, le sacrifice
perpétuel non renouvelable.
Il est aussi
écrit dans 1 Timothée 2.5 que l’Homme Jésus est le seul médiateur entre Dieu et
les hommes, personne d’autre peut avoir cette dignité. C’est Lui, l’Homme ressuscité,
qui est notre Médiateur. Sa médiation est, bien sûr, fondée sur son œuvre
accomplie à la croix, œuvre qui nous justifie devant le Père.
Nous avons un
autre passage dans Romains 8 qui dévoile l’action de notre merveilleux Seigneur, ce qu’il nous a donné et Son action pour nous auprès de Père. Nous
sommes prédestinés à être semblables à l’image de Son Fils. Nous sommes
appelés, justifiés, et, même glorifiés ! Quelle grâce ! Il est
ressuscité, assis à la droite de Dieu et Il intercède pour nous !
Revenons à Jean
16. Le Seigneur affirme à Ses disciples : ‘’et je ne dis pas que je
prierai le Père pour vous…’’ car le Père Lui-même vous aime. Si nous
aimons le Seigneur et que nous croyons qu’Il est sorti de Dieu, l’amour du Père
nous est garanti. Cet amour pour le Fils, nous ouvre le cœur du Père et le
Seigneur ne prie pas ou plus pour nous ! Ce n’est plus nécessaire car le
Saint-Esprit répandu dans les cœurs des disciples de tous les temps nous unit
de cet amour avec notre Seigneur. La prière du Seigneur n’a plus besoin d’être
car nous devenons un avec Lui. Nous faisons qu’un avec le Seigneur et nous
sommes au-delà de la prière du Seigneur et par cet amour nous sommes toujours
devant le Père. Par la foi, nous ne sommes plus qu’un avec le Seigneur devant
le Père, par la puissance de l’Esprit.
Si nous sommes
dans cette attitude de communion parfaite avec notre Seigneur, l’Esprit
intercède à travers nous par des soupirs inexprimables, pour tous les saints.
C’est cette intercession décrite dans Romains 8 qui devraient être la norme de
notre vie de prières pour l’Eglise. Unis au Seigneur par l’amour, qui nous
tient devant le Père, et le Père qui connaît les besoins de Ses saints, sonde
nos cœurs par le Saint-Esprit.
Pour conclure
cette brève méditation, lisons ces deux affirmations de notre Seigneur :
16 Et moi, je prierai le Père, et il vous donnera un autre
consolateur, afin qu’il demeure éternellement avec vous,
17 l’Esprit de vérité, que le monde ne peut recevoir, parce qu’il ne
le voit point et ne le connaît point ;
(Jean 14)
.....................................
26 En ce jour, vous demanderez en mon nom, et je ne vous dis pas que
je prierai le Père pour vous ; (Jean 16)
Dans Jean 14,
c’est la promesse de l’envoi de l’Esprit, le Consolateur, Celui qui nous guide
et qui peut convaincre le monde de péché de justice et de jugement.
Dans Jean 16,
c’est la position du disciple vivant dans le Fils et le Fils vivant en lui, qui
donne la communion avec le Père, sans la prière du Fils.
Voilà quelques
pensées sur ces perles que nous trouvons dans l’enseignement de notre
Maître ! Que chacun puisse aller plus loin dans la vision de notre
merveilleux Seigneur !!
jcb
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