samedi 30 mars 2013

EN CE JOUR-LA VOUS CONNAÎTREZ

15  Si vous m’aimez, gardez mes commandements.
16  Et moi, je prierai le Père, et il vous donnera un autre consolateur, afin qu’il demeure éternellement avec vous,
17  l’Esprit de vérité, que le monde ne peut recevoir, parce qu’il ne le voit point et ne le connaît point ; mais vous, vous le connaissez, car il demeure avec vous, et il sera en vous.
18  Je ne vous laisserai pas orphelins, je viendrai à vous.
19  Encore un peu de temps, et le monde ne me verra plus ; mais vous, vous me verrez, car je vis, et vous vivrez aussi.
20  En ce jour–là, vous connaîtrez que je suis en mon Père, que vous êtes en moi, et que je suis en vous.
21  Celui qui a mes commandements et qui les garde, c’est celui qui m’aime ; et celui qui m’aime sera aimé de mon Père, je l’aimerai, et je me ferai connaître à lui. (Jean 14)

    L’affirmation du Seigneur, dans ce passage, qui est importante (en tout cas pour moi) est : ‘’vous me verrez car je vis et vous vivrez aussi.’’ Les disciples sont bien vivants à ce moment-ci et malgré cela le Seigneur leur promet une vie : ‘’vous vivrez’’ Cette affirmation est très importante car le Seigneur les interpelle afin de les préparer à recevoir cette nouvelle création qui va surgir de l’œuvre de la croix. Il est vrai qu’à cet instant, ces paroles doivent être bien mystérieuses à comprendre. C’est pour cela sûrement que le Seigneur ajoute : ‘’en ce jour-là…’’
    En premier nous devons méditer sur ce : « VOUS ME VERREZ ! » Dans Jean 12, lorsque ces quelques Grecs ont voulu voir Jésus, le Seigneur a répondu aux deux disciples qui lui ont fait connaître leur demande, par la parabole du grain de blé tombé en terre. Il conclut verset 32 : « Quand j’aurais été élevé de la terre, j’attirerai tous (les hommes) à Moi ! Jean explique : « Il disait cela pour indiquer de quelle mort Il devait mourir. » Pour voir Jésus, le voir réellement, même pour ceux qui l’ont suivi, il n’y a plus qu’une seule condition : Le voir à la croix ! C’est là, que nous pouvons connaître qui Il est vraiment ! Mais cela ne suffit pas car il est ressuscité ! La croix est la porte qui mène à la révélation du Ressuscité !
    Paul, qui n’avait jamais suivi le Seigneur, durant son ministère a vu le Seigneur sur le chemin de Damas. Il a vu le Fils de Dieu ressuscité, glorieux, ainsi sa vie a été définitivement bouleversée. Ce jour-là, il a perdu sa vue naturelle et par l’imposition des mains d’Ananias, il a pu recouvrer la vue, une vue différente de celle du rabbin qu’il était. Plus tard, il écrira dans Galates au chapitre premier : 

15  Mais, lorsqu’il plut à celui qui m’avait mis à part dès le sein de ma mère, et qui m’a appelé par sa grâce,
16  de révéler en moi son Fils, afin que je l’annonçasse parmi les païens…..

    Il expliquera, dans sa deuxième lettre aux Corinthiens qu’il a été ravi jusqu’au troisième ciel, dans le paradis pour entendre des paroles ineffables qu’il n’est pas permis à un homme d’exprimer. Il a vu le Seigneur et a reçu la grâce de pouvoir accomplir l’œuvre pour laquelle il a été choisi. Nous pouvons, nous aussi, à la mesure de notre appel VOIR le Seigneur dans Sa gloire, pour notre équipement au service dans lequel nous sommes appelés. C’est ce qui s’est passé à la Pentecôte pour Ses disciples. Ils ont VU le Seigneur !!
    Regardons cette autre parole du Seigneur, que nous trouvons aussi dans ce discours : Le Jour ou Ce Jour-là. C’est une expression empruntée au langage des prophètes pour annoncer la consommation de toutes choses. Dans le contexte qui nous occupe, en ce Jour-là, représente toute l’œuvre de la croix mise au bénéfice de la nouvelle humanité, confirmée par l’envoi du Saint-Esprit. Ce jour-là, c’est l’effusion de l’Esprit à la Pentecôte. Ce jour-là, les disciples ont réellement vu le Seigneur, par les yeux de leur cœur ! .
    Cet enseignement, le dernier avant Sa Passion, a commencé par l’acte merveilleux du Seigneur lorsqu’Il s’est ceint de ce linge qui est le vêtement des esclaves, pour laver les pieds de Ses disciples. Il a d’abord ôté Son (ou ses) vêtement. Le vêtement est, dans la Bible, le symbole de la dignité, du rang de celui qui le porte. C’est très parlant pour chacun de nous. Nous voulons servir sans nous débarrasser du vêtement de notre dignité afin de revêtir celui d’esclave. C’est une action sublime de notre Seigneur pour Ses disciples et quel témoignage pour nous ! C’est sur cet acte d’humilité absolue que les dernières exhortations du Seigneur vont pénétrer le cœur de Ses disciples étant fondées sur cet acte d’amour merveilleux.
    Plus tard, après la Pentecôte, lorsque les disciples ont enfin ‘’connu’’, combien ont-ils pu apprécier ce dernier acte d’amour du divin Maître ! Cet ultime enseignement du Seigneur est devenu efficace pour laver leurs pieds pendant l’exercice de leur ministère. L’acte de Jésus dans Jean 13 est devenu cet enseignement qui prépare les cœurs à un service efficace, dans l’humilité et dans l’amour. (celui décrit dans 1Corinthiens 13)
    Il a pris cette position d’esclave car ses disciples se disputaient pour savoir qui était le plus grand nous rapporte Luc dans son Évangile. (Luc 22.24) C’était une question récurrente chez les disciples car Luc, Mathieu et Marc racontent que cette question a déjà été abordée. (Luc 9.46, Mathieu 18.1-4, Mac 10.35-45) Après avoir lavé les pieds de ses disciples, Jésus commence à les enseigner en disant :

12  Après qu'il leur eut lavé les pieds, et qu'il eut pris ses vêtements, il se remit à table, et leur dit : Comprenez–vous ce que je vous ai fait ?
13  Vous m’appelez Maître et Seigneur ; et vous dites bien, car je le suis.
14  Si donc je vous ai lavé les pieds, moi, le Seigneur et le Maître, vous devez aussi vous laver les pieds les uns aux autres ;
15  car je vous ai donné un exemple, afin que vous fassiez comme je vous ai fait.

    Quelle grande et belle leçon ! C’est le Maître et Seigneur qui leur a lavé les pieds ! Il ajoute ‘’Je (le) suis’’ Dans le texte grec, Jésus dit ‘’Je suis.’’ C’est le Nom de Dieu révélé à Moïse en Exode 3.14 lorsqu’Il lui apparaît dans le buisson ardent. Après avoir accompli le service de l’esclave, Il affirme Sa véritable identité, qui Il est vraiment ! C’est Dieu le Fils de toute éternité ! Je ne pense pas qu’ils aient vraiment réalisé la portée de cet acte jusqu’à la venue de l’Esprit sur eux, à la Pentecôte.
    ‘’Vous vivrez !’’ Jésus affirme que le Saint-Esprit qui demeure auprès d’eux et qu’ils ‘’connaissent’’ bien, sera en eux. Il ajoute : ‘’Je ne vous laisserai pas orphelins, je viendrai à vous.’’ Il les prépare à la venue de l’Esprit en eux ce qui sera leur nouvelle intimité avec le Père et le Fils par l’Esprit. Certaines versions traduisent : ‘’il demeure avec vous et il est en vous.’’ Je ne crois pas cette traduction correcte, car Jean, au chapitre 7 de son Évangile, et verset 39, affirme que ‘’l’Esprit n’était pas encore car Jésus n’avait pas encore été glorifié.’’ Le Seigneur affirme aussi dans Jean 16.7 : ‘’mais si je m’en vais, je vous l’enverrai.’’
    Le Saint-Esprit a toujours été sur la terre car il est déjà mentionné dans Genèse 1.2. Il a toujours agi dans, avec et sur les hommes. Il a toujours accompagné les hommes. Abram qui n’était pas encore Abraham, a été choisi par Dieu. Je suis persuadé que c’est par l’Esprit qu’il a entendu la voix de l’Éternel. La puissance de l’Esprit de Dieu venait sur des hommes choisis, pour des actions, des prophéties, des miracles, mais il ne restait pas en permanence dans le cœur de ces hommes. Les prophètes étaient oints de cet Esprit pour l’œuvre à laquelle ils étaient appelés. Les grands hommes de Dieu de l’Ancien Testament pouvaient servir avec la puissance de l’Esprit, mais il n’était pas encore en eux. Ce JOUR n’était pas encore arrivé, mais l’Esprit de Dieu était malgré tout à l’œuvre.

20  En ce jour–là, vous connaîtrez que je suis en mon Père, que vous êtes en moi, et que je suis en vous (Jean 14)
23   En ce jour–là, vous ne m'interrogerez plus sur rien. En vérité, en vérité, je vous le dis, ce que vous demanderez au Père, il vous le donnera en mon nom.
24 Jusqu’à présent vous n’avez rien demandé en mon nom. Demandez, et vous recevrez, afin que votre joie soit parfaite (Jean 16)
………………………
26  En ce jour, vous demanderez en mon nom, et je ne vous dis pas que je prierai le Père pour vous ;
27  car le Père lui–même vous aime, parce que vous m'avez aimé, et que vous avez cru que je suis sorti de Dieu.
28  Je suis sorti du Père, et je suis venu dans le monde ; maintenant je quitte le monde, et je vais au Père. (Jean 16)

    Vous connaîtrez. C’est la première vérité que leur dévoile le Seigneur, vérité qui n’a pas dû avoir un impact trop fort sur eux. Ils devaient pressentir que quelque chose de grand allait se produire, mais, je pense que leur entendement était encore voilé par les traditions et leur arrière-plan d’hommes ayant vécu sous la Loi. Vous connaîtrez que Je Suis en mon Père, que vous êtes en Moi et que Je suis en vous.
    Nous savons que ce verbe connaître en grec implique une relation très profonde et la jouissance d’une intimité constamment renouvelée. C’est une connaissance fondée sur une expérience personnelle. Il ne s’agit pas d’apprendre par le témoignage de personnes, par de la lecture ou même pas par un enseignement, mais par une communion intime, profonde et constante avec notre Maître. Il se révèle à nous par le Saint-Esprit !
     L’expérience des autres membres de Christ ne me donnera jamais cette intimité avec le Seigneur. Ma part ne peut être vécue par personne d’autre que moi. Je peux être encouragé, interpellé par le témoignage d’hommes et de femmes de Dieu, mais leur expérience est pour eux. La mienne ne dépend que de ma consécration, de mon intimité, de ma communion, de ma sanctification de ma volonté à connaître Celui qui m’a sauvé. Ce sont des choses qui ne s’apprennent qu’en les vivant soi-même.
    Par cette expérience personnelle, je connais que Jésus est dans le Père, que je suis, moi-même en Christ et que Christ est en moi. Cette connaissance ne peut venir que dans la vie de l’intimité avec mon Dieu et par la révélation de l’Esprit en moi. La communion avec notre Dieu se cultive ! C’est la part de chacun !
    Ce jour de l’envoi de l’Esprit est le début de la nouvelle ère qui aura son apogée au retour du Seigneur. Ce Jour-là, la pleine connaissance de l’enseignement, donné par le Maître a pu être établie par le Saint-Esprit dans les cœurs de Ses premiers disciples. Il en est de même pour nous. Nous lisons cet enseignement (ou tout autre partie de la Parole) et le Saint-Esprit nous le révèle au plus profond de nos cœurs. La Parole devient vie en nous.
   Nous pouvons être enseignés par des frères sur ces vérités fondamentales, les connaître intellectuellement et ne jamais les vivre, si nous ne nous maintenons pas dans la communion avec notre Seigneur. Le Saint-Esprit donne la révélation nécessaire pour vivre de notre nouvelle vie, la vie de résurrection. Nous pouvons vivre et dépendre de cette vie de résurrection, par l’Esprit de Christ en nous. C’est l’Esprit de sainteté qui a ressuscité Christ ! Ce même Esprit est en nous ! C’est l’Esprit de sainteté qui a ressuscité Christ et l’a établi Fils de Dieu avec puissance par cette résurrection ! (Romains 1.4)
    Par ce même Esprit Jésus s’est offert Lui-même à Dieu, sans tache, pour nous ! Il est bon de réfléchir à tout ce qui est écrit dans le saint Livre au sujet de ce Saint-Esprit qui habite en nous par la grâce immense et merveilleuse de notre Père. Je pense que nous n’avons pas vraiment conscience de toutes ces choses. Nous avons besoin de grandir dans ces vérités si profondes et essentielles pour notre marche ici-bas.

    Vous ne m’interrogerez plus sur rien. C’est le Saint-Esprit, répandu depuis le jour de la Pentecôte,, qui conduit dans toute la vérité car il prend de ce qui est à Jésus et il l’annonce aux disciples. Il conduit dans toute la vérité, ses paroles ne seront pas de lui–même mais il parle de tout ce qu’il a entendu du Seigneur pour le révéler aux disciples. (Eux et nous) Il annonce les choses à venir. Il prend de ce qui est à Jésus et qui vient du Père pour nous le donner et nous nourrir spirituellement. Nous n’avons plus d’interrogation, si nous sommes dans cette dimension de communion par le Saint-Esprit. Nous savons ce qu’il faut demander car la Parole est révélée dans nos cœurs par le Saint-Esprit…Si nous obéissons, si nous cultivons cette communion de Christ en nous, par l’œuvre de l’Esprit. Nous avons toujours notre part à accomplir pour vivre selon la volonté de notre Père.
    SI nous cultivons cette communion avec notre Seigneur par le Saint-Esprit, c’est-à-dire dans son obéissance absolue, nous pouvons demander dans le Nom du Seigneur. Il est sûr que notre demande sera exaucée car elle est fondée sur les promesses de la Parole que l’Esprit nous révèle, promesses dont notre Père est le Garant. Même si nous devons attendre des années ou plus, l’exaucement viendra, car Dieu est fidèle et ce qu’Il promet, Il le tient toujours.

    Vous demanderez en mon Nom……car le Père Lui-même vous aime, parce que vous m’avez aimé et que vous avez cru que Je suis sorti de Dieu. 

    Car le Père Lui-même vous aime ! C’est extraordinaire, nous sommes aimés du Père parce que nous avons aimé le Fils et nous croyons qu’Il est sorti de Dieu. Si nous croyons, c’est l’œuvre de l’Esprit en nous. Si nous sommes sauvés, c’est parce que le Père a envoyé des ouvriers dans la moisson que nous étions. Tout vient de Lui, nous croyons à cause de Son amour révélé dans nos cœurs. Cet amour a transpercé nos cœurs par la révélation de l’Esprit. Par cet Esprit nous avons eu cette conviction profonde de péché qui nous a menés à la repentance et à la nouvelle naissance. Tout est venu du Père. Il nous prouve Son amour, nous l’aimons, étant confondus, accablés par la connaissance de notre nature révélée par le Saint-Esprit et en retour nous avons cette promesse : ‘’Vous demanderez en mon Nom.’’ Jésus ajoute : ‘’Je ne dis pas que je prierai le Père pour vous.’’ L’amour du Père est suffisant et Jésus n’a pas à prier pour nous car nous sommes aimés. L’amour que nous avons pour le Seigneur nous ouvre le cœur du Père.
    Il est écrit ailleurs qu’Il (Jésus) est toujours vivant pour intercéder (Hébreux 7.25) Dans le contexte, il s’agit de ceux qui s’approchent de Dieu en vue de leur salut. Sa dignité de Souverain Sacrificateur selon l’ordre de Melchisédek Lui donne le pouvoir de sauver ceux qui s’approchent de Lui, par Son intercession souveraine. Elle est fondée sur le Sang de l’Agneau de Dieu, le sacrifice perpétuel non renouvelable.
    Il est aussi écrit dans 1 Timothée 2.5 que l’Homme Jésus est le seul médiateur entre Dieu et les hommes, personne d’autre peut avoir cette dignité. C’est Lui, l’Homme ressuscité, qui est notre Médiateur. Sa médiation est, bien sûr, fondée sur son œuvre accomplie à la croix, œuvre qui nous justifie devant le Père.
   Nous avons un autre passage dans Romains 8 qui dévoile l’action de notre merveilleux Seigneur, ce qu’il nous a donné et Son action pour nous auprès de Père. Nous sommes prédestinés à être semblables à l’image de Son Fils. Nous sommes appelés, justifiés, et, même glorifiés ! Quelle grâce ! Il est ressuscité, assis à la droite de Dieu et Il intercède pour nous !
    Revenons à Jean 16. Le Seigneur affirme à Ses disciples : ‘’et je ne dis pas que je prierai le Père pour vous…’’ car le Père Lui-même vous aime. Si nous aimons le Seigneur et que nous croyons qu’Il est sorti de Dieu, l’amour du Père nous est garanti. Cet amour pour le Fils, nous ouvre le cœur du Père et le Seigneur ne prie pas ou plus pour nous ! Ce n’est plus nécessaire car le Saint-Esprit répandu dans les cœurs des disciples de tous les temps nous unit de cet amour avec notre Seigneur. La prière du Seigneur n’a plus besoin d’être car nous devenons un avec Lui. Nous faisons qu’un avec le Seigneur et nous sommes au-delà de la prière du Seigneur et par cet amour nous sommes toujours devant le Père. Par la foi, nous ne sommes plus qu’un avec le Seigneur devant le Père, par la puissance de l’Esprit.
    Si nous sommes dans cette attitude de communion parfaite avec notre Seigneur, l’Esprit intercède à travers nous par des soupirs inexprimables, pour tous les saints. C’est cette intercession décrite dans Romains 8 qui devraient être la norme de notre vie de prières pour l’Eglise. Unis au Seigneur par l’amour, qui nous tient devant le Père, et le Père qui connaît les besoins de Ses saints, sonde nos cœurs par le Saint-Esprit.
    Pour conclure cette brève méditation, lisons ces deux affirmations de notre Seigneur :

16  Et moi, je prierai le Père, et il vous donnera un autre consolateur, afin qu’il demeure éternellement avec vous,
17  l’Esprit de vérité, que le monde ne peut recevoir, parce qu’il ne le voit point et ne le connaît point ;  (Jean 14)
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26  En ce jour, vous demanderez en mon nom, et je ne vous dis pas que je prierai le Père pour vous ; (Jean 16)

    Dans Jean 14, c’est la promesse de l’envoi de l’Esprit, le Consolateur, Celui qui nous guide et qui peut convaincre le monde de péché de justice et de jugement.
    Dans Jean 16, c’est la position du disciple vivant dans le Fils et le Fils vivant en lui, qui donne la communion avec le Père, sans la prière du Fils.
   Voilà quelques pensées sur ces perles que nous trouvons dans l’enseignement de notre Maître ! Que chacun puisse aller plus loin dans la vision de notre merveilleux Seigneur !!

jcb

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