dimanche 1 avril 2012

SI DEUX D’ENTRE VOUS S’ACCORDENT…

(courte méditation sur 1Samuel 14)

Commençons  par ces versets de 1Samuel 13

19  On ne trouvait point de forgeron dans tout le pays d’Israël ; car les Philistins avaient dit : Empêchons les Hébreux de fabriquer des épées ou des lances.
20  Et chaque homme en Israël descendait chez les Philistins pour aiguiser son soc, son hoyau, sa hache et sa bêche,
21  quand le tranchant des bêches, des hoyaux, des tridents et des haches, était émoussé, et pour redresser les aiguillons.
22  Il arriva qu’au jour du combat il ne se trouvait ni épée ni lance entre les mains de tout le peuple qui était avec Saül et Jonathan ; il ne s’en trouvait qu’auprès de Saül et de Jonathan, son fils. (1Samuel 13)

    Nous sommes donc dans 1Samuel13. Ce passage décrit la ruine du peuple. Celui-ci est asservi aux Philistins. Ceux-ci refusaient que les fils d’Israël puissent fabriquer leurs épées ou leurs lances. Il n’y avait pas de forgerons en Israël afin qu'il ne puisse pas fabriquer des armes. Le peuple est dans une faiblesse extrême, sans aucune arme humaine pour se défendre. C’est la position idéale pour que le Seigneur manifeste Sa gloire !

    ‘’ Quand je suis faible, c’est alors que je suis fort !’’ a écrit Paul aux Corinthiens.
   
    Au début de ce chapitre 13, nous remarquons que Jonathan, bien moins entouré que Saül attaque la garnison des Philistins qui se trouve à Guéba et la vainc. Pourtant Saül avait choisi deux mille hommes, sûrement les meilleurs et en avait laissé  mille à Jonathan. Dès que le roi apprend la défaite des Philistins, il fait sonner du cor et s’attribue la victoire ! ‘’Saül a battu la garnison des Philistins !’’ (Verset 4) Mais le peuple a peur, car les Philistins, pour se venger, s’assemblent pour combattre Israël. Nous lisons dans ces versets cités au début de notre méditation, la condition déplorable du peuple de Dieu.
    C’est dans ces mauvais moments de faiblesse extrême (comme le peuple devant la mer des joncs poursuivi par Pharaon) que notre Dieu peut agir souverainement et nous mener dans des combats victorieux car la victoire est la sienne et Il nous rend participants de Sa victoire. Nous ne pouvons que Le glorifier car nous savons que dans ces situations c’est Lui qui nous délivre en nous utilisant selon Sa volonté.
    Il nous arrive même, parfois, de fuir ou de nous cacher, comme si le Seigneur n’avait pas la puissance de nous chercher et de nous ramener vers Lui ! C’est la situation décrite dans ces deux versets ci-dessous :

6 Les hommes d’Israël se virent à l’extrémité, car ils étaient serrés de près, et ils se cachèrent dans les cavernes, dans les buissons, dans les rochers, dans les tours et dans les citernes.
7 Il y eut aussi des Hébreux qui passèrent le Jourdain, pour aller au pays de Gad et de Galaad. Saül était encore à Guilgal, et tout le peuple qui se trouvait auprès de lui tremblait.

    Voilà pour l’arrière-plan de ce que nous allons méditer dans ce chapitre 14. Il reste un dernier point à souligner : Saül a désobéi à Samuel en offrant lui-même l’holocauste et les sacrifices de communion. Il voyait le peuple quitter le pays pour se réfugier en Galaad et dans le territoire de Gad. Ces régions se trouvaient en dehors du pays, à l’est du Jourdain. D’autres se cachaient dans les cavernes, dans les rochers, dans les ajoncs, dans les caves et dans les citernes. Saül a regardé la situation dans laquelle il se trouvait. Il n’a pas regardé à Dieu. Il s’est confié dans sa puissance, sa capacité à vaincre. Comme tous se sauvaient, sa force de frappe devenait nulle, humainement parlant. Il a paré au plus pressé et  a désobéi à l'ordre formel de Samuel, en offrant lui-même l’holocauste pensant arrêter ainsi la fuite de ses hommes. Il n'a pas regarder à Dieu !
    Samuel vient et apprend à Saül que l’Éternel le déchoit de sa royauté et qu’Il a déjà choisi son successeur, ‘’un homme selon Son cœur’’ : David, qui, plus tard, dans la suite de ce récit, sera oint par Samuel comme roi.
    Lisons le dernier verset du chapitre 13 et le début du 14 :

23  Un poste de Philistins vint s’établir au passage de Micmasch.
1 Un jour, Jonathan, fils de Saül, dit au jeune homme qui portait ses armes : Viens, et poussons jusqu’au poste des Philistins qui est là de l’autre côté. Et il n’en dit rien à son père.
2  Saül se tenait à l’extrémité de Guibea, sous le grenadier de Migron, et le peuple qui était avec lui formait environ six cents hommes.
3  Achija, fils d'Achithub, frère d'I–Kabod, fils de Phinées, fils d'Eli, sacrificateur de l'Éternel à Silo, portait l'éphod. Le peuple ne savait pas que Jonathan s'en fût allé

    Les Philistins s’établissent au poste de Micmasch. Ils sont là pour attaquer le peuple. Il s’agit sûrement d’un endroit stratégique. Nous lisons également que les Philistins se sont scindé en trois troupes pour ravager Israël. (13.17)
    Nous voyons le roi avec six cents hommes se tenant à Guibéa, c’est le reste du peuple qui n’a pas fui. Ils étaient trois mille au début de ces évènements. Nous ne savons pas si ceux-ci se préparaient à combattre ou attendaient dans le découragement. Le texte ne nous éclaire pas sur leur condition intérieure à ce moment-là, sur leur motivation. Nous savons malgré tout que la peur les tenaillait.
    Le roi était aussi accompagné de Achija, le sacrificateur de l’Éternel portant l’éphod avec  l’arche de l’alliance qui était là aussi (verset 18) Nous savons que l’arche était le siège de Dieu, le trône de Dieu. (1 Samuel 4.4.) Saül était entouré de ses combattants ainsi que du système religieux. L’arche au milieu du peuple était la preuve de la présence de Dieu. Nous avons, d’un côté le peuple, le système religieux, la présence de Dieu, et de l’autre côté deux hommes sans le système séculier ou religieux qui les entourent. Ils sont deux, ils sont seuls, mais ils cherchent comment Dieu pourrait intervenir afin de combattre et d’avoir la victoire sur les Philistins. Ils ne tiennent pas compte de leur faiblesse extrême, ils s’appuient sur  leur Dieu, l’Éternel des armées !
    Ils se mettent en route. Jonathan demande au jeune homme qui portait ses armes de l’accompagner : ‘’Viens et poussons jusqu’au poste des Philistins qui est de l’autre côté !’’  Ils sont deux et se mettent en route pour voir si quelque action peut être menée afin de libérer le peuple de ‘’ces incirconcis.’’
    Continuons la lecture de ce chapitre. Il a des richesses à nous révéler :

4  Entre les passages par lesquels Jonathan cherchait à arriver au poste des Philistins, il y avait une dent de rocher d’un côté et une dent de rocher de l’autre côté, l’une portant le nom de Botsets et l’autre celui de Séné.
5  L'une de ces dents est au nord vis–à–vis de Micmasch, et l'autre au midi vis–à–vis de Guéba.
6  Jonathan dit au jeune homme qui portait ses armes : Viens, et poussons jusqu'au poste de ces incirconcis. Peut–être l'Éternel agira–t–il pour nous, car rien n'empêche l'Éternel de sauver au moyen d'un petit nombre comme d'un grand nombre.
7  Celui qui portait ses armes lui répondit : Fais tout ce que tu as dans le cœur, n’écoute que ton sentiment, me voici avec toi prêt à te suivre. ( lit. me voici comme ton cœur)
8  Hé bien ! dit Jonathan, allons à ces gens et montrons–nous à eux.
9  S’ils nous disent : Arrêtez, jusqu’à ce que nous venions à vous ! nous resterons en place, et nous ne monterons point vers eux.
10  Mais s’ils disent : Montez vers nous ! nous monterons, car l’Éternel les livre entre nos mains. C’est là ce qui nous servira de signe.
11 Ils se montrèrent tous deux au poste des Philistins, et les Philistins dirent: Voici les Hébreux qui sortent des trous où ils se sont cachés.
12  Et les hommes du poste s’adressèrent ainsi à Jonathan et à celui qui portait ses armes : Montez vers nous, et nous vous ferons savoir quelque chose. Jonathan dit à celui qui portait ses armes : Monte après moi, car l’Éternel les livre entre les mains d’Israël.

    Ce passage est vraiment enrichissant pour nous. Jésus a dit dans Mathieu 18.19 cette parole que tout chrétien connaît :

‘’Si deux d’entre vous s’accordent sur la terre pour demander quoi que ce soit, cela leur sera accordé par mon Père, car là où deux ou trois sont assemblés en mon Nom, je suis au milieu d’eux.’’  

    Cette union de deux cœurs pour chercher la volonté de Dieu que nous voyons dans Jonathan et son écuyer est l’ombre dont la réalité est cette parole de notre Seigneur. Ils sont deux. Ils sont d’accord pour essayer d’avoir la faveur de Dieu afin de combattre l’ennemi. Le Seigneur n’est pas encore venu mais le principe spirituel est confirmé par ce récit. Deux se sont accordés pour chercher la volonté de Dieu et Il a répondu à la foi de ces deux hommes qui se sont adressé au Dieu Sauveur !
    Donc, Jonathan cherche la volonté du Dieu Sauveur (verset 6) Son écuyer est à l’unisson avec Jonathan : ‘’Je suis comme ton cœur !’’ (Traduction littérale) Jonathan pour sa démarche demande confirmation au Seigneur (versets  8-12) Dieu est favorable à leur demande. Ils n’hésitent plus et ils montent à l’attaque des Philistins. Ils sont sûrs de la victoire car l’Éternel a répondu favorablement en confirmant la prière de Jonathan qui est un avec le cœur de son écuyer. Ce n’est pas le nombre qui compte, mais la puissance de Dieu qui est au-dessus de la situation. Il a le regard sur des hommes qui se lèvent pour chercher Sa Face, connaître Sa volonté et se mettre en route vers la victoire. Dans ce récit, la victoire  va avoir des répercussions sur tout le peuple ! Ces deux hommes se sont tenus à la brèche pour le Seigneur. Le Seigneur a répondu à leur attente et le combat a été gagné avant même de commencer ! Ils sont rentrés dans la victoire du Seigneur !
    Le verset 12 est très beau et très intéressant pour comprendre le cœur de Jonathan. Il dit : ’’l’Éternel les livre entre les mains d’Israël !’’ Les Philistins sont livrés entre les mains d’Israël et non pas entre ses mains et celles de son écuyer. Il s’identifie au peuple et ne réclame aucune gloire pour lui et le jeune homme qui le suit. Ils rentrent dans ‘’les œuvres que Dieu a préparées d’avance’’ (Ephésiens 2.10) L’Éternel va, par ses deux hommes, manifester Sa gloire à salut pour Son peuple.
    Qui se lèvera comme ces deux jeunes hommes pour le réveil de l’Église ? Qui se tiendra à la brèche ? A chacun de nous de répondre ! La victoire est acquise, elle nous attend, c’est celle de la croix !
    Poursuivons cette lecture :

13  Et Jonathan monta en s’aidant des mains et des pieds, et celui qui portait ses armes le suivit. Les Philistins tombèrent devant Jonathan, et celui qui portait ses armes donnait la mort derrière lui.
14  Dans cette première défaite, Jonathan et celui qui portait ses armes tuèrent une vingtaine d’hommes, sur l’espace d’environ la moitié d’un arpent de terre.
15  L’effroi se répandit au camp, dans la contrée et parmi tout le peuple ; le poste et ceux qui ravageaient furent également saisis de peur ; le pays fut dans l’épouvante. C’était comme une terreur de Dieu.
16 Les sentinelles de Saül, qui étaient à Guibea de Benjamin, virent que la multitude se dispersait et allait de côté et d’autre.
17  Alors Saül dit au peuple qui était avec lui : Comptez, je vous prie, et voyez qui s’en est allé du milieu de nous. Ils comptèrent, et voici, il manquait Jonathan et celui qui portait ses armes.
18  Et Saül dit à Achija : Fais approcher l'arche de Dieu ! –Car en ce temps l'arche de Dieu était avec les enfants d'Israël.
19  Pendant que Saül parlait au sacrificateur, le tumulte dans le camp des Philistins allait toujours croissant ; et Saül dit au sacrificateur : Retire ta main !
20  Puis Saül et tout le peuple qui était avec lui se rassemblèrent, et ils s’avancèrent jusqu’au lieu du combat ; et voici, les Philistins tournèrent l’épée les uns contre les autres, et la confusion était extrême.

    Deux hommes qui ont cru que ‘’l’Éternel pouvait sauver au moyen d’un petit nombre comme d’un grand nombre’’’ Deux qui n’était qu’un cœur ! Deux hommes remplis de sagesse et qui ont demandé confirmation et qui l’ont obtenue ! Deux qui ont foncé avec l’aval de l’Éternel et qui ont battu une vingtaine de Philistins ! Deux qui ont cru et qui ont agi !  ‘’Si deux d’entre vous s’accordent….. !  Notre Dieu est fidèle !
    Dieu honore ceux qui Le suivent, qui croient et agissent selon cette foi engendrée par Sa Parole. C’est Dieu qui a combattu. C’est la victoire de l’Éternel, le feu de la terreur de l’Éternel va se répandre dans tout le camp et la victoire va être totale, parce que deux se sont accordés. Ils étaient en dehors du système religieux, en dehors de toute vie à l’aise, et entourés par d’autres personnes. Avec ces deux, il n’y a pas de système religieux, ni de troupes, ni de structures lourdes et humaines. Ils étaient un avec l’Éternel ! C’était vraiment plus que suffisant. Ces choses ont été écrites pour nous enseigner !

16 Toute Écriture est inspirée de Dieu, et utile pour enseigner, pour convaincre, pour corriger, pour instruire dans la justice,
17  afin que l’homme de Dieu soit accompli et propre à toute bonne œuvre. (2Timothée 3)

    Saül appelle le sacrificateur Achija afin qu’il sacrifie devant l’arche de l’alliance. Ce n’est qu’un acte religieux qui n’a rien à voir avec un culte authentique dans la soumission à Dieu. C’est la religion dans toute sa splendeur, avec tout le rituel y afférant, sans la puissance du Saint-Esprit. Saül interrompt le rituel du sacrificateur en lui intimant de retirer sa main car il comprend que c’est inutile. La religion est vaine, seule la foi vivante est efficace !
    Nous devons comparer entre ces deux situations :

-- Jonathan et le jeune homme sont complètement dépourvus de toute puissance humaine, de tout système religieux. La seule arme en leur possession est cette épée. Jonathan a une connaissance du Dieu Sauveur, il semble connaître l’Éternel. Il entraîne le jeune homme, son écuyer avec lui et ces deux hommes deviennent l’instrument béni entre les mains de Dieu pour réveiller et sauver Israël. ‘’Si deux d’entre vous s’accordent……’’
    C’est vraiment merveilleux de voir combien le Seigneur répond à l’appel de ceux qui Le connaissent ! Notre Dieu est fidèle ! Il nous a donné tout ce qui est nécessaire pour Le servir et glorifier Son Nom !
    Il n’est pas besoin de structures, de rites, de loi etc. La présence seule de Dieu et la foi qui est issue de Sa Parole suffisent pour la victoire. C’est ce que nous lisons dans cet épisode de la vie du peuple de Dieu.

-- Saül est entouré de ses fidèles, ceux qui n’ont pas fui, qui ne se sont pas caché. Il n’est pas seul. Il est accompagné aussi par le sacrificateur et l’arche de l’alliance qui est le trône de Dieu et le système religieux. Mais ils sont tournés vers eux-mêmes et non pas vers le Seigneur présent au milieu d’eux.
    Je ne dis pas que les structures, les grands bâtiments ou autre soit un frein pour la vie spirituelle. Loin de moi cette pensée ! Il y a bien de grosses églises avec des structures et des tas d’organisations qui glorifient le Seigneur, car le Seigneur est le centre de toutes ces choses. Il est Celui qui règne sur ces structures car elles sont nécessaires à l’avancement du royaume. Ces structures sont un simple instrument entre les mains de ces Églises. Elles sont nécessaires et ne sont que le support de l’œuvre qui a été confiée à ses Églises. C’est la place que prennent ces structures dans le cœur des chrétiens qui est à combattre, pas celles-ci. Elles sont nécessaires pour le projet de Dieu. Elles ne doivent jamais être une fin en soi, mais un support technique pour l'accomplissement de l’œuvre de Dieu.

20  Puis Saül et tout le peuple qui était avec lui se rassemblèrent, et ils s’avancèrent jusqu’au lieu du combat ; et voici, les Philistins tournèrent l’épée les uns contre les autres, et la confusion était extrême.
21  Il y avait parmi les Philistins, comme auparavant, des Hébreux qui étaient montés avec eux dans le camp, où ils se trouvaient disséminés, et ils se joignirent à ceux d’Israël qui étaient avec Saül et Jonathan.
22  Tous les hommes d’Israël qui s’étaient cachés dans la montagne d’Ephraïm, apprenant que les Philistins fuyaient, se mirent aussi à les poursuivre dans la bataille.
23  L'Éternel délivra Israël ce jour–là, et le combat se prolongea jusqu'au delà de Beth–Aven.

    Ces quatre derniers versets sont formidables ! C’est la description du réveil des enfants d’Israël ! Le peuple voit la confusion et le chaos chez les Philistins. Ils s‘entretuent ! Les yeux s’ouvrent ! Le peuple voit parce qu’il s’est levé suite à l’action de Jonathan et de son écuyer. C’est le Seigneur qui combat. Ceux qui étaient cachés se lèvent pour combattre. Ils sortent de leurs cavernes ou de leurs ajoncs ! Ceux qui étaient disséminés parmi les Philistins font de même.   ‘’Si deux d’entre vous s’accordent !’’…..
     Notre Dieu est fidèle. Il regarde au cœur ! Les deux jeunes gens n’ont pas considéré leur état de faiblesse, mais ils se sont tournés vers Celui en lequel ils croient.
    L’Éternel sauve Israël en ce jour-là et le combat se prolonge jusqu’au-delà de Beth-Aven !’’ Beth-Aven est la maison du néant, la maison de l’idolâtrie !
    Par la détermination de deux hommes, jeunes et sans expérience de surcroît, le peuple de Dieu est rentré dans cette victoire préparée par l’Éternel. Le peuple, par la foi de ces deux jeunes hommes, est rentré dans la victoire de Dieu et le joug exercé par les Philistins sur le peuple a été brisé.  ‘’Si deux d’entre vous s’accordent !…’’

    Que chacun puisse aller plus loin dans cette méditation ! Chaque victoire que nous remportons est celle de la croix et sûrement pas la nôtre. Elle était prête et elle nous attendait ! Tout est de Lui, par Lui et pour Lui !

10  Car nous sommes son ouvrage, ayant été créés en Jésus–Christ pour de bonnes œuvres, que Dieu a préparées d'avance, afin que nous les pratiquions. (Ephésiens 2)

jcb

1 commentaire:

Elisee a dit…

Merci pour ce beau message. JE comprends que je dois me lever et entrer dans les victoires que l’Éternel a déjà préparé pour moi. Si je me lève, beaucoup de personne en profiterons pour la gloire de Dieu.