dimanche 22 avril 2012

QUELQUES PENSÉES SUR LE PSAUME 50

1  Psaume d’Asaph. Dieu, Dieu, l’Éternel, parle, et convoque la terre, Depuis le soleil levant jusqu’au soleil couchant.
2  De Sion, beauté parfaite, Dieu resplendit.
3  Il vient, notre Dieu, il ne reste pas en silence ; Devant lui est un feu dévorant, Autour de lui une violente tempête.

    Ce Psaume d'Asaph est le premier d'une série de douze qui lui sont attribués (50 et 73 à 83) Il est très important de connaître sa fonction au sein de la prêtrise ou sacerdoce. Il était le chef des chantres (1Chroniques 16.5) Il a été établi par David pour invoquer, célébrer et louer l’Éternel dans la tente préparée par le roi, sur la colline de Sion. Il était accompagné de ses frères. Lisons les derniers versets de 1Chroniques 16 :

37 David laissa là, devant l’arche de l’alliance de l’Éternel, Asaph et ses frères, afin qu’ils fussent continuellement de service devant l’arche, remplissant leur tâche jour par jour.
38 Il laissa Obed–Edom et Hosa avec leurs frères, au nombre de soixante–huit, Obed–Edom, fils de Jeduthun, et Hosa, comme portiers.
39  Il établit le sacrificateur Tsadok et les sacrificateurs, ses frères, devant le tabernacle de l’Éternel, sur le haut lieu qui était à Gabaon,
40  pour qu’ils offrissent continuellement à l’Éternel des holocaustes, matin et soir, sur l’autel des holocaustes, et qu’ils accomplissent tout ce qui est écrit dans la loi de l’Éternel, imposée par l’Éternel à Israël.
41  Auprès d’eux étaient Héman et Jeduthun, et les autres qui avaient été choisis et désignés par leurs noms pour louer l’Éternel. Car sa miséricorde dure à toujours.
42  Auprès d’eux étaient Héman et Jeduthun, avec des trompettes et des cymbales pour ceux qui les faisaient retentir, et avec des instruments pour les cantiques en l’honneur de Dieu. Les fils de Jeduthun étaient portiers.

    Il est nécessaire, pour bien saisir la beauté de ce Psaume, de se situer dans le contexte de la vie du chantre qui l'a écrit. Nous avons déjà vu que Sion est la description d'une sacrificature très différente de celle pratiquée durant toute la période de l'Ancien Testament, sacrificature que nous voyons décrite principalement dans les livres de l'Exode et du Lévitique. C'est un sacerdoce d'exception qui a commencé avec David dans la tente qu'il avait préparée à cet effet sur cette colline de Sion qui était le lieu de sa forteresse conquise aux Yébousiens. C'est lui qui introduisit cette sacrificature dans la tente qu'il avait fait dressée à cet effet et qui s'est achevée lors de la mise en service du temple par Salomon.
    La tente préparée par David sur la colline de Sion a accueilli l'arche de l'alliance lorsqu'elle fut ramenée depuis la maison d'Obed-Edom jusque sur cette colline de Sion et placée en son centre (1Chroniquue 16.1)
    Asaph et ses fils, établis par le roi David, remplissaient leur sacrificature dans la louange, les chants, l'adoration. Ils étaient continuellement dans la présence de Dieu qui "siège entre les chérubins". Dans cette tente, (comme nous l'avons déjà vu dans d'autres méditations) se tenait l'arche en son milieu et les sacrificateurs officiaient devant elle. Il n'y avait pas de voile, pas de table des pains de proposition, pas de chandelier, pas d'autel d'or. Les prêtres étaient devant "la face de Dieu" sans aucune barrière, comme l’Église à présent. (pas de voile de séparation) La seule différence avec l’Église se situe dans le fait que l'arche était le symbole de la présence de Dieu, tandis que l’Église est réellement en présence du Seigneur. Là où deux ou trois se réunissent en mon Nom, Je suis au milieu d'eux.(Mathieu 18.20)  L'arche était Son trône, un trône de grâce à cause du sang répandu une fois l'an pour l'expiation des péchés du peuple.
    Il n'y avait pas de sacrifices sanglants à Sion, car l'autel des holocaustes se tenait dans le tabernacle à Gabaon, ainsi que la cuve de bronze pour les ablutions et tous les objets nécessaires à ce culte. A Gabaon, le sacrificateur Tsadoq et ses frères offraient le sacrifice perpétuel du matin et du soir nécessaire pour la louange et l'adoration qui se pratiquaient à Sion (1Chronique 16.39). 
    Sion ne pouvait exister que sur le fondement du sacrifice perpétuel de Gabaon. A Gabaon, se trouvaient les deux autels (holocauste et parfums) la cuve de bronze, le chandelier en or, la table des pains de proposition, avec les trois parties du sanctuaire : le parvis, le Lieu Saint et le Lieu très Saint dont le voile séparait le Lieu Saint du Saint des Saints dans la tente.
    Nous avions, d'une part, le sacrifice perpétuel à Gabaon, dans la non présence de Dieu, et d'autre part, la louange et l'adoration à Sion, dans la présence de Dieu. Gabaon est le type, le symbole du sacrifice de Christ (une fois pour toute) et Sion celui de la sacrificature de l’Église dans la louange et l'adoration fondée sur le sacrifice perpétuel de Christ.
   C'est à la lumière de ce contexte que nous allons méditer sur ce Psaume pour essayer d'en retirer tout ce qui peut nous faire grandir dans la connaissance de notre Dieu, nous le faire aimer d'avantage et avoir une vie qui glorifie notre Dieu.
    Asaph, dans ce Psaume, nomme Dieu de trois de Ses Noms divins : Dieu (Elohim) et  l’Éternel (YHWH) dans le premier verset,  le Très-Haut (El Elyon) dans le verset 14.
    Le chantre s'adresse en premier au Dieu Créateur du ciel et de la terre et de tout ce qui existe : hommes, bêtes, plantes, univers etc. C'est Dieu dans la plénitude du Dieu Créateur. Celui par qui et pour qui tout existe, Celui par qui, sans Sa main sur la création, rien ne pourrait exister et continuer à être.
    Ensuite, il le nomme l’Éternel. C'est par ce Nom que Dieu s'est révélé à Moïse : le Dieu qui vient sauver le peuple, Son peuple, le libérer de la servitude d’Égypte. C'est la traduction, dans nos Bibles, du saint Nom du Dieu de l'alliance YHWH, le Nom dont on a oublié comment Le prononcer. Les Juifs pieux l'appellent tout simplement :"le Nom" avec une vraie crainte de Dieu. C'est le Dieu "qui descend" pour délivrer. Celui qui s'est nommé : "Je suis celui qui suis". La Bible du Rabbinat français traduit : "Je suis l'Être invariable" C'est ce Dieu que le chantre invoque, le Dieu de l'alliance, le Sauveur.
    Puis, il le nomme le Dieu Très-Haut au verset 14. Dans ce verset, Asaph invoque d'abord Dieu (Elohim) pour Lui offrir la reconnaissance par des actions de grâces. Puis il recommande d'accomplir les vœux que l'on a fait envers le Très-Haut. Ce Nom a été mentionné pour la première fois, dans Genèse 14.18. Il s'agit de l'épisode de la rencontre d'Abram avec le sacrificateur du Dieu Très-Haut, Melchisédek. Le Dieu Très-Haut est défini comme étant "le Maître du ciel et de la terre"  
    Nous voyons, par ces Noms, combien est grande la louange et l'adoration que le chantre rend à Son Dieu en le définissant ainsi. C'est un homme qui connaissait Son Dieu ! Combien est grande l’admiration et la reconnaissance que lui voue ce chantre !
   De Sion, beauté parfaite, Dieu resplendit. Le chantre décrit l’Éternel à partir de Sion. C'est le lieu de l'adoration et de la louange. Le Lieu où il n'y a plus de sacrifices sanglants. C'est uniquement la louange et l'adoration qui constituent la sacrificature. C'est le lieu de la grâce et de la présence de Dieu, dans la liberté, le péché étant traité et expié jour après jour à Gabaon. C'est beau ! 
    Mais lorsque Asaph décrit Son Dieu, il Le décrit comme Celui qui s'est révélé au Mont Sinaï. Il est très important de comprendre cela. Le Dieu de la grâce est aussi le Dieu de la Loi, du Mont Sinaï. Dieu ne change pas ! Il est le même ! Nous devons bien réaliser cela, nous, qui sommes sous la grâce. Nous devons toujours avoir présent en nous, à notre esprit, ce Dieu du Sinaï, avoir cette sainte crainte de Dieu, afin de vraiment apprécier ce qu'est la grâce. Dans Hébreux 12.28-29 nous lisons ceci : 

28  C'est pourquoi, recevant un royaume inébranlable, montrons notre reconnaissance en rendant à Dieu un culte qui lui soit agréable, (12–29) avec piété et avec crainte,
29  car notre Dieu est aussi un feu dévorant.
 


   Nous ne devons pas être trop familier ou comme bien des personnes que parfois je côtoie qui prononcent avec légèreté ce beau Nom qui nous a sauvés. Il est vraiment très triste de constater combien ce Nom est devenu quelque chose de banal, de culturel dans les expressions courantes de la vie. Le Nom du Seigneur fait partie de la culture chrétienne. Il est devenu une expression parmi tant d'autres. Combien nous devons reconnaître que ce Nom ne peut pas être employé sans discernement, ni respect ou crainte, comme faisant partie de la "culture chrétienne". Notre Dieu, le Dieu de la grâce, est aussi un feu dévorant, à cause de Sa jalousie. La jalousie de Dieu n'a rien de commun avec celle de l'homme. Le Seigneur, dans les dix paroles nous l'a formellement demandé :

7  Tu ne prendras point le nom de l’Éternel, ton Dieu, en vain ; car l’Éternel ne laissera point impuni celui qui prendra son nom en vain. (Exode 20.7)
 

   Combien de fois nous prononçons ce Nom en vain ! Combien de fois, nous sommes irrévérencieux envers notre Dieu en banalisant Son Nom ! Il est devenu un nom commun. Il est dans cette culture chrétienne pétrie de formules toutes faites et nous l'employons souvent de manière trop légère. Nous devrions avoir cette sainte crainte de Dieu issue de cœurs d'adorateurs que nous sommes... ou devrions être. 
    Nous lisons dans Malachie 3.16 : "Alors ceux qui craignent l’Éternel se parlèrent l'un à l'autre" Ce même verset est traduit, dans la Bible du Rabbinat français : "Cependant, les adorateurs de l’Éternel s'exhortèrent mutuellement" La crainte de l’Éternel est la preuve d'un cœur d'adorateur. Il ne peut pas prononcer le Nom béni de façon légère. Ce Nom, tellement beau et grandiose, pour un adorateur, ne peut être que respectueusement prononcé. Le Seigneur n'est pas notre copain ! Et bien sûr, ne soyons pas, non plus, idolâtre du Nom, mais respectueux. 
    Nous sommes sous la grâce, avec un Dieu éternellement le même. Il est vrai que notre Seigneur Jésus a pris sur Lui toutes nos transgressions et que nous ne sommes plus sous la condamnation.....si nous marchons par l'Esprit ! C'est une raison de plus pour honorer ce Nom, si bien sûr nous savons réellement ce que représente ce Nom qui est au-dessus de tout nom. Il ne peut pas, ne doit pas  faire partie d'une "culture chrétienne." C'est le banaliser et en faire un sujet de tradition, de culture générale. Or, la Parole de Dieu nous exhorte "à offrir sans cesse à Dieu un sacrifice de louanges, c'est-à-dire le fruit des lèvres qui confesse son Nom."  (Hébreux 13.15) Si ce Nom est devenu quelque chose de banal dans notre vie, comment pourrions-nous en faire une louange à notre Dieu ? Il est bon de réfléchir et méditer sur ces choses.
    Continuons notre lecture.

4  Il crie vers les cieux en haut, Et vers la terre, pour juger son peuple:
5  Rassemblez–moi mes fidèles, Qui ont fait alliance avec moi par le sacrifice ! –
6  Et les cieux publieront sa justice, Car c'est Dieu qui est juge. –Pause.

    Il crie vers les cieux et vers la terre pour juger son peuple. Le verset 4 est terrifiant si la suite ne présentait pas les fidèles qui ont fait alliance avec Dieu. Dès que le Seigneur parle du jugement, Il nous présente l'alliance. L'alliance est le moyen par lequel la justice de Dieu est manifestée par le jugement tombant sur la victime expiatoire afin que le coupable soit justifié et reconnu innocent. Dieu montre sa justice (la victime expiatoire) en étant juste toute justifiant celui qui a la foi en la victime expiatoire. Ce n'est que l'ombre des choses à venir dont la réalité est le sacrifice de Christ. "Il a voulu montre sa justice dans le temps présent, de manière à être reconnu juste, tout en justifiant celui qui a la foi en Jésus." (Romains 3.26)
    Par ce Psaume nous ne sommes que dans l'ombre de cette merveilleuse réalité. Les chantres louaient et adoraient librement Dieu dans Son sanctuaire et dans Sa présence, dans la tente sur la colline de Sion en étant sous le sang du sacrifice perpétuel de Gabaon. Les cieux publient la justice de Dieu, car c'est Dieu qui est juge ! Sa justice c'est le sacrifice perpétuel pour celui qui croit en ce jugement de substitution et qui donc est justifié tout en reconnaissant la justice de ce "Dieu qui ne tient pas le coupable pour innocent." Dans le contexte du Psaume c'est celui de Gabaon et pour nous celui de notre adorable Seigneur. Dieu est justifié tout en justifiant le pécheur qui a accepté sa condamnation à mort subie sur l'Agneau de Dieu.

7  Écoute, mon peuple ! et je parlerai ; Israël ! et je t’avertirai. Je suis Dieu, ton Dieu.
8  Ce n’est pas pour tes sacrifices que je te fais des reproches ; Tes holocaustes sont constamment devant moi.
9  Je ne prendrai pas de taureau dans ta maison, Ni de bouc dans tes bergeries.
10  Car tous les animaux des forêts sont à moi, Toutes les bêtes des montagnes par milliers ;
11  Je connais tous les oiseaux des montagnes, Et tout ce qui se meut dans les champs m’appartient.
12  Si j’avais faim, je ne te le dirais pas, Car le monde est à moi et tout ce qu’il renferme.
13  Est–ce que je mange la chair des taureaux ? Est–ce que je bois le sang des boucs ?
14  Offre pour sacrifice à Dieu des actions de grâces, Et accomplis tes vœux envers le Très–Haut.
15  Et invoque–moi au jour de la détresse ; Je te délivrerai, et tu me glorifieras.
 

   
    Le Seigneur parle à Son peuple. Il ne le condamne pas comme dans d'autres passages de la Parole dans lesquels Il déclare avoir en abomination les sacrifices qui Lui sont offerts. (par exemple : Jérémie 6.20 ; Amos 5.22) D'autres passages de l’Écriture vont dans le même sens. L’Éternel ne prends pas plaisir à ces sacrifices. Nous retrouvons ces reproches du Seigneur dans Malachie 1.6-8 où Il indique pourquoi ces sacrifices ne peuvent Lui être agréables.
    Dans ces versets du Psaume, c'est différent. Le Seigneur demande à Son peuple qui sacrifie de ne pas rester devant le sacrifice, mais d'avancer vers Lui, car ce sacrifice est la porte d'entrée pour la communion avec l’Éternel. Le Seigneur demande de continuer sur la base du sacrifice agréé pour entrer en communion avec Lui par "le sacrifice d'actions de grâces." Comme nous sommes à Sion, il s'agit de la louange d'un cœur reconnaissant qui se sait agréé étant fondé sur l'expiation du sacrifice de substitution de Gabaon.
    Le Seigneur dit bien que les holocaustes du peuple sont constamment devant Lui. Ils sont donc agréés. Il sont monté en parfum de bonne odeur et la porte des cieux est ouverte pour ceux qui ont sacrifié. La bonne odeur (l'encens) du sacrifice est parvenu jusqu'à Dieu.
    Puisque la porte est ouverte, Dieu demande simplement la reconnaissance, la louange et l'adoration d'un homme quitte de son péché expié par le sang du sacrifice. Nous avons la réalité dans Hébreux 13.15 comme nous l'avons vu plus haut : "Le fruit des lèvres qui confessent son Nom." Le Seigneur ne veut pas que nous restions à la croix, mais avancer pour contempler Celui qui est assis sur le Trône et qui règne. Nous devons garder la croix pour la destruction des œuvres de la chair mais aller au-delà pour offrir ce merci et cette reconnaissance à notre Dieu.
    La sublime récompense de cette attitude de cœur est cette affirmation : "Invoque-moi au jour de la détresse : Je te délivrerai et tu me glorifieras."  Ce qui implique que les jours de détresse font aussi partie de la vie du peuple de Dieu.

6  Et Dieu dit au méchant : Quoi donc ! tu énumères mes lois, Et tu as mon alliance à la bouche,
17  Toi qui hais les avis, Et qui jettes mes paroles derrière toi !
18  Si tu vois un voleur, tu te plais avec lui, Et ta part est avec les adultères.
19  Tu livres ta bouche au mal, Et ta langue est un tissu de tromperies.
20  Tu t’assieds, et tu parles contre ton frère, Tu diffames le fils de ta mère.
21  Voilà ce que tu as fait, et je me suis tu. Tu t’es imaginé que je te ressemblais ; Mais je vais te reprendre, et tout mettre sous tes yeux.


    Le Seigneur se tourne vers le méchant pour lui dire qu'Il connaît son comportement. Il se tait, mais aucun des faits et gestes de celui-ci sont oubliés. Le Seigneur énumère les griefs de cet homme. IL s'adresse au méchant de Son peuple. Il ne s'agit pas de l'étranger. Il fait des reproches afin que ces personnes se repentent, changent d’attitude. Il ne tient pas le coupable pour innocent, mais Il ne veut pas détruire. Il reprend afin que ce "méchant" se repente et change de voie. Sinon, le jugement viendra sur lui.
    Le Seigneur décrit les cœurs de ces adorateurs. Nous voyons pourquoi Il réprimande son peuple. Le sacrifice est agréé car il est aux normes fixés par la loi. Le sacrifice est selon Dieu. C'est le cœur de celui qui sacrifie qui est décrit dans ces versets. Nous développerons cela dans notre prochaine méditation.

22 Prenez–y donc garde, vous qui oubliez Dieu, De peur que je ne déchire, sans que personne délivre.
23  Celui qui offre pour sacrifice des actions de grâces me glorifie, Et à celui qui veille sur sa voie Je ferai voir le salut de Dieu.
 


    La fin de ce Psaume est empreinte de grâce. Le méchant est repris afin qu'il se repente. La rébellion est sanctionnée très durement pour celui qui a reçu de la part du Seigneur l'injonction de se repentir et qui refuse. Pour les autres, offrir des actions de grâces glorifie le Seigneur. Ceux qui agissent ainsi et qui veillent sur leur voie peuvent voir le salut de Dieu. Ils ont la ferme assurance que Dieu veille sur eux pour les maintenir dans ce salut qui vient de l’Éternel.
     Voilà juste quelques pensées sur ce Psaume de ce chantre qui ne connaissait que la grâce d'une vie de louanges et d'adoration.
    Que chacun puisse aller plus loin dans la richesse de ce Psaume !

jcb



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