dimanche 19 janvier 2014

LES 144000 (APOCALYPSE 7 et 14.1-5)

1  Après  cela, je vis  quatre  anges  debout  aux  quatre coins de la terre; ils  retenaient  les quatre vents de la terre, afin qu’il ne  soufflât  point de vent sur la terre, ni sur  la  mer, ni sur aucun arbre.
2  Et je vis un autre ange, qui montait du côté du soleil levant, et qui tenait le sceau du Dieu vivant; il cria d’une voix forte aux quatre anges à qui il avait été donné de faire du mal à la terre et à la mer,
3  7-2 et il dit: 7-3 Ne faites point de mal à la terre, ni à la mer, ni aux arbres, jusqu’à ce que nous ayons marqué du sceau le front des serviteurs de notre Dieu.
4  Et j’entendis le nombre de ceux qui avaient été marqués du sceau, cent quarante-quatre mille, de toutes les tribus des fils d’Israël:
5  de la tribu de Juda, douze mille marqués du sceau; de la tribu de Ruben, douze mille; de la tribu de Gad, douze mille;
6  de la tribu d’Aser, douze mille; de la tribu de Nephthali, douze mille; de la tribu de Manassé, douze mille;
7  de la tribu de Siméon, douze mille; de la tribu de Lévi, douze mille; de la tribu d’Issacar, douze  mille;
8  de la tribu de Zabulon, douze mille; de la tribu de Joseph, douze mille; de la tribu de Benjamin, douze mille marqués du sceau.

    Il existe de nombreuses interprétations au sujet de ce chapitre, comme d’ailleurs sur tout le livre de l'Apocalypse. Je veux simplement partager ce que je crois, sans la prétention d’affirmer que c’est la seule façon valable ou véritable d’interpréter cette vision. Je suis sûr que certains ne seront pas d’accord avec ma pensée. Je veux simplement dire ce que je crois et pourquoi je crois ce que je vais écrire. Je ne cherche pas à convaincre, mais si ce partage exalte le Seigneur dans les cœurs, cela me suffit amplement!
    Je ne suis pas de l’école des dispensationnalistes. L’Apocalypse est la révélation de Jésus-Christ. (1.1) Je crois profondément qu’il est impossible de séparer Christ de Son Église. Il est impossible de parler de Christ sans Son corps qui est l’Église. Une tête qui vit sans corps, ça n'existe pas ! Puisque l’Apocalypse est la révélation de Jésus-Christ, forcément elle est aussi la révélation céleste de l’Église. C’est mon premier point. 
    De plus l'église est l'épouse de Christ. Lorsque l’Éternel a créé et établi le premier couple sur terre, il leur a précisé, juste après la formation d’Ève tirée de la cote d'Adam :

C'est pourquoi l'homme quittera son père et sa mère et s'attachera à sa femme, et ils deviendront une seule chair. (Genèse 2.24)

     Ève a été prise de l'homme et Dieu a immédiatement prononcé ce que nous venons de lire. Ils ne connaissaient pas de père et de mère. Ils étaient les premiers et venaient de Dieu. C'est difficile à comprendre sans l'explication de Paul dans Éphésiens 5. Il reprend ce verset et l'applique à Christ et à l'Église, son épouse. Cette épouse est composée premièrement du Juif, et ensuite du Grec (païen). Dès le départ de la création de l'homme et de la femme, Christ est présent dans la pensée du Père.

    J'ai entendu dire par des frères que l'Église n'était qu'une parenthèse dans le plan de Dieu. Pour moi, c'est une affirmation désobligeante, (pour être modéré dans mes propos) qui salit la gloire de Christ et de Son Église. La valeur de l'Église est aussi grande et démesurée que l'amour de Dieu manifesté par la croix de Christ. Nous avons été tirés de Christ, de Ses souffrances, de Sa mort sacrificielle, pour être Son épouse bien-aimée, le Juif toujours en premier et le Grec (païen).
    Il est vrai que ces 144000 sont définis comme étant les douze tribus d’Israël. Sauf que, dans cette énumération Dan est oublié ainsi que Ephraïm qui a, même étant puîné, reçu la bénédiction prééminente de premier-né sur son frère Manassé. ( …c’est ainsi qu’il mit Ephraïm avant Manassé Genèse 48.20) Il est possible que Ephraïm soit représenté par Joseph, mais Dan est complètement oublié. De plus, les dix tribus du nord étaient toutes mélangées avec les nations. Ésaïe, Osée emploient le nom d'Ephraïm pour prophétiser sur les dix tribus du Nord. Nous pouvons dire aussi qu’il est impensable que le nombre des membres de chaque tribu soit identique. Nous sommes donc dans des images ou des symboles, qui représentent des vérités spirituelles
    Paul, dans Romains 11.5 affirme, en comparant les Juifs nés de nouveau aux 7000 qui n’ont pas fléchi le genou devant Baal : qu’il y a un reste, selon l’élection de la grâce. L’apôtre affirme aussi dans cette même épître en 3.23 : car tous ont péché et sont privés de la gloire de Dieu (ou n’atteignent pas à la gloire de Dieu.) Les Juifs, en premier, ont reçu la grâce du salut (le reste fidèle.) Pour cela, ils ont dû naître de nouveau pour être ‘’re-greffé’’ sur l’olivier franc, le véritable, celui qui a la sève de la vie éternelle : NOTRE SEIGNEUR JÉSUS-CHRIST. 
   Les païens convertis ont été greffés avec et milieu de ce nouvel Israël dont la racine donne la sève de la vie éternelle. Jésus a dit, dans Jean 15, ‘’Je suis le vrai Cep.’’ Il est aussi le vrai Olivier. Les premiers disciples qui ont été re-greffés sur l’Olivier franc sont ceux sur qui le Seigneur a soufflé en leur disant : ‘’RECEVEZ L’ESPRIT SAINT.’’  (Jean 20.22) Je suis persuadé que ce souffle divin a touché, en même temps tous les fidèles de l'ancienne alliance. Ensuite, ce furent les trois mille d’Actes 2 et le début de la première Église qui va propager l’Évangile dans le monde.  Cela dure encore aujourd’hui et jusqu'au retour de notre Seigneur. 
    Paul donne, dans Romains 2, la description du nouveau Juif selon la nouvelle alliance:

28  Le Juif, ce n’est pas celui qui en a les dehors; et la circoncision, ce n’est pas celle qui est visible dans la chair.
29  Mais le Juif, c’est celui qui l’est intérieurement; et la circoncision, c’est celle du cœur, selon l’esprit et non selon la lettre. La louange de ce Juif ne vient pas des hommes, mais de Dieu.

   Ces 144000 représentent le peuple juif de la nouvelle alliance (Juifs et païens). Ils sont sur la terre. C’est une compagnie comptée et scellée. Douze est un chiffre sacré. Le carré de douze exprime la plénitude parfaite multipliée par 1000, chiffre de l’extension infinie. Il y a les douze patriarches qui ont une descendance selon la promesse et les douze apôtres qui ont une descendance spirituelle engendrée par la prédication de l’Évangile  qui est aussi, le fruit de la promesse faite à Abraham par l’Éternel.
    "Ne faites point de mal à la terre, ni à la mer, ni aux arbres, jusqu’à ce que nous ayons marqué du sceau le front des serviteurs de notre Dieu" crie l’ange en s’adressant à ceux qui retiennent les quatre vents de la colère de Dieu. L’ange sépare les serviteurs de Dieu du reste du monde, afin de les préserver du jugement qui va s’abattre sur la terre. Déjà, au temps du prophète Ézéchiel, le Seigneur avait fait marquer d’un Tav (qui avait la forme de la croix du temps du prophète) sur le front, tous ceux qui soupiraient et gémissaient à cause des horreurs commises par le peuple à Jérusalem. Dieu sépare son peuple !
    Paul écrit dans Philippiens 3.3 :

2  Prenez garde aux chiens, prenez garde aux mauvais ouvriers, prenez garde aux faux circoncis.
3  Car les circoncis, c’est nous, qui rendons à Dieu notre culte par l’Esprit de Dieu, qui nous glorifions en Jésus-Christ, et qui ne mettons point notre confiance en la chair.

    Ce sont les vrais circoncis qui rendent un culte à Dieu par Son Esprit. Paul les identifie et il les compare aux faux circoncis, ceux qui n'ont pas accepté la grâce de Dieu par la justice de la croix. Pour ma part, il m'est impossible de croire que l'Israël non converti puisse être nommé par l'ange ''serviteur de Dieu''. Il s'agit des serviteurs de Dieu de la nouvelle alliance. Le Juif premièrement et le païen. C'est le nouvel homme que Christ des deux, le Juif et le païen n'en a fait qu'un seul, la nouvelle humanité. Lisons deux versets dans Éphésiens 2:


15 Il a dans sa chair annulé la loi avec ses commandements et leur disposition pour créer en sa personne, avec les deux, un seul homme nouveau en faisant la paix
16 et pour les réconcilier avec Dieu tous deux en un seul corps par sa croix, en faisant mourir par elle l'inimitié.
    
    Poursuivons notre lecture:

9 Après cela, je regardai, et voici, il y avait une grande foule, que personne ne pouvait compter, de toute nation, de toute tribu, de tout peuple, et de toute langue. Ils se tenaient devant le trône et devant l'agneau, revêtus de robes blanches, et des palmes dans leurs mains.
10 Et ils criaient d'une voix forte, en disant : Le salut est à notre Dieu qui est assis sur le trône, et à l'agneau.
11 Et tous les anges se tenaient autour du trône et des vieillards et des quatre êtres vivants; et ils se prosternèrent sur leurs faces devant le trône, et ils adorèrent Dieu,
12 en disant : Amen ! La louange, la gloire, la sagesse, l'action de grâces, l'honneur, la puissance, et la force, soient à notre Dieu, aux siècles des siècles ! Amen !


    Il est à remarquer que Jean entend le nombre de ceux qui vont être marqués du sceau. Il ne les voit pas mais il entend seulement le nombre. Je crois que la deuxième partie de la vision représente la réalité céleste des serviteurs de Dieu qui rendent un culte devant le trône. Ils sont de toutes nations, de toutes tribus, de tous peuples et de toutes langues. Ils servent Dieu et l'Agneau devant le trône vêtus de robes blanches et ils ont des palmes à la main. Cette précision est très importante car ces palmes symbolisent la fête des huttes. Seuls les Juifs célébraient cette fête. Ici, se sont les hommes de tous les peuples, Juifs et non-Juifs qui la célèbrent. C'est une fête exclusive pour les Juifs. Or, dans cette vision, tous participent à cette fête. Il s'agit des juifs de la nouvelle alliance, l'Israël de Dieu. Dieu n'a pas oublié Son peuple puisque Jésus est venu pour le sauver. Par ce salut des Juifs, le ciel s'est ouvert à tous les peuples. C'est ce que nous voyons dans cette vision.

    Encore une autre précision concernant ce que je crois au sujet de ce nouvel Israël. Lisons Colossiens 2.11:

En lui (Jésus) aussi vous avez été circoncis d'une circoncision qui n'est pas faite par la main des hommes; c'est-à-dire le dépouillement du corps de la chair: la circoncision du Christ. 

     C'est vraiment clair. Nous sommes circoncis (Juifs et païens) de la circoncision de Christ. Nous sommes entrés dans cet Israël de Dieu par la foi en la justice de la croix. "Nous avons été ensevelis avec lui par le baptême, et aussi ressuscités en lui et avec lui par la foi en la puissance de Dieu qui l'a ressuscité d'entre les morts." (verset 12) C'est le baptême qui est le symbole de notre circoncision. Nous avons laissé notre vieille nature au fond de l'eau en s'identifiant par ce baptême à la mort de Christ. Nous devons vivre fondés, enracinés sur cette vérité.

    C'est la louange et l'adoration du peuple de Dieu (le Juif et le païen) typifiée par les vingt-quatre anciens, les quatre êtres vivants et la grande foule, l'adoration de ceux qui sont sur la terre et dont nous voyons les réalités spirituelles devant le trône.

13 Et l'un des vieillards prit la parole et me dit : Ceux qui sont revêtus de robes blanches, qui sont-ils, et d'où sont-ils venus ?
14 Je lui dis : Mon seigneur, tu le sais. Et il me dit : Ce sont ceux qui viennent de la grande tribulation; ils ont lavé leurs robes, et ils les ont blanchies dans le sang de l'agneau.
15 C'est pour cela qu'ils sont devant le trône de Dieu, et le servent jour et nuit dans son temple. Celui qui est assis sur le trône dressera sa tente sur eux;
16 ils n'auront plus faim, ils n'auront plus soif, et le soleil ne les frappera point, ni aucune chaleur.
17 Car l'agneau qui est au milieu du trône les paîtra et les conduira aux sources des eaux de la vie, et Dieu essuiera toute larme de leurs yeux.


  Ces personnes revêtues de vêtements blancs sont ceux qui viennent de la grande tribulation. La première Église était dans cette grande tribulation. Elle était persécutée à outrance par toutes sortes de moyens. Cette persécution a duré tout au long des siècles. Il n'est pas nécessaire de préciser comment. Il suffit de regarder l'histoire avec les yeux ouverts et sans aucun parti pris. Nous savons cela. Combien sont morts à cause de leur attachement sans compromis à la vérité de l’Évangile! Combien ont été privés de liberté, ont été torturés, persécutés, exécutés, spoliés de leurs biens etc... Ceux-là sont devant le trône revêtus de la splendeur de la justice de Dieu qui vient de la croix!

    Celui qui est assis sur le trône dressera sa tente sur eux. Cette tente c'est celle de la fête des huttes. L'Agneau les fera paître, les conduira aux sources des eaux de la vie. Nous avons la réalité spirituelle de ce peuple de Dieu qui souffre et la provision divine par Dieu et l'Agneau durant leur marche dans ce monde.
    Cette lettre a été dictée par le Seigneur Lui-même pour Son Épouse, Son Église persécutée. Elle est une lettre d'encouragement, mais aussi d'avertissements (lettre aux sept églises) pour Son Église. Il dévoile les réalités spirituelles de ce qui se vit dans la dimension de l'espace/temps. IL RÈGNE! Voilà le vrai message de ce livre. Il tient les rênes, rien n'échappe à Sa toute puissance.
     Ce ne sont que quelques pensées sur ce chapitre. Toutes les visions différentes ne sont que des images, des symboles qui représentent l’Église sous différents aspects. Parfois nous la voyons sur terre, parfois dans la dimension de l'esprit, mais je crois que c'est toujours en rapport avec Christ et son Épouse. 



Regardons à présent les premiers versets du chapitre 14:

1  Je regardai, et voici, l’agneau se tenait sur la montagne de Sion, et avec lui cent quarante-quatre mille personnes, qui avaient son nom et le nom de son Père écrits sur leurs fronts.
2  Et j’entendis du ciel une voix, comme un bruit de grosses eaux, comme le bruit d’un grand tonnerre; et la voix que j’entendis était comme celle de joueurs de harpes jouant de leurs harpes.
3  Et ils chantent un cantique nouveau devant le trône, et devant les quatre êtres vivants et les vieillards. Et personne ne pouvait apprendre le cantique, si ce n’est les cent quarante-quatre mille, qui avaient été rachetés de la terre.
4  Ce sont ceux qui ne se sont pas souillés avec des femmes, car ils sont vierges; ils suivent l’agneau partout où il va. Ils ont été rachetés d’entre les hommes, comme des prémices pour Dieu et pour l’agneau;
5  et dans leur bouche il ne s’est point trouvé de mensonge, car ils sont irrépréhensibles.


    Cette vision est merveilleuse. Elle montre la gloire de l’Église sur le mont Sion. L'Agneau est là avec les cent quarante quatre mille, cette compagnie comptée et scellée du sceau de Dieu sur lequel est écrit le nom de l'Agneau et le nom de Son Père. 
    Sion est le lieu sur lequel David avait dressé une tente pour accueillir l'arche de l'alliance. Dans cette tente, comme nous avons déjà vu, les chantres louaient et adoraient Dieu en étant devant Sa Face, car il n'y avait pas de rideau pour cacher cette arche. Ce n'étaient que louanges et adoration à Sion. Les sacrifices perpétuels du matin et du soir avaient lieu dans le tabernacle qui se trouvait à Gabaon à quelques kilomètres au nord ouest de Sion. Il est écrit dans 1Chroniques 16 :

39  Il établit le sacrificateur Tsadok et les sacrificateurs, ses frères, devant le tabernacle de l’Éternel, sur le haut lieu qui était à Gabaon,
40  pour qu’ils offrissent continuellement à l’Éternel des holocaustes, matin et soir, sur l’autel des holocaustes, et qu’ils accomplissent tout ce qui est écrit dans la loi de l’Éternel, imposée par l’Éternel à Israël.


    La loi de l’Éternel était accomplie à Gabaon, car Sion ne pouvait exister que sur la base, le fondement des sacrifices de la loi garantissant, par ceux-ci, la présence en grâce de l’Éternel  et préfigurant celui de la croix de Christ, une fois pour toutes. Sion était déjà, en symbole, le sanctuaire ouvert à tous les sacrificateurs par le sang de l'agneau, la grâce de la présence de Dieu sans les sacrifices. Nous sommes ce royaume de sacrificateurs.
    Nous sommes scellés par le Saint-Esprit. C'est une marque invisible pour nous, mais visible dans la dimension de l'esprit. Nous sommes protégés par le sceau de Dieu. Sur ce sceau est écrit le Nom de l'Agneau et de Son Père! Le Nom de l'Agneau est Seigneur des seigneurs et Roi des rois. (Apocalypse 17.14)  Il est écrit, dans ce verset que l'Agneau est vainqueur car il est Seigneur des seigneurs et Roi des rois avec les appelés, les élus et les fidèles qui sont avec Lui. Comment pouvons-nous être avec Lui ? Nous avons la réponse dans les visions que nous venons de méditer. 
    Nous sommes scellés avec le nom de l'Agneau et de son Père sur le front. Nous sommes sur la montagne de Sion avec Lui, car c'est l’Église dont les membres ont ce sceau sur leurs fronts. Jean entend une voix comme la voix des grandes eaux, c'est-à-dire un bruit énorme, ponctué d'un puissant coup de tonnerre. Lorsqu'il précise le son, c'est celui de ''joueurs de harpe jouant de la harpe''. Il continue sa description : "Ils chantent un cantique nouveau devant le trône et devant les quatre êtres vivants et les anciens." C'est vraiment paradoxal car il y a la majesté et la puissance de l'orage et des grandes eaux et la douceur d'un cantique devant le trône. C'est la toute puissance de Dieu qui est manifestée par les louanges et l'adoration du peuple de Dieu. 
    L’Église, la véritable, est toujours en communion avec le trône par la puissance de l'Esprit de Dieu. Où que nous soyons sur toute la surface de cette terre, nous sommes un devant le trône. Nous sommes un en et avec Lui, ou plutôt, Lui est avec nous et nous rentrons dans Sa victoire (17.14)
    Ils ne sont pas souillés avec des femmes parce qu'ils sont vierges. Il s'agit de la souillure en allant vers des idoles, de quelque nature qu'elles soient. Ils rendent un culte exclusif à Dieu par la puissance de l'Esprit Saint et sur les mérites du Seigneur Jésus. Il n'y a pas de fornication spirituelle, ni d'adultère de même type!
    Ce ne sont que quelques pensées de ce sujet si vaste et si beau de Christ et son Épouse. A chacun d'aller plus loin.


jcb









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