mardi 29 octobre 2013

COURTE MÉDITATION SUR 1 PIERRE 3.15

15  Mais sanctifiez dans vos cœurs Christ le Seigneur, étant toujours prêts à vous défendre, avec douceur et respect, devant quiconque vous demande raison de l’espérance qui est en vous, 

    La première partie de ce verset m'a toujours interpellé. Comment sanctifier Christ dans notre cœur de façon concrète, réelle? J'ai posé cette question au Seigneur et par Sa grâce infinie, Il m'a répondu, pas de façon audible, mais en parcourant Sa Parole! J'ai déjà partagé cela dans d'autres méditations, mais j'aimerai aller plus loin en prenant des exemples dans la Bible. Lisons quelques versets du livre des Nombres, chapitre 20:

7  L’Éternel parla à Moïse, et dit:
8  Prends la verge, et convoque l’assemblée, toi et ton frère Aaron. Vous parlerez en leur présence au rocher, et il donnera ses eaux; tu feras sortir pour eux de l’eau du rocher, et tu abreuveras l’assemblée et leur bétail.
9  Moïse prit la verge qui était devant l’Éternel, comme l’Éternel le lui avait ordonné.
10  Moïse et Aaron convoquèrent l’assemblée en face du rocher. Et Moïse leur dit: Écoutez donc, rebelles! Est-ce de ce rocher que nous vous ferons sortir de l’eau?
11  Puis Moïse leva la main et frappa deux fois le rocher avec sa verge. Il sortit de l’eau en abondance. L’assemblée but, et le bétail aussi.
12  Alors l’Eternel dit à Moïse et à Aaron: Parce que vous n’avez pas cru en moi, pour me sanctifier aux yeux des enfants d’Israël, vous ne ferez point entrer cette assemblée dans le pays que je lui donne.
13  Ce sont les eaux de Meriba, où les enfants d’Israël contestèrent avec l’Eternel, qui fut sanctifié en eux.

    
Moïse et Aaron n'ont pas sanctifié l’Éternel dans cette situation. Ils n'ont pas serré dans leur cœur cette parole: "Tu parleras au rocher." Moïse était irrité car le peuple contestait avec lui. Il voulait de l'eau et il n'y en avait pas. "Le peuple contesta avec Moïse" est-il écrit au verset 3 de ce chapitre. Moïse et Aaron vont à l'entrée de la tente de la rencontre, la gloire de Dieu apparaît et ils reçoivent l'ordre de parler au rocher. Moïse a sanctifié, gardé dans son cœur sa colère contre le peuple! Il n'a pas parlé au rocher, il a frappé deux fois le rocher avec son bâton et a exprimé sur le rocher l'irritation qu'il avait envers le peuple. L'eau a coulé car l’Éternel est fidèle, mais la sanction est tombée sur Moïse et Aaron. Le rocher, nous le savons par 1 Corinthiens 10.4, était le Christ et "ils buvaient à un rocher spirituel qui les suivait."
    Le rocher frappé est l'image de Christ frappé à la croix, une fois pour toutes. Le rocher a été frappé par Moïse au tout début de leur marche dans le désert à Réphidim (Exode 17.1-7) Christ est mort une fois pour toutes et Il est ressuscité. C'est pour cette raison que Moïse devait parler au rocher déjà frappé. Il n'a pas sanctifié la Parole de Dieu dans son coeur, il ne l'a pas mise à part. Il a mis à part (sanctifié) sa colère vis-à-vis du peuple.
    Cette Parole de Dieu est Jésus-Christ pour nous qui sommes au bénéfice de la nouvelle alliance! C'est Lui que nous devons sanctifier, mettre à part, dans nos cœurs: la Parole vivante dans nos cœurs par Son Esprit. Christ la Parole nous guide...si nous obéissons!

     Le premier exemple de cette situation, nous le trouvons dans la Genèse. L’Éternel Dieu a dit à Adam: " Tu pourras manger de tous les arbres du jardin; mais tu ne mangeras pas de l’arbre de la connaissance du bien et du mal, car le jour où tu en mangeras, tu mourras’’  Adam n'a pas sanctifié (mis à part) cette parole dans son cœur, ni Ève qui a sûrement été avertie par Adam, de ce commandement de Dieu. Au contraire, quand le serpent lui a parlé, elle a retenu, sanctifié dans son cœur cette parole du serpent. En suivant le conseil du serpent, "elle a trouvé l'arbre bon à manger, agréable à la vue et propre à donner du discernement." (Genèse 3.6) AInsi, la parole du serpent a étouffé la parole de l’Éternel Dieu.
    Jean, dans sa première lettre explique bien la démarche dans les cœurs d’Ève et d'Adam.  Il définit ainsi la progression de la pensée qui mène au péché, à la transgression : c'est l'amour du monde et ce qui est dans le monde qui provoque "la convoitise de la chair, la convoitise des yeux et l'orgueil de la vie." Si ces choses sont dans le cœur, il devient impossible de sanctifier Christ, la Parole faite chair, dans nos cœurs. Si nous aimons le monde, notre motivation est ailleurs, non sur le céleste, mais sur le fruit de l'arbre interdit. Pour Adam et Ève, la convoitise de leur envie (la chair) a ouvert la convoitise des yeux (l'arbre est beau) et s'est poursuivi par l'orgueil de la vie (je veux savoir par moi-même sans Dieu)

    Nous avons un autre exemple qui, celui-ci, montre les bénédictions de ceux qui sanctifient la  Parole de Dieu dans leurs cœurs. Lisons le début du livre de Daniel.

1  La troisième année du règne de Jojakim, roi de Juda, Nebucadnetsar, roi de Babylone, marcha contre Jérusalem, et l’assiégea.
2  Le Seigneur livra entre ses mains Jojakim, roi de Juda, et une partie des ustensiles de la maison de Dieu. Nebucadnetsar emporta les ustensiles au pays de Schinear, dans la maison de son dieu, il les mit dans la maison du trésor de son dieu.
3  Le roi donna l’ordre à Aschpenaz, chef de ses eunuques, d’amener quelques-uns des enfants d’Israël de race royale ou de famille noble,
4  de jeunes garçons sans défaut corporel, beaux de figure, doués de sagesse, d’intelligence et d’instruction, capables de servir dans le palais du roi, et à qui l’on enseignerait les lettres et la langue des Chaldéens.
5  Le roi leur assigna pour chaque jour une portion des mets de sa table et du vin dont il buvait, voulant les élever pendant trois années, au bout desquelles ils seraient au service du roi.
6  Il y avait parmi eux, d’entre les enfants de Juda, Daniel, Hanania, Mischaël et Azaria.
7  Le chef des eunuques leur donna des noms, à Daniel celui de Beltschatsar, à Hanania celui de Schadrac, à Mischaël celui de Méschac, et à Azaria celui d’Abed-Nego.
8  Daniel résolut de ne pas se souiller par les mets du roi et par le vin dont le roi buvait, et il pria le chef des eunuques de ne pas l’obliger à se souiller.
9  Dieu fit trouver à Daniel faveur et grâce devant le chef des eunuques.
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16  L’intendant emportait les mets et le vin qui leur étaient destinés, et il leur donnait des légumes.
17  Dieu accorda à ces quatre jeunes gens de la science, de l’intelligence dans toutes les lettres, et de la sagesse; et Daniel expliquait toutes les visions et tous les songes.

    
Combien nous devrions méditer sur ces quelques versets et en tirer des leçons pour notre marche dans ce "pays de Schinear" dans lequel nous vivons! Nous ne sommes pas de ce pays, mais nous y vivons. C'est le pays où se trouvait Babel le lieu de la rébellion de l'homme contre Dieu, le lieu de la tour bâtie par les hommes, la ville où ils ont voulu se faire un nom avec le refus d'obéir à ce qui avait été ordonné : se disséminer sur toute la terre et la peupler. C'est le lieu de la confusion, car Dieu est descendu pour confondre leur langage.
    Ces quatre fils d'Israël étaient à la table du roi de Babylone, dans le pays de Schinear. Ils pouvaient se nourrir des mets du roi et boire de son vin. Ils n'ont pas voulu de ces mets, ni de ce vin. Ils obéissaient à la loi de Dieu. Dieu refuse le  mélange! Ils ont sanctifié la loi dans leurs cœurs Par cette obéissance, cette sanctification de la loi dans leurs cœurs a été vécue par la décision de ne pas se souiller. Ils furent remplis de la grâce de Dieu manifestée par des dons de science, mais aussi de sagesse et l'intelligence dans les lettres. Le Seigneur a honoré leur obéissance et les a armés pour résister à toutes les oppositions auxquelles leur consécration va provoquer. L'opposition ne manque pas de se manifester sur ceux qui obéissent à Dieu!.
    Nous sommes, nous, dans ce pays de Schinear! Les mets ou fruits de ce pays sont "bons à manger, agréables à la vue et propres à donner du discernement." Combien de chrétiens sont séduits par ces fruits comme la télévision, internet et toutes sortes distractions qu'offrent ce pays! Combien de fois nous volons le temps que nous devons à notre Maître en nous gaspillant dans des plaisirs futiles. Je ne dis pas que tout est interdit, loin de moi cette idée, mais que la priorité doit être notre service auprès du Seigneur. Il nous restera assez de temps pour ces plaisirs qui sont sains, si on sait trier dans ce que nous trouvons à travers internet, des émissions télés ou autres.
    Comme l'écrit l'apôtre Paul dans sa première lettre aux Corinthiens: Tout m’est permis, mais tout n’est pas utile; tout m’est permis, mais je ne me laisserai asservir par quoi que ce soit. (1Corinthiens 6.)  Il n'est pas question d'interdiction totale de tout, mais de discerner ce qui, même étant neutre, sans violence ou immoral ou contraire à la foi, risque de nous asservir et de nous éloigner de notre communion avec le Seigneur. Cela peut être un amour immodéré pour la musique, le sport, toutes sortes de loisirs etc. Tout ce qui prend plus de place dans nos cœurs que le Seigneur et Sa Parole.
    Pierre de son côté écrit dans sa deuxième lettre "l'homme est esclave de ce qui a triomphé de lui." Dans le contexte de sa lettre, il s'agit de ceux qui retournent à leur ancienne vie de débauche après avoir eu "la connaissance du Seigneur et Sauveur Jésus-Christ." 
   Combien de croyants(es) se dirigent vers des psychologues "dits chrétiens" plutôt que de se tourner vers le Seigneur! Ils deviennent dépendants de l'homme. C'est là, aussi des mets du roi de Babylone, qui mènent souvent à la faillite de la vie chrétienne. Ce qui est plus grave, car la sagesse de l'homme est mélangée à ce qui appartient à Dieu. "Maudit soit l'homme qui se confie dans un être humain et qui prend la chair pour son appui! prévient Jérémie (17.5-6)
    Nous pourrions multiplier les exemples de ces mets du roi de Babylone ! Que chacun puisse aller plus loin dans ces exemples à partir de ses propres expériences!

    Allons plus loin et regardons un passage très triste dans le livre de Josué, chapitre 7. Il s'agit du crime et de la punition d'Acan:

19  Josué dit à Acan: Mon fils, donne gloire à l’Eternel, le Dieu d’Israël, et rends-lui hommage. Dis-moi donc ce que tu as fait, ne me le cache point.
20  Acan répondit à Josué, et dit: Il est vrai que j’ai péché contre l’Eternel, le Dieu d’Israël, et voici ce que j’ai fait.
21  J’ai vu dans le butin un beau manteau de Schinear, deux cents sicles d’argent, et un lingot d’or du poids de cinquante sicles; je les ai convoités, et je les ai pris; ils sont cachés dans la terre au milieu de ma tente, et l’argent est dessous.
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24  Josué et tout Israël avec lui prirent Acan, fils de Zérach, l’argent, le manteau, le lingot d’or, les fils et les filles d’Acan, ses bœufs, ses ânes, ses brebis, sa tente, et tout ce qui lui appartenait; et ils les firent monter dans la vallée d’Acor.
25  Josué dit: Pourquoi nous as-tu troublés? L’Éternel te troublera aujourd’hui. Et tout Israël le lapida. On les brûla au feu, on les lapida,
26  et l’on éleva sur Acan un grand monceau de pierres, qui subsiste encore aujourd’hui. Et l’Eternel revint de l’ardeur de sa colère. C’est à cause de cet événement qu’on a donné jusqu’à ce jour à ce lieu le nom de vallée d’Acor.

    Acan savait qu'il ne devait pas toucher au butin car il était voué à l'interdit par l’Éternel. Il a vu dans le butin, ce manteau de Schinear, "d'une rare beauté", ainsi que l'argent et l'or. Il a confessé à Josué: J'en ai eu envie et je les ai pris. C'est l'amour de Babylone, l'amour des biens du monde qui l'a poussé à désobéir. C'est la convoitise de la chair, la convoitise des yeux et l'orgueil de la vie qui l'ont fait chuter. Ces choses, les convoitises et l'orgueil, ont étouffé la Parole de Dieu dans son cœur,  Il a sanctifié dans son cœur cette convoitise et cet orgueil de la vie et la désobéissance a suivi.
    Combien nous devons nous méfier de ces plaisirs du monde qui peuvent nous amener à ne plus sanctifier Christ dans notre cœur ! Dans ce cas, avec Acan, cette transgression était très grave, car elle bravait l'interdit de l’Éternel. Il a préféré ces biens terrestres à l'ordre qui a été par Dieu. Ces biens l'ont conduit à la mort, tandis que le reste du peuple, par son obéissance est resté en vie, dès que l'interdit a été découvert et jugé.   
    Nous pouvons, nous aussi avoir cette démarche de préférer des plaisirs qui sans être mauvais en soi, font passer le Seigneur au second plan de notre vie! Nous sommes sous le régime de la grâce  et notre sanction ne sera pas comme celle d'Acan, mais nous risquons de mourir à petit feu spirituellement. 
    Parfois même, nous pouvons retourner vers des plaisirs sains qui peuvent prendre la première place dans notre cœur. Ceux-ci peuvent devenir tellement importants dans nos cœurs que les choses de l'esprit vont être relégués à la deuxième puis parfois à la dernière place au fond de nos cœurs. Ces plaisirs peuvent devenir une perte de communion avec le Seigneur, et la sanction peut être l'amoindrissement ou même la mort de notre vie spirituelle. 
   Je veux ce qu'il y a de plus beau pour ma vie! Pour y arriver, je suis obligé de passer beaucoup de temps pour assouvir mes désirs et même parfois être à la limite d'actions non conformes à ma foi. Nous ne sommes plus sous la loi et l'interdit qui menait à la condamnation à mort! Cette condamnation a été subie à notre place par notre Substitut, notre merveilleux Seigneur et Sauveur. Mais gare à nous, si nous devenons tièdes! C'est la marche vers notre mort spirituelle!
   Pour Acan, le jugement a été extrêmement sévère car il est tombé sur tout ce qui lui appartenait et sur tous les siens. Le jugement a été terriblement dur. Le saint d'Israël a été bafoué et le pardon impossible. Cet endroit a même été nommé la vallée d'Acor, qui signifie vallée maudite ou vallée d'exécration. C'est le lieu de l'expiation de la faute. C'est là que peut commencer une nouvelle vie!
   
Pour conclure cette méditation, continuons notre lecture en allant chez Osée au chapitre 2

16 C'est pourquoi, voici, moi, je l'attirerai, et je la mènerai au désert, et je lui parlerai au cœur; 
17 et de là je lui donnerai ses vignes, et la vallée d'Acor pour une porte d'espérance; et là elle chantera comme dans les jours de sa jeunesse et comme au jour où elle monta du pays d'Égypte. 
18 Et il arrivera, en ce jour-là, dit l'Éternel, que tu m'appelleras: Mon mari,
et tu ne m'appelleras plus: Mon maître. 
19 Et j'ôterai de sa bouche les noms des Baals, et on ne se souviendra plus de leur nom.

    Nous retrouvons cette vallée maudite, cette vallée d'exécration qui est nommée par l’Éternel la porte d'espérance. C'est très impressionnant de savoir que le lieu de la malédiction devient, par la grâce de Dieu, (même sous la loi!) une source d'espérance, la porte, pour Juda et Israël, le peuple de Dieu, qui mène au renouvellement de la communion de Dieu avec Son peuple. Dieu  devient "mon Mari!" Et le peuple a le statut de femme de Son Créateur!
    C'est à travers des jugements terribles que les fils de Juda et d'Israël vont être conduits au désert et là, l’Éternel parle "au cœur" Ce n'est plus les fils de Juda et d'Israël ou le peuple, mais la fiancée, l'épouse de l’Éternel  Il faut la vallée maudite pour le relèvement et le pardon du peuple.
    L’Éternel prononce un réquisitoire très sévère vis-à-vis de Son peuple. Il ne l'appelle plus les fils d'Israël, mais ''elle n'est pas ma femme!" C'est le Mari jaloux qui parle et qui sanctionne Sa femme qui pratique l'adultère spirituel! Il déclare:

--Je la déshabille entièrement!
--Je la rend semblable au désert!
--Je la fais devenir comme une terre aride!
--Je la fais mourir de soif!     etc...

   L’Éternel donne la raison de ce traitement si dur: "Elle dira: je retournerai vers mon premier mari, car alors j'étais plus heureuse!" Nous voyons la fidélité de l’Éternel pour Son peuple, fidélité à l'alliance avec celui-ci. Il veut une relation conjugale (spirituelle) entre Lui et le peuple qui est Son épouse. 
  Pour nous, la leçon est grande! Jésus a dit: "Je suis la porte!" Il a été fait malédiction pour nous afin de nous racheter de la malédiction de la loi. La vallée maudite est ce lieu où, par le jugement exécuté sur Acan, la malédiction de l'interdit a été levée sur le peuple. 
   Jésus, notre bien-aimé est  "notre porte d'espérance". Golgotha est le lieu du jugement qu'Il a subi à la place de l'homme. C'est notre Porte d'espérance! C'est le Rocher frappé!

    Dans la vallée d'Acor, "on dressa un grand tas de pierres encore existant." La croix a été dressée et le péché de l'homme expié par Celui qui a été fait malédiction pour nous. Cette croix existe encore aujourd'hui et pour l'éternité! C'est la Porte de la vallée d'exécration, porte de l'espérance car là et nulle part ailleurs, la malédiction de la la loi a été levée! Paul dans l’Épître aux Galates explique très bien cela! Que notre Seigneur est merveilleux! Quelle grâce!
   
    Encore un mot sur Schinear à partir de la vision du boisseau montrée au prophète Zacharie : Ce pays de Schinear est le lieu où la maison, le sanctuaire de la méchanceté ,a été bâtie, le lieu où règne cette méchanceté! Elle a sa demeure dans ce pays. Elle a été extirpée du peuple de Dieu pour établir sa demeure, son temple, dans le pays de Schinear. 
    La méchanceté, par la croix, a été extirpée du peuple de Dieu. Chaque fois qu'un enfant de Dieu vit comme étant de Schinear, il sacrifie à la méchanceté qui a été enlevée du peuple de Dieu. (Lire Zacharie 5.5-11)

     Que chacun puisse aller plus loin dans la découverte des perles de la Parole vivante !
  
jcb












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