La
première série d’étude sur Jean a commencé le 18-11-2016
Le texte qui suit est la transcription d'un message donné en anglais. La forme orale a été conservée, mais des titres de sections ont été ajoutés pour faciliter la lecture. (NdT)
Bonjour
et bienvenue dans notre vingt-huitième leçon sur ce merveilleux
évangile de Jean.
Avant
de prier j'aimerais vous partager le Psaume
28:1 qui
dit: « ...De
peur que, si tu t'éloignes sans me répondre, je ne sois semblable à
ceux qui descendent dans la fosse. »
Je ne sais pas ce que David voulait dire par descendre dans la fosse,
mais je ne veux pas aller là-bas. Si Dieu est silencieux et ne me
parle pas, alors je serai semblable à ceux qui descendent dans la
fosse. Le Seigneur ne désire pas être silencieux envers nous, Il a
dit que ceux qui ont des oreilles écoutent. C’est pour cela que
nous pouvons mettre notre confiance dans le Seigneur pour que nous ne
soyons pas comme ceux qui descendent dans la fosse.
Prions:
Notre
Père, nous Te remercions pour Ta précieuse parole. Nous Te
remercions pour le Saint-Esprit qui vit dans nos cœurs, pour
toujours à nouveau centrer nos cœurs vers le Seigneur Jésus. Alors
que nous méditons sur l’évangile de Jean, nous prions que nous
puissions Le voir d’une manière vivante et toute nouvelle. Merci
pour toutes Tes vérités vivantes, nous prions que Tu puisses les
écrire dans notre cœur aujourd’hui. Nous savons que lorsque nous
Te voyons en réalité alors nous devenons comme Toi. Nous Te
demandons donc de parler à notre cœur, et nous Te le demandons dans
le nom merveilleux de notre Seigneur Jésus. Amen.
RÉSUMÉ
Merci
de prendre Jean
7. Dans le
chapitre 7, nous avons vu le discours du Seigneur lors de la fête
des Tabernacles et l’opposition grandissante contre Lui.
Dans
notre précédente leçon, nous avons essayé de répondre à ces
trois questions, qui nous sont suggérées par Jean
20:30-31.
Selon Jean
7 qui est
Christ? Qu’est-ce que la foi et qu’est-ce que la vie? Qui est
Christ? C’est l’eau de la vie.
Jean 7:37-39 dit: « Le dernier jour, le grand jour de la fête, Jésus, se tenant debout, s'écria: Si quelqu'un a soif, qu'il vienne à moi, et qu'il boive. Celui qui croit en moi, des fleuves d'eau vive couleront de son sein, comme dit l'Écriture. Il dit cela de l'Esprit que devaient recevoir ceux qui croiraient en lui; car l'Esprit n'était pas encore, parce que Jésus n'avait pas encore été glorifié. »
Qui est Christ? Il est l’eau de la vie.
Jean 7:37-39 dit: « Le dernier jour, le grand jour de la fête, Jésus, se tenant debout, s'écria: Si quelqu'un a soif, qu'il vienne à moi, et qu'il boive. Celui qui croit en moi, des fleuves d'eau vive couleront de son sein, comme dit l'Écriture. Il dit cela de l'Esprit que devaient recevoir ceux qui croiraient en lui; car l'Esprit n'était pas encore, parce que Jésus n'avait pas encore été glorifié. »
Qui est Christ? Il est l’eau de la vie.
Et
ensuite
Qu’est-ce que la foi? La foi c’est boire. La foi c’est
désirer et avoir soif de Lui. C’est la volonté de vouloir.
Jean 7:37 dit: « Le dernier jour, le grand jour de la fête, Jésus, se tenant debout, s'écria: Si quelqu'un a soif, qu'il vienne à moi, et qu'il boive. Celui qui croit en moi, des fleuves d'eau vive couleront de son sein, comme dit l'Écriture. »
Vous voyez, la foi c’est avoir soif. Jean 7:17 dit: « Si quelqu'un veut faire sa volonté, il connaîtra si ma doctrine est de Dieu, ou si je parle de mon chef. » Nous voyons ici que la connaissance n’est pas une question de pensée ou d’intellect. La connaissance est une question de volonté. Si quelqu’un veut faire Sa volonté, il connaîtra.
Jean 7:37 dit: « Le dernier jour, le grand jour de la fête, Jésus, se tenant debout, s'écria: Si quelqu'un a soif, qu'il vienne à moi, et qu'il boive. Celui qui croit en moi, des fleuves d'eau vive couleront de son sein, comme dit l'Écriture. »
Vous voyez, la foi c’est avoir soif. Jean 7:17 dit: « Si quelqu'un veut faire sa volonté, il connaîtra si ma doctrine est de Dieu, ou si je parle de mon chef. » Nous voyons ici que la connaissance n’est pas une question de pensée ou d’intellect. La connaissance est une question de volonté. Si quelqu’un veut faire Sa volonté, il connaîtra.
Qu’est-ce
que la foi selon Jean
7? Eh bien
si Christ est l’eau vive, alors la foi c’est boire. Et qu’est-ce
que la vie selon Jean
7? C’est
la satisfaction. La vie c’est être désaltéré. La vie c’est
déborder du salut. Voici encore une fois ce que dit Jean
7:38:
« Celui qui croit en moi, des fleuves d'eau vive couleront de son sein, comme dit l'Écriture. »
C’est cela la vie. Pour terminer avec le chapitre 7, j'aimerais encore une fois souligner le progrès que l’on voit en Jean 4 qui parle de la femme près du puits où Jésus est présenté en tant que l’eau de la vie, et Jean 7 où Jésus est aussi présenté en tant que l’eau de la vie. Il y a un progrès du chapitre 4 à 7. Jésus lui répondit en Jean 4:-13-14:
« Quiconque boit de cette eau aura encore soif; mais celui qui boira de l'eau que je lui donnerai n'aura jamais soif, et l'eau que je lui donnerai deviendra en lui une source d'eau qui jaillira jusque dans la vie éternelle. »
Le mot clé ici est « en lui ». L’eau que Jésus donnera sera une source d’eau en lui qui jaillira jusque dans la vie éternelle. Mettez cela en contraste avec Jean 7:38 qui dit:
« Celui qui croit en moi, des fleuves d'eau vive couleront de son sein, comme dit l'Écriture. »
C’est cela la vie. Pour terminer avec le chapitre 7, j'aimerais encore une fois souligner le progrès que l’on voit en Jean 4 qui parle de la femme près du puits où Jésus est présenté en tant que l’eau de la vie, et Jean 7 où Jésus est aussi présenté en tant que l’eau de la vie. Il y a un progrès du chapitre 4 à 7. Jésus lui répondit en Jean 4:-13-14:
« Quiconque boit de cette eau aura encore soif; mais celui qui boira de l'eau que je lui donnerai n'aura jamais soif, et l'eau que je lui donnerai deviendra en lui une source d'eau qui jaillira jusque dans la vie éternelle. »
Le mot clé ici est « en lui ». L’eau que Jésus donnera sera une source d’eau en lui qui jaillira jusque dans la vie éternelle. Mettez cela en contraste avec Jean 7:38 qui dit:
«Celui qui croit en moi, des fleuves d'eau vive couleront de son sein, comme dit l'Écriture. »
Est-ce que vous voyez la différence? D’un côté on parle d’une source en Lui et d’un autre côté de fleuves qui coulent de lui. En d’autres mots, le progrès est que Christ est l’eau de la vie qui satisfait ma soif personnelle et ensuite Christ est l’eau de la vie qui coule de moi en tant que fleuves, qui jaillissent pour satisfaire la soif de tous ceux qui sont dans mon cercle d’influence.
Si
vous regardez Jean
7:38,
vous
verrez qu’il ne s’agit pas d’un message qui coule à travers
nous. C’est à cela que nous pensons habituellement. Nous pensons
au témoignage et au fait de partager l’évangile. Un message ne
sauve pas. Les gens n’ont pas besoin d’un plan du salut. Ils ont
besoin d’un Seigneur vivant. Les gens désirent rencontrer mon cher
Sauveur. Il ne s’agit donc pas d’un message qui coulerait de
vous. Il ne s’agit pas d’une bénédiction qui coulerait de vous
lorsque quelqu’un dit: « j’aimerais vous bénir, voici un
don d’argent » ou « j’aimerais vous bénir, voici un
conseil qui je le pense peut vraiment vous aider » ou quelque
chose d’autre . Ce n’est pas cela qui coule.
Voici
à nouveau ce que dit Jean
7:38-39: « Celui
qui croit en moi, des fleuves d'eau vive couleront de son sein, comme
dit l'Écriture. Il dit cela de l'Esprit que devaient recevoir ceux
qui croiraient en lui; car l'Esprit n'était pas encore, parce que
Jésus n'avait pas encore été glorifié. »
Les fleuves ne sont pas un message. Les fleuves ne sont pas un plan du salut. Les fleuves ne sont pas des bénédictions. Jésus parlait de l’Esprit qu’ils allaient recevoir. Les fleuves sont une vie. Il s’agit de la vie de Dieu. Et toutes les personnes qui boivent de Christ ne sont pas uniquement personnellement satisfaites, mais de leur être intérieur coule également la vie de Dieu. C’est cela le ministère chrétien comme Dieu a prévu qu’il soit. C’est cela le service chrétien comme Dieu l’a prévu. Il n’y a aucun fardeau là-dedans, c’est plutôt un délice. C’est cela la merveille que d’être une bénédiction pour quelqu’un d’autre.
Les fleuves ne sont pas un message. Les fleuves ne sont pas un plan du salut. Les fleuves ne sont pas des bénédictions. Jésus parlait de l’Esprit qu’ils allaient recevoir. Les fleuves sont une vie. Il s’agit de la vie de Dieu. Et toutes les personnes qui boivent de Christ ne sont pas uniquement personnellement satisfaites, mais de leur être intérieur coule également la vie de Dieu. C’est cela le ministère chrétien comme Dieu a prévu qu’il soit. C’est cela le service chrétien comme Dieu l’a prévu. Il n’y a aucun fardeau là-dedans, c’est plutôt un délice. C’est cela la merveille que d’être une bénédiction pour quelqu’un d’autre.
Je
n’ai pas besoin de continuellement regarder au-dessus de mon épaule
en me demandant: « Est-ce que Dieu m’utilise? Est-ce que
je suis une bénédiction pour les autres? » La base de mon
assurance que Dieu m’utilise n’est pas ce que certains appellent
fruit. Ce n’est pas: « Combien de personnes avez-vous
conduites à Christ? » Ce n’est pas: « Combien de
personnes ont pris une décision lorsque vous avez partagé
l’évangile? » La question n’est pas là. Il ne s’agit
pas de savoir si vous supportez la mission ou si vous êtes actifs
dans une assemblée locale. Ce n’est pas de cela dont il s’agit.
La question est la suivante: « Est-ce que je bois à la
fontaine? » Christ est l’eau de la vie. Si je bois, alors Sa
vie me satisfait et coule à travers moi vers les autres. La seule
condition, pour être une bénédiction pour quelqu’un d’autre,
est d’être sûr et certain que moi je bois bien à la source. Si
je ne bois pas à la source, je ne peux pas être une bénédiction.
Il
y a tellement de chrétiens dont la vie s’est asséchée et ils ne
comprennent pas pourquoi. Peut-être qu’ils se disent: « Ma
vie est si sèche, je crois que je dois davantage m’engager. »
Puis ils essaient de devenir une bénédiction et d’être actifs
dans l’église, dans les réunions et tout ce genre de choses. Non,
pour être bénis et être en bénédiction, c’est aussi simple que
de boire la vie de Jésus-Christ. Plus vous Le connaissez, plus des
fleuves vont jaillir de votre être. Vous ne pouvez pas stopper cela,
c’est automatique, c’est Dieu qui fait cela. La vie c’est donc
avoir une source qui jaillit en moi, qui me satisfait continuellement
et qui coule à travers moi. Je ne peux pas vous satisfaire vous, si
je ne peux pas être satisfait moi-même. Si je ne me nourris pas de
la vie de Dieu, je ne peux pas laisser couler la vie de Dieu vers les
autres.
Un
serviteur de Dieu n’est rien s’il ne se nourrit pas de la vie de
Dieu. Un enseignant n’est rien s’il ne boit pas de la vie de
Dieu. Une œuvre chrétienne ne peut rien faire si elle ne peut pas
elle-même boire de la vie de Dieu. Il y a tellement de missionnaires
qui ont laissé tant de choses derrière eux en partant pour un pays
étranger, mais ils n’ont pas appris le secret de se plonger dans
la vie de Christ, alors ils reviennent tellement épuisés et
accablés. Pourquoi? Parce qu’ils ne boivent pas à Christ!
Laissez-moi
résumer tout cela en citant ce que je crois être le plus grand
psaume missionnaire dans la Bible. Il s’agit du Psaume
67. Voici
de quelle manière il commence.
Psaume 67:1-2 dit: « Que Dieu ait pitié de nous et qu'il nous bénisse, qu'il fasse luire sur nous sa face, afin que l'on connaisse sur la terre ta voie, et parmi toutes les nations ton salut! »
Lorsque Dieu fait luire sur nous Sa face, alors il peut y avoir une bénédiction jusqu’au bout de la terre. Psaume 67:8 dit:
« Dieu, nous bénit, et toutes les extrémités de la terre le craignent. »
N’est-ce pas quelque chose de grand? Ainsi nous buvons pour que nous puissions être en situation de rédempteurs vis-à-vis de la terre. Chaque fois que vous appliquez Christ à votre cœur, il y a une application missionnaire de cette appropriation de Christ et des fleuves couleront à travers vous.
Psaume 67:1-2 dit: « Que Dieu ait pitié de nous et qu'il nous bénisse, qu'il fasse luire sur nous sa face, afin que l'on connaisse sur la terre ta voie, et parmi toutes les nations ton salut! »
Lorsque Dieu fait luire sur nous Sa face, alors il peut y avoir une bénédiction jusqu’au bout de la terre. Psaume 67:8 dit:
« Dieu, nous bénit, et toutes les extrémités de la terre le craignent. »
N’est-ce pas quelque chose de grand? Ainsi nous buvons pour que nous puissions être en situation de rédempteurs vis-à-vis de la terre. Chaque fois que vous appliquez Christ à votre cœur, il y a une application missionnaire de cette appropriation de Christ et des fleuves couleront à travers vous.
LA
FEMME ADULTÈRE
Très bien, cela nous amène à Jean 8. J’aimerais attirer votre attention sur le fait que les versets 8:1-11, qui parlent de la femme adultère, ne sont pas dans toutes les bibles. En fait, on ne trouve pas ce passage dans les manuscrits les plus anciens que nous avons, certains les ajoutent dans les meilleurs manuscrits. Certains critiques sont prêts à jeter ces versets hors de la Bible disant: « Ces versets ne devraient même pas être dans la Bible. » Pour expliquer leurs propos, ils disent que ces versets ne sont pas dans les manuscrits les plus anciens et que certains des pères de l’église ne les citent jamais. Il y a une traduction de la Bible qui a cette histoire, mais cela se trouve après Jean 21. Ils insèrent cette histoire à la fin de Jean plutôt qu'ici lors de la fête des Tabernacles.
Ces
deux arguments ne sont pas très forts parce que premièrement ils
disent que cela ne se trouve pas dans les manuscrits les plus
anciens. Mais comment savent-ils cela? Nous n’avons pas les
manuscrits les plus anciens. Il y a encore de vieux manuscrits qui
n’ont pas été découverts. Augustin a vécu dans les années 400,
est-ce que vous diriez que cela est très vieux? Lui avait
personnellement un problème avec ceux qui avaient un problème avec
ce texte. Augustin était de ceux qui désiraient garder cela dans la
Bible. C’est donc un manuscrit très ancien qu’il avait ici.
Voilà ce qu’il en dit: « Si une femme devient adultère et
se repent, son mari devrait se réconcilier avec elle parce que notre
Seigneur a dit je ne te condamne pas non plus, va et ne pêche
plus. Je sais que cela peut choquer la pensée de certains
chrétiens faibles ou celle des incroyants qui sont ennemis de la foi
chrétienne, parce qu’ils peuvent avoir peur que ce passage puisse
donner à leur épouse une impunité pour pécher et c’est pour
cela qu’ils ont arraché ce passage de leur bible. »
Avec
cela Augustin veut souligner le fait qu’en rejetant ce texte, les
hommes voulaient éviter que leurs épouses ne commettent des
infidélités en toute impunité, sans en subir les conséquences
parce que Jésus n’avait pas condamné cette femme. Il dit donc que
l’église des premiers siècles a supprimé ce passage, parce
qu’elle avait peur de voir des femmes vivre des vies dissolues et
que cela fasse croire que Jésus ne faisait pas grand cas du péché.
Un autre argument des personnes qui ne veulent pas de ce texte, est
de dire que les pères de l’église ne l’ont pas cité. Mais il y
a d’autres passages que les pères de l’église n’ont pas
cités. Lorsque vous écrivez des commentaires, vous n’écrivez pas
quelque chose sur tous les versets. La raison pour laquelle je vous
ai parlé de cela, est qu’il vous arrivera sûrement de tomber sur
ce genre d’arguments lors de votre étude de la Bible.
Certains
ont fait savoir que ce passage a été appelé le passage sur lequel
il y a le plus de disputes dans le Nouveau Testament. Cela me donne
des encouragements parce que s’il s’agit du passage le plus
disputé dans le Nouveau Testament, nous sommes sur un bon fondement
lorsque nous considérons l’ensemble du Nouveau Testament, parce
que les éléments contre l’authenticité de ce passage sont très
faibles. On accuse Jésus de traiter le péché à la légère, mais
cela est bien entendu un non-sens. Dans ce passage, Jésus n’a pas
excusé le péché, Il a pardonné le péché, il y a une grande
différence entre les deux. Vous avez donc compris que je n’ai pas
de problème avec ce passage et nous allons l’étudier comme
faisant partie de la Parole inspirée de Dieu.
J'aimerais
tout de même encore vous rendre attentifs à quelque chose. Si vous
désirez démontrer une vérité biblique, si vous désirez partager
avec quelqu’un une vérité de l’évangile, je ne pense pas qu’il
serait sage d’utiliser des arguments qui sortent de passages sur
lesquels il y a débat, car cela pourrait amoindrir la force de vos
arguments chez certaines personnes. Chaque vérité de Dieu est très
bien explicitée dans la Bible et vous pouvez trouver un texte très
fort pour souligner chaque vérité.
Par
conséquent, personnellement j’éviterais d’utiliser certains
textes comme Marc
16 en tant
que texte pour prouver quelque chose, mais je n’ai aucun problème
pour appuyer mon assurance du salut sur ses merveilleuses vérités.
Avant
que nous débutions avec ce chapitre, laissez-moi vous faire cette
autre suggestion. Cette histoire est une illustration qui est
développée dans la conversation qui va suivre. En d’autres
termes, nous avons là un long chapitre et après cette histoire de
la femme adultère, nous trouvons une grande discussion et c’est
dans cette discussion que nous trouvons les réponses aux questions:
qui est Christ, qu’est-ce que la foi et qu’est-ce que la vie?
Ce
que nous voulons donc faire, c’est considérer cette histoire en
tant qu’illustration et dans notre prochaine leçon nous verrons
ces trois questions: qui est Christ pour que nous puissions
Le connaître? Qu’est-ce que la foi pour que nous puissions mettre
notre confiance en Lui? Et qu’est-ce que la vie pour que nous
puissions profiter de Lui?
Prenons
maintenant cette histoire.
Jean 7:53-8 :11
dit:
« Et chacun s'en retourna dans sa maison. Jésus se rendit à la montagne des oliviers. Mais, dès le matin, il alla de nouveau dans le temple, et tout le peuple vint à lui. S'étant assis, il les enseignait. Alors les scribes et les pharisiens amenèrent une femme surprise en adultère; et, la plaçant au milieu du peuple, ils dirent à Jésus: Maître, cette femme a été surprise en flagrant délit d'adultère. Moïse, dans la loi, nous a ordonné de lapider de telles femmes: toi donc, que dis-tu? Ils disaient cela pour l'éprouver, afin de pouvoir l'accuser. Mais Jésus, s'étant baissé, écrivait avec le doigt sur la terre. Comme ils continuaient à l'interroger, il se releva et leur dit: Que celui de vous qui est sans péché jette le premier la pierre contre elle. Et s'étant de nouveau baissé, il écrivait sur la terre. Quand ils entendirent cela, accusés par leur conscience, ils se retirèrent un à un, depuis les plus âgés jusqu'aux derniers; et Jésus resta seul avec la femme qui était là au milieu. Alors s'étant relevé, et ne voyant plus que la femme, Jésus lui dit: Femme, où sont ceux qui t'accusaient? Personne ne t'a-t-il condamnée? Elle répondit: Non, Seigneur. Et Jésus lui dit: Je ne te condamne pas non plus: va, et ne pèche plus. »
« Et chacun s'en retourna dans sa maison. Jésus se rendit à la montagne des oliviers. Mais, dès le matin, il alla de nouveau dans le temple, et tout le peuple vint à lui. S'étant assis, il les enseignait. Alors les scribes et les pharisiens amenèrent une femme surprise en adultère; et, la plaçant au milieu du peuple, ils dirent à Jésus: Maître, cette femme a été surprise en flagrant délit d'adultère. Moïse, dans la loi, nous a ordonné de lapider de telles femmes: toi donc, que dis-tu? Ils disaient cela pour l'éprouver, afin de pouvoir l'accuser. Mais Jésus, s'étant baissé, écrivait avec le doigt sur la terre. Comme ils continuaient à l'interroger, il se releva et leur dit: Que celui de vous qui est sans péché jette le premier la pierre contre elle. Et s'étant de nouveau baissé, il écrivait sur la terre. Quand ils entendirent cela, accusés par leur conscience, ils se retirèrent un à un, depuis les plus âgés jusqu'aux derniers; et Jésus resta seul avec la femme qui était là au milieu. Alors s'étant relevé, et ne voyant plus que la femme, Jésus lui dit: Femme, où sont ceux qui t'accusaient? Personne ne t'a-t-il condamnée? Elle répondit: Non, Seigneur. Et Jésus lui dit: Je ne te condamne pas non plus: va, et ne pèche plus. »
L’histoire
tourne autour du verset 8:6
qui dit: « Ils
disaient cela pour l'éprouver, afin de pouvoir l'accuser. Mais
Jésus, s'étant baissé, écrivait avec le doigt sur la terre. »
Le Saint-Esprit nous laisse voir ce qui se passe en coulisse. Les
pharisiens et les scribes ont fait tout cela pour tester Jésus.
C’était un piège. C’était un guet-apens. C’était un coup
monté. Rappelez-vous que lors de la fête des Tabernacles, qui
venait de se tenir pendant huit jours, ils n’ont pas réussi à Le
tuer. En fait, c’est même un peu comique que de lire les versets
7:44-46 qui
disent:
« Quelques-uns d'entre eux voulaient le saisir, mais personne ne mit la main sur lui. Ainsi les huissiers retournèrent vers les principaux sacrificateurs et les pharisiens. Et ceux-ci leur dirent: Pourquoi ne l'avez-vous pas amené? Les huissiers répondirent: Jamais homme n'a parlé comme cet homme. »
« Quelques-uns d'entre eux voulaient le saisir, mais personne ne mit la main sur lui. Ainsi les huissiers retournèrent vers les principaux sacrificateurs et les pharisiens. Et ceux-ci leur dirent: Pourquoi ne l'avez-vous pas amené? Les huissiers répondirent: Jamais homme n'a parlé comme cet homme. »
Est-ce
que vous pouvez imaginer cela? Ils ont envoyé les soldats pour
arrêter Jésus. Mais lorsque les soldats sont revenus, les
responsables ont demandé: « Mais où est-Il? Nous vous avons
demandé de l’arrêter. » Les soldats ont alors répondu:
« Personne n’a jamais parlé comme lui. » Est-ce que
vous pouvez imaginer la tête des responsables lorsqu’ils ont
entendu cela? Les soldats ne pouvaient pas l’arrêter et la Bible
nous dit pourquoi au verset 7:30:
« Son
heure n’était pas encore venue. »
Les
pharisiens ont donc maintenant un nouveau plan. Jésus les a
embarrassés lors de la fête des Tabernacles. Eux ils voulaient
L’arrêter, mais Jésus s’est levé et s’est même permis de
donner un discours en public lors de la dernière journée de la
fête. Ici ils vont donc essayer de Le piéger à travers quelque
chose d’illégal. Ce n’est pourtant pas la première fois qu’ils
utilisent ce plan. En Matthieu
22, ils
ont essayé de Le prendre au piège sur la question de l’impôt à
payer à César. Dans le même chapitre, ils ont essayé de Le piéger
en Lui demandant quel était le plus grand commandement. En Matthieu
19, ils
ont aussi essayé de Le piéger avec une question sur le divorce. En
Matthieu
21, les
sadducéens sont venus vers Lui pour lui poser une question sur la
résurrection.
Notre
Seigneur a un jour fait ce commentaire, mais je pense qu’ils ne
l’ont pas du tout apprécié.
Matthieu 21:31 dit: « Lequel des deux a fait la volonté du père? Ils répondirent : Le premier. Et Jésus leur dit: Je vous le dis en vérité, les publicains et les prostituées vous devanceront dans le royaume de Dieu. »
Vous pouvez comprendre qu’ils n’ont absolument pas apprécié que Jésus ait pu dire que les publicains et les prostituées allaient les précéder dans le Royaume de Dieu. Par conséquent, ces pharisiens haïssaient Jésus et ils ont donc décidé qu’ils allaient Le prendre au piège.
Matthieu 21:31 dit: « Lequel des deux a fait la volonté du père? Ils répondirent : Le premier. Et Jésus leur dit: Je vous le dis en vérité, les publicains et les prostituées vous devanceront dans le royaume de Dieu. »
Vous pouvez comprendre qu’ils n’ont absolument pas apprécié que Jésus ait pu dire que les publicains et les prostituées allaient les précéder dans le Royaume de Dieu. Par conséquent, ces pharisiens haïssaient Jésus et ils ont donc décidé qu’ils allaient Le prendre au piège.
Selon
le verset 8:3,
nous voyons que les pharisiens et les scribes sont ensemble. C’est
la première fois et la seule fois dans l’évangile selon Jean que
nous lisons quelque chose au sujet des scribes. Les pharisiens sont
eux cités vingt fois dans Jean. Nous trouvons donc ces deux groupes
ensemble pour tendre un piège à Jésus.
Le verset 8:4 dit: « … et, la plaçant au milieu du peuple, ils dirent à Jésus: Maître, cette femme a été surprise en flagrant délit d'adultère. »
Ce verset nous fait poser la question: mais comment ont-ils surpris cette femme en situation d’adultère? Cela ne m’étonnerait pas d’apprendre que ce sont ces leaders religieux qui ont imaginé ce guet-apens à cette femme. Je ne serais pas étonné s’ils avaient demandé à un homme de séduire cette femme et de la mettre dans une situation d’adultère, pendant qu’eux attendaient derrière la porte.
Nous
savons clairement ce qu’il y a dans leur cœur. Ils ne se
préoccupent pas de cette femme. Ils ne vont pas essayer de la
détourner de sa mauvaise manière de vivre. Leur seul objectif était
de piéger le Seigneur Jésus, et ils sont prêts à ruiner une vie
ou l’autre s’il le faut. Vous pouvez voir cela toujours à
nouveau dans les évangiles.
De
nos jours, le mot pharisien a un sens négatif. Je pense que si
quelqu’un dit que je suis un pharisien, je me sentirais insulté ou
je serais au moins mal à l’aise, parce que de nos jours pharisien
signifie hypocrite, propre juste. Un pharisien est quelqu'un qui se
glorifie lui-même et n’a qu’une religion extérieure. Mais à
cette époque, le mot pharisien était un grand compliment. Cela
signifiait « ceux qui sont séparés ». Ils disaient
qu’ils étaient séparés pour le Seigneur. Les chrétiens, qui
veut dire petit Christ, ne se sont pas nommés eux-mêmes comme cela,
ce sont leurs ennemis qui les ont nommés comme cela. En ces temps
là, chrétien était un terme négatif. Par contre pour ce qui est
des pharisiens, ce sont eux qui se sont nommés ainsi. Ils paradaient
donc en disant: « Nous sommes les pharisiens. » Ils
disaient être séparés du monde et séparés du péché.
La
vérité est qu’ils n’aimaient pas la loi, ils n’avaient pas
honte de pécher, ils ne s’intéressaient pas aux gens et n’avaient
rien à faire de cette femme. La seule chose qu’ils désiraient à
ce moment-là était de piéger le Seigneur Jésus.
La
loi de Moïse, que les pharisiens prétendaient appliquer, dit que
cette femme devait être lapidée. Mais s’ils l’ont attrapée
pendant l’acte, alors ils connaissent aussi automatiquement l’homme
coupable. Et si vous voulez suivre la loi de Moïse, comme ils disent
qu’ils le font, alors les deux doivent être tués ensemble, la
femme coupable et l’homme coupable et pas uniquement un. La
question qui nous vient à l’esprit est donc: où est l’homme?
Personnellement, je pense que tout cela était un guet-apens juste
pour l’attraper elle.
Il
y a des personnes qui enseignent qu’elle a été traînée sur
cette place complètement ou partiellement dévêtue. Cela ne peut
pas être prouvé, parce que attraper quelqu’un sur le fait ne veut
pas dire que cela ne s’est pas passé il y a déjà un moment. Nous
ne savons donc pas quand tout cela a pris place. Je ne pense donc pas
qu’il y a assez d’évidences pour dire qu’elle a été jetée
nue aux pieds du Seigneur Jésus.
Si
ce n’est pas les pharisiens qui ont monté un piège contre cette
femme, alors de quelle manière ont-ils pu la prendre en flagrant
délit? Sont-ils rentrés illégalement dans une maison? Je ne peux
pas le prouver, mais il ne me semble pas impossible que pendant la
fête qui vient juste de se terminer, il y avait des centaines de
milliers de personnes qui ont vécu pendant une semaine dans une
tente, et qui était plantée à l’extérieur, que ce soit dans la
rue ou dans les champs. Il n’est donc pas difficile pour moi de
penser que cette femme ait été prise en situation d’adultère
pendant cette fête qui venait de s’achever. Mais la Bible ne nous
le dit pas et nous ne pouvons pas en être sûrs. Mais c’était un
piège tendu par les pharisiens.
Laissez-moi
vous montrer le dilemme dans lequel les pharisiens avaient pensé
avoir mis Jésus. Un dilemme est une situation dans laquelle une
personne doit choisir entre deux alternatives qui sont toutes les
deux défavorables. En d’autres termes, quelle que soit la décision
que vous prenez, cela n’est pas bon pour vous. Rappelez-vous que
lorsque les pharisiens ont voulu mettre Jésus à mort, ils ont dû
demander la permission à Rome.
Jean 18: 29-31 dit: « Pilate sortit donc pour aller à eux, et il dit: Quelle accusation portez-vous contre cet homme? Ils lui répondirent: Si ce n'était pas un malfaiteur, nous ne te l'aurions pas livré. Sur quoi Pilate leur dit: Prenez-le vous-mêmes, et jugez-le selon votre loi. Les Juifs lui dirent: Il ne nous est pas permis de mettre personne à mort. »
Jean 18: 29-31 dit: « Pilate sortit donc pour aller à eux, et il dit: Quelle accusation portez-vous contre cet homme? Ils lui répondirent: Si ce n'était pas un malfaiteur, nous ne te l'aurions pas livré. Sur quoi Pilate leur dit: Prenez-le vous-mêmes, et jugez-le selon votre loi. Les Juifs lui dirent: Il ne nous est pas permis de mettre personne à mort. »
Vous
voyez, Rome avait enlevé le droit de mise à mort aux juifs. Ils
n’avaient plus le droit de faire cela, même s’ils avaient un
grand sanhédrin qui était comme leur cour de justice. Les
responsables pouvaient prendre la décision de mettre à mort
quelqu’un, mais ensuite ils devaient avoir l’aval de Rome. Rome
pouvait accepter les demandes ou pas, c’est Rome qui décidait.
Les
rabbins disent que l’Ancien Testament reconnaît cinq façons pour
appliquer la peine capitale. La lapidation, le bûcher, la pendaison,
l’exécution par l’épée et l’étranglement. Les rabbins
disent cela, mais je ne suis pas arrivé à le trouver dans la Bible.
Selon certains commentateurs, il y avait dix-huit crimes qui
pouvaient être punis de la peine capitale. Je n’ai pas non plus
contrôlé cela, j’aurais personnellement pensé qu’il y en avait
plus. Ce qui est sûr c’est que les scribes et les pharisiens
pensaient que ce crime de l’adultère en faisait partie et méritait
donc la peine de mort.
Jean
8:5 dit: « Moïse,
dans la loi, nous a ordonné de lapider de telles femmes: toi donc,
que dis-tu? »
Y a-il un verset dans l’Ancien Testament où Dieu dit de lapider les adultères? Non, il n’y a pas de verset qui dit cela, mais il y a des indices qui peuvent laisser penser cela.
Lévitique 20:10 dit: « Si un homme commet un adultère avec une femme mariée, s'il commet un adultère avec la femme de son prochain, l'homme et la femme adultères seront punis de mort. »
Deutéronome 22:21-22 dit: « On fera sortir la jeune femme à l'entrée de la maison de son père; elle sera lapidée par les gens de la ville, et elle mourra, parce qu'elle a commis une infamie en Israël, en se prostituant dans la maison de son père. Tu ôteras ainsi le mal du milieu de toi. Si l'on trouve un homme couché avec une femme mariée, ils mourront tous deux, l'homme qui a couché avec la femme, et la femme aussi. Tu ôteras ainsi le mal du milieu d'Israël. »
A partir de ces deux passages, les pharisiens ont donc déduit que les femmes qui commettent un adultère devaient être lapidées.
Y a-il un verset dans l’Ancien Testament où Dieu dit de lapider les adultères? Non, il n’y a pas de verset qui dit cela, mais il y a des indices qui peuvent laisser penser cela.
Lévitique 20:10 dit: « Si un homme commet un adultère avec une femme mariée, s'il commet un adultère avec la femme de son prochain, l'homme et la femme adultères seront punis de mort. »
Deutéronome 22:21-22 dit: « On fera sortir la jeune femme à l'entrée de la maison de son père; elle sera lapidée par les gens de la ville, et elle mourra, parce qu'elle a commis une infamie en Israël, en se prostituant dans la maison de son père. Tu ôteras ainsi le mal du milieu de toi. Si l'on trouve un homme couché avec une femme mariée, ils mourront tous deux, l'homme qui a couché avec la femme, et la femme aussi. Tu ôteras ainsi le mal du milieu d'Israël. »
A partir de ces deux passages, les pharisiens ont donc déduit que les femmes qui commettent un adultère devaient être lapidées.
Mais
voici le problème, Rome n’aurait pas laissé les juifs mettre à
mort quelqu’un et c’est pour cela qu’ils pensaient pouvoir
piéger Jésus. Si Jésus répondait: « Oui, lapidez-là »,
alors Il allait contre les directives de Rome et passait pour faire
partie d’un groupe insurrectionnel. Si Jésus répondait: « Non,
ne la lapidez pas », alors Il allait contre la Bible. Il allait
à l’encontre de Moïse et de la loi. Ils pensaient donc Le piéger
parce qu’Il devait se décider entre le nationalisme juif ou
l’impérialisme romain. Ce guet-apens avait pour but de piéger
Jésus et de Le faire taire. Il y avait tellement de personnes qui
allaient Le rejoindre que les Juifs devaient Le stopper. Trop de
personnes croyaient en Jésus et ils devaient faire quelque chose.
Rappelez-vous
que toute cette scène est publique. La fête des Tabernacles venait
juste de prendre fin. Jean
7:53 dit:
« Et
chacun s'en retourna dans sa maison. »
Les personnes reprennent maintenant leur tente et des centaines de
personnes commencent à retourner dans leur maison. Jean
8:1 dit: «
Jésus se rendit à la montagne des Oliviers. »
Jésus n’est pas retourné à la maison mais est allé sur le mont
des Oliviers. Nous savons que cela était son habitude.
Luc 21:37 dit: « Pendant le jour, Jésus enseignait dans le temple, et il allait passer la nuit à la montagne appelée montagne des Oliviers. Et tout le peuple, dès le matin, se rendait vers lui dans le temple pour l'écouter. »
C’était donc l’habitude du Seigneur, Il dormait là-haut sur le mont des Oliviers et ensuite Il descendait enseigner dans le temple. Jésus n’était donc pas dans un endroit privé lorsque ces scribes et ces pharisiens sont venus.
Jean 8:2-3 dit: « Mais, dès le matin, il alla de nouveau dans le temple, et tout le peuple vint à lui. S'étant assis, il les enseignait. Alors les scribes et les pharisiens amenèrent une femme surprise en adultère. »
Luc 21:37 dit: « Pendant le jour, Jésus enseignait dans le temple, et il allait passer la nuit à la montagne appelée montagne des Oliviers. Et tout le peuple, dès le matin, se rendait vers lui dans le temple pour l'écouter. »
C’était donc l’habitude du Seigneur, Il dormait là-haut sur le mont des Oliviers et ensuite Il descendait enseigner dans le temple. Jésus n’était donc pas dans un endroit privé lorsque ces scribes et ces pharisiens sont venus.
Jean 8:2-3 dit: « Mais, dès le matin, il alla de nouveau dans le temple, et tout le peuple vint à lui. S'étant assis, il les enseignait. Alors les scribes et les pharisiens amenèrent une femme surprise en adultère. »
Les
pharisiens sont venus interrompre une étude biblique. Jésus est en
plein milieu d’un enseignement. Depuis des siècles les gens ont
écrit au sujet de ce que Jésus a fait ce jour-là et ce qu’Il a
dit. Il a dit quelque chose et Il a fait quelque chose. Qu’est-ce
qu’Il a fait?
Jean 8:6-8 dit: « Ils disaient cela pour l'éprouver, afin de pouvoir l'accuser. Mais Jésus, s'étant baissé, écrivait avec le doigt sur la terre. Comme ils continuaient à l'interroger, il se releva et leur dit: Que celui de vous qui est sans péché jette le premier la pierre contre elle. Et s'étant de nouveau baissé, il écrivait sur la terre. »
Jean 8:6-8 dit: « Ils disaient cela pour l'éprouver, afin de pouvoir l'accuser. Mais Jésus, s'étant baissé, écrivait avec le doigt sur la terre. Comme ils continuaient à l'interroger, il se releva et leur dit: Que celui de vous qui est sans péché jette le premier la pierre contre elle. Et s'étant de nouveau baissé, il écrivait sur la terre. »
Jésus
a fait quelque chose, Il s’est baissé et a écrit sur le sol. Les
commentateurs ont été si intrigués par cela et se sont demandés ce
qu’Il avait bien pu écrire. Certaines personnes pensent que cela
était une façon de faire de l’époque pour ignorer quelqu’un.
Elles disent que Jésus a simplement mis leur question de côté
comme si cela n’était pas important et qu’Il ne les entendait
même pas. Je pense personnellement que cette façon de faire est
assez rude pour ne pas être en cohérence avec le caractère de
Christ. Je ne pense pas que Jésus voulait les ignorer.
Cette
femme devait être très embarrassée, elle était humiliée à être
mise exposée devant toutes ces personnes. Nous ne savons pas de
quelle façon elle était vêtue et si elle était vêtue, mais
peut-être que c’était une façon pour Lui de détourner le
regard, pour ne pas être désobligeant par rapport à cette femme et
l’embarrasser encore davantage.
Une
autre explication est que peut-être le Seigneur était embarrassé
parce qu’elle n’était pas habillée de façon décente et Il l’a
fait pour Sa propre pureté. Il y a une quatrième explication qui
est aussi vieille qu’Augustin qui a vécu au quatrième siècle. Si
cela est vrai alors c’est très intéressant. Augustin est le
premier à mentionner cela, mais vous savez qu’il y a beaucoup de
personnes qui reprennent les propos des autres. Ce qu’il dit est
basé sur Jérémie
17:13 :
« Toi qui es l'espérance d'Israël, ô Éternel! Tous ceux qui t'abandonnent seront confondus. - Ceux qui se détournent de moi seront inscrits sur la terre, car ils abandonnent la source d'eau vive, l'Éternel. »
Certaines personnes disent qu’il y a une prophétie dans ce passage de Jérémie disant que leurs péchés allaient être écrits sur la terre, et que Jésus désirait simplement accomplir cette prophétie.
« Toi qui es l'espérance d'Israël, ô Éternel! Tous ceux qui t'abandonnent seront confondus. - Ceux qui se détournent de moi seront inscrits sur la terre, car ils abandonnent la source d'eau vive, l'Éternel. »
Certaines personnes disent qu’il y a une prophétie dans ce passage de Jérémie disant que leurs péchés allaient être écrits sur la terre, et que Jésus désirait simplement accomplir cette prophétie.
Je
ne sais pas si cela est vrai ou non, mais pouvez-vous imaginer si
Jésus avait écrit une liste des péchés de certaines des personnes
présentes dans le public ? Il aurait pu le faire. Il était le
Dieu tout puissant, Il était omniscient, Il savait ce qu’il y a
dans le cœur des gens. Est-ce que vous pouvez imaginer les
pharisiens arrogants qui regardaient au-dessus de son épaule alors
qu’Il écrivait le nom de l’homme qui avait couché avec cette
femme? Nous ne savons pas ce qu’Il a écrit sur la terre. Nous ne
le saurons jamais parce que Dieu ne nous l’a jamais dit.
Mais
je sais deux choses, il s’agit du doigt du Seigneur Jésus et dans
la Bible le doigt de Dieu est le symbole pour le Saint-Esprit. C’est
le doigt de Dieu qui a effrayé les magiciens qui essayaient d’imiter
Dieu. Il s’agit aussi du doigt de Dieu qui a écrit sur les tables
de la loi. Il s’agit du Saint-Esprit. Il s’agit aussi du doigt
dans Daniel
5 qui
écrivit sur le mur et qui effraya Belschatsar. C’est le doigt dont
a parlé Luc lorsqu’il a dit que Jésus chasse les démons par le
doigt de Dieu. Il s’agit du Saint-Esprit. Nous savons que le doigt
est une image du Saint-Esprit. Et je sais que quoi que ce doigt ait
écrit, il s’agit de la Parole de Dieu.
Nous
avons donc ici le Saint-Esprit qui écrit la Parole de Dieu. Et
lorsque vous avez le Saint-Esprit et la Parole de Dieu, alors vous
aurez la conviction et c’est exactement ce que nous voyons ici
parce que le Saint-Esprit et la Parole de Dieu apportent la
conviction. Il nous faudra plus tard les épîtres pour nous
expliquer cela en grands détails. Nous savons que nous ne saurons
jamais ce que le Seigneur a écrit sur le sol, si jamais Il a écrit
quelque chose, mais nous savons que cela a la puissance de
conviction. C’est ce qu’Il a écrit et ce qu’Il a dit qui ont
apporté la conviction. Alors qu’est-ce qu’Il a dit ?
Jean 8:7 dit: « Comme ils continuaient à l'interroger, il se releva et leur dit: Que celui de vous qui est sans péché jette le premier la pierre contre elle. »
Jean 8:7 dit: « Comme ils continuaient à l'interroger, il se releva et leur dit: Que celui de vous qui est sans péché jette le premier la pierre contre elle. »
Combien
de fois nous entendons quelqu’un citer ce verset: « Que
celui de vous qui est sans péché jette le premier la pierre contre
elle. »
C’est aussi célèbre que la paille dans l’œil. Ce qui est
intéressant est que ce sont les personnes sceptiques qui émettent
des doutes sur ce passage qui sont les premières, lorsqu’elles
veulent excuser le péché, à se lever et à dire: « Que
celui de vous qui est sans péché jette le premier la pierre contre
elle. »
Tout d’un coup elles mettent ce passage dans la Bible et elles le
citent avec autorité.
Il
est intéressant de voir que Jésus a dit cela pour apporter la
conviction de péché. Que celui qui est sans péché lance la
première pierre. Mais les politiciens utilisent cela comme excuse
pour leurs péchés et non pas pour apporter la conviction de péché.
Est-ce que vous pouvez imaginer quelqu’un utiliser cela comme
excuse devant la cour du tribunal? Le juge va vous envoyer plus
qu’une pierre si vous essayez de vous en sortir en disant une telle
chose. Lorsque Jésus a écrit sur la terre et lorsqu’Il a fait ce
commentaire, Il a cité la loi de Moïse. Deutéronome
17 dit que
le premier à lancer la pierre doit être celui qui accuse puis tout
le peuple suivra. La première pierre devait peser au moins autant
que la victime. Voilà la règle qui était suivie.
Jean
8:9 dit:
« Quand
ils entendirent cela, accusés par leur conscience, ils se retirèrent
un à un, depuis les plus âgés jusqu'aux derniers; et Jésus resta
seul avec la femme qui était là au milieu. »
Les gens ont commencé à être convaincus de péché dans leur conscience par le doigt de Dieu et par la Parole de Dieu. Le Seigneur Jésus leur fait voir la noirceur de leur péché. Au début, il n’y avait que cette personne qui s’est sentie coupable, mais après un certain temps toutes les personnes présentes auprès de Jésus se sont senties coupables.
Les gens ont commencé à être convaincus de péché dans leur conscience par le doigt de Dieu et par la Parole de Dieu. Le Seigneur Jésus leur fait voir la noirceur de leur péché. Au début, il n’y avait que cette personne qui s’est sentie coupable, mais après un certain temps toutes les personnes présentes auprès de Jésus se sont senties coupables.
Au
verset 8:7
Jésus nous dit: « …
celui qui est sans péché... »
Qu’est-ce qu’Il voulait dire par cela? Est-ce qu’Il voulait
dire que ce ne sont que les personnes qui sont sans péché qui
avaient le droit de juger? S’Il avait voulu dire cela, alors y
aurait-il un jour un jugement de prononcé? Vous voyez, personne ne
pourrait juger si Jésus voulait dire que nous devons être exempts
de tout péché quel qu’il soit. Je ne pense pas qu’Il voulait
dire cela. Je pense qu’Il avait un péché à l’esprit. Je pense
qu’Il voulait dire: « Que celui qui est sans le péché
d’adultère jette la première pierre. » Selon certains
commentateurs, c’était le péché le plus commun parmi les groupes
religieux.
Nous,
nous pensons qu’il ne s’agit que d’une figure de style lorsque
Jésus appelle les pharisiens une « génération adultère »
en Matthieu
12:39. Je
ne crois pas qu’il s’agit d’une figure de style. Je pense
qu’ils étaient une génération adultère. Plus tard Paul parlera
des juifs en Romains
2:22 en
disant: «
Toi qui dis de ne pas commettre d'adultère, tu commets l'adultère! »
Pourquoi est-ce que Paul parle de cela aux juifs? Parce que cela
était si commun ! Je pense que probablement les plus anciens
d’entre la foule étaient coupables de ce péché et que Jésus
avait ce péché à l’esprit.
Dans
le cas où pour celui qui est sans péché, Jésus voulait dire aucun
péché d’aucune sorte, alors le Seigneur Jésus était le seul
dans l’univers qualifié pour jeter une pierre.
Considérons
maintenant le dernier verset du chapitre. Jean
8:59 dit: « Là-dessus,
ils prirent des pierres pour les jeter contre lui; mais Jésus se
cacha, et il sortit du temple. »
N’est-ce pas une chose incroyable? Le chapitre commence avec le refus de Jésus de jeter une pierre, Lui qui est innocent et seul qualifié à jeter une pierre. Et il se termine avec les hommes coupables désirant jeter des pierres au seul homme innocent dans tout l’univers. Je pense que cela en dit long au sujet du cœur humain.
N’est-ce pas une chose incroyable? Le chapitre commence avec le refus de Jésus de jeter une pierre, Lui qui est innocent et seul qualifié à jeter une pierre. Et il se termine avec les hommes coupables désirant jeter des pierres au seul homme innocent dans tout l’univers. Je pense que cela en dit long au sujet du cœur humain.
J'aimerais
souligner une vérité finale avant de terminer. Certaines personnes
disent que lorsque Jésus dit: « je
ne te condamne pas non plus »,
Il ne voulait pas lui pardonner. Ils disent que comme les
témoins qui l’accusaient étaient partis, cela signifie qu’ils
avaient refusé de témoigner et qu’il n’y avait plus personne
pour parler contre cette femme et donc à l’image d’un juge, il
n’y avait plus de charge contre elle. Lorsqu’il n’y a plus de
témoin, le juge doit classer l’affaire. « Je
ne te condamne pas non plus »
signifie pour ces personnes: « Je ne peux pas juger ce cas, il
n’y a plus d’élément à charge. » Voilà ce que pensent
certaines personnes.
Je
ne le pense pas parce que cette histoire est dans la Bible et la
Bible est l’histoire de la rédemption. Je le prouverai dans notre
prochaine leçon lorsque nous considérerons la conversation qui suit
ce récit. La conversation prouve qu’une merveilleuse rédemption a
pris place. Je pense qu’il s’agit d’une histoire de rédemption.
Je pense que nous avons ici une illustration de Jean
1:17 qui
dit: « …
car la loi a été donnée par Moïse, la grâce et la vérité sont
venues par Jésus-Christ. »
Lorsque cette femme a été jetée à terre, il s’agissait de la
loi et la loi ne pouvait qu’apporter la condamnation, la
culpabilité, le désespoir, la honte et la lapidation.
Lorsque
l’épisode avec cette femme commence, il s’agit de la loi et
lorsque cela se termine, il s’agit de l’opposé de cela, la
grâce.
Jean 8:11 dit: « Elle répondit: Non, Seigneur. Et Jésus lui dit: Je ne te condamne pas non plus: va, et ne pèche plus. »
Elle a entendu ces grandes paroles de la bouche du Seigneur Jésus qui dit: « Je ne te condamne pas non plus, va et ne pèche plus. » Dans les mains de la loi, elle est condamnée et dans les mains du Seigneur Jésus, il n’y a pas de condamnation. Je pense que cela est une image du salut et je crois qu’Il lui a pardonné.
Jean 8:11 dit: « Elle répondit: Non, Seigneur. Et Jésus lui dit: Je ne te condamne pas non plus: va, et ne pèche plus. »
Elle a entendu ces grandes paroles de la bouche du Seigneur Jésus qui dit: « Je ne te condamne pas non plus, va et ne pèche plus. » Dans les mains de la loi, elle est condamnée et dans les mains du Seigneur Jésus, il n’y a pas de condamnation. Je pense que cela est une image du salut et je crois qu’Il lui a pardonné.
Vous
voyez, la raison pour laquelle certaines personnes disent que Jésus
ne lui a pas pardonné est parce qu’Il n’a pas dit ce qu’Il dit
comme par exemple en Marc
2 au
paralytique: « Mon
enfant, tes péchés sont pardonnés. »
Il ne dit pas comme Il le dit à la femme pécheresse en Luc
7: « Tes
péchés sont pardonnés. »
Il ne dit pas ce qu’Il dit à la femme qui avait une perte de sang
en Marc 9:
« Ma
fille, ta foi t'a sauvée; va en paix, et sois guérie de ton mal. »
Et
parce qu’Il ne dit pas « va
en paix »
ou « tes
péchés sont pardonnés »,
Jésus ne fait que refermer le dossier sans rendre de jugement et Il
ne lui a pas pardonné. Voici à nouveau Jean
8:11 qui
dit: « Elle
répondit: Non, Seigneur. Et Jésus lui dit: Je ne te condamne pas
non plus: va, et ne pèche plus. »
Je ne pense pas uniquement que cette phrase montre qu’elle était
pardonnée. Jésus n’est pas en train d’excuser le péché, mais
de le pardonner. S’Il avait excusé le péché alors Il aurait dit:
« Je te condamne pas non plus: va, et continue de vivre comme
tu as vécu jusqu’à présent. » Non Il n’a pas dit cela.
Il dit: « Va
et ne pèche plus. »
Je ne pense pas uniquement qu’il s’agit d’une illustration du
salut mais également du plein salut.
Lorsque
Jésus dit: « Je
ne te condamne pas non plus »,
je pense que c’est ce que les théologiens appellent la
justification. C’est ce que nous lisons en Romains
8:1 qui
dit: « Il
n'y a donc maintenant aucune condamnation pour ceux qui sont en
Jésus-Christ. »
Cette femme était pardonnée, elle était justifiée. Et je crois
que lorsqu’Il dit « va
et ne pèche plus »,
c’est ce que les théologiens appellent la sanctification. En
d’autres termes, elle n’est pas uniquement pardonnée mais elle a
également la puissance pour vivre une vie sainte. Ce sujet n’est
pas encore pleinement développé. Nous avons besoin des épîtres
pour nous expliquer ce que signifie « plus
de condamnation ».
Les épîtres sont nécessaires pour savoir de quelle manière nous
pouvons vivre au-dessus du péché. Mais je crois que vous avez tout
cela ici avec l’image de cette femme. Jésus dit: « Je
ne te condamne pas »,
c'est la justification et Il dit aussi « Va
et ne pèche plus »,
ça c’est la sanctification.
Comme
Dieu ne nous le dit pas, nous ne pouvons que supposer qu’il y avait
au moins une des deux personnes qui étaient mariées. Si elles
n’étaient pas mariées alors il ne pouvait y avoir d’adultère.
C’était soit la femme, soit l’homme ou les deux. Il y a une
grande chance que cette femme était mariée.
Je
vous rends attentifs à cela pour vous montrer que l’histoire ne
s’arrête pas ici. Elle s’arrête pour nous, parce que l’on ne
parle plus de cette femme dans le reste de la Bible. Mais vous pouvez
comprendre que tout le monde sait maintenant ce qu’elle a fait, car
son péché a été dévoilé au grand jour. Elle doit maintenant
retourner dans sa famille voir son mari. Essayez d’imaginer ce qui
a pris place après cela. Nous avons parfois cette idée que Jésus
va régler tous vos problèmes. Nous disons: « Laissez Jésus
rentrer dans votre vie et Il changera tout. » Il est vrai qu’Il
réglera tous nos problèmes mais de façon ultime dans le siècle à
venir.
Je
me rappelle avoir un jour parlé avec un prisonnier et il m’a
demandé: « Si j’accepte Christ, est-ce que je peux sortir de
cet endroit? » Il désirait juste que les conséquences du
péché puissent disparaître. Il y a quelqu’un de ma famille qui a
péché, puis il s’est mis en règle avec le Seigneur, mais le bébé
qu’il a maintenant ne disparaîtra pas. Est-ce que vous comprenez
ce que je veux dire? Il y a des conséquences à nos péchés.
Ce
n’est pas parce que cette femme a un plein salut qu’il n’y a
pas aussi un gouvernement et des conséquences à nos péchés. Oui
elle est pardonnée, oui elle est maintenant rentrée dans la
sanctification, mais elle doit maintenant rentrer à la maison.
Adam
et Ève ont péché, puis Dieu a tué un agneau et ils sont sauvés,
c’est ce qui est illustré par le sang. Puis Dieu les a habillés
avec cette peau, qui est une image du fait que nous revêtons la
justice de Jésus. Ils sont pardonnés et peuvent retrouver la
communion avec Dieu, mais ils devront tout de même quitter le
jardin. Voilà les conséquences du péché. Ce n’est pas parce que
je suis sauvé qu’il n’y a pas de conséquence.
Dans
notre prochaine leçon, nous parlerons de la discussion qui a pris
place après ce récit. Jésus nous dit des choses dans ce chapitre
que vous ne trouverez pas ailleurs. C’est ce texte où Il se nomme
Lui-même le « Je suis qui est apparu à Moïse dans le
buisson ardent ». Dans notre prochaine leçon, nous reviendrons
à cette illustration pour voir comment ce texte répond aux
questions qui est Christ, qu’est que la foi et qu’est-ce que la
vie?
Prions:
Père nous Te remercions tellement pour cette merveilleuse histoire et de voir de quelle façon tu t’occupes de nous, pécheurs coupables lorsque nous nous jetons à Tes genoux. Comme tu es capables d’être juste tout en justifiant. Nous sommes si heureux de voir comment nous pouvons quitter Ta présence sans condamnation même si nous méritons d’être lapidés. Comme nous Te remercions pour cette histoire et nous Te prions que Tu puisses rendre cela si réel dans notre cœur. Merci parce que Tu es un si glorieux Sauveur. Au nom de Jésus. Amen.
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