C’est
ce que fit Noé : il exécuta tout ce que Dieu lui avait
ordonné.
L’Eternel
dit à Noé : Entre dans l’arche, toi et toute ta maison ;
car je t’ai vu juste devant moi parmi cette génération. (Genèse
6.22 ; 7.1)
J’aimerai
pouvoir partager quelques pensées sur la justice de Dieu à partir
de l’exemple de Noé, cet homme que Dieu a reconnu être ‘’juste
et intègre parmi ses contemporains’’. Ce ne sont que des pistes
que chacun doit exploiter pour aller plus loin et grandir dans la
connaissance de cette grâce de Dieu issue de la justice de ceux qui
croient ce que Dieu dit. Aller plus loin surtout dans cette
connaissance de la responsabilité de chaque ‘’Noé’’ que
nous sommes vis-à-vis de nos familles. Je parle surtout aux pères
qui ont des enfants qui ne sont pas encore sauvés, ainsi que des
membres de nos familles. Nous avons des responsabilités pour nos
enfants et la puissance spirituelle de les protéger. C’est le
Seigneur seul qui sauve, mais il a donné des armes aux pères que
nous sommes pour préparer le chemin de leur salut. Nous sommes un
peu les Jean Baptiste de nos enfants en préparant le chemin de leur
salut. Nous sommes ouvriers avec Dieu pour le salut de nos enfants.
Nous
avons cette responsabilité spirituelle dont nous pouvons user pour
bâtir à notre tour cette arche afin de préserver nos familles du
jugement de Dieu qui va venir sur la terre. C’est Dieu qui sauve,
ce n ‘est pas nous, bien sûr, mais nous avons une
responsabilité et le Seigneur nous rend ouvriers avec Lui pour les
membres de nos familles.
Noé
a obéi en tout point aux ordres de Dieu et, comme nous le révèle
Hébreux 11 :
C’est
par la foi que Noé, divinement averti des choses qu’on ne voyait
pas encore, et saisi d’une crainte respectueuse, construisit une
arche pour sauver sa famille ; c’est par elle
qu’il condamna le monde, et devint héritier de la justice qui
s’obtient par la foi. (verset 7)
L’obéissance
de Noé lui a permis de devenir héritier de la justice qui
s’obtient par la foi. Cette
justice a sauvé la famille de Noé. Il n’est pas écrit que ses
trois fils et leurs épouses, ni même la femme de Noé, étaient des
personnes intègres et droites, ni que ces personnes étaient justes.
Seul Noé est défini comme cela. Sa justice a été le salut de sa
famille. Cette justice reçue par son obéissance à l’Eternel.
Justice issue de la grâce de Dieu, en obéissance à une parole
donnée par Dieu. S’il a pu entendre la voix de Dieu, c’est
sûrement parce que dans son cœur, il y avait cette envie de
communion avec son Dieu. Nous devons entretenir cette communion avec
le Seigneur qui habite en nous par Son Esprit.
La
seule façon de vivre cette vie de communion avec le Seigneur est de
marcher dans la sanctification, sans laquelle nul ne peut voir le
Seigneur. La sanctification a deux effets sur nous. Nous voyons le
Seigneur avec nos yeux spirituels, Il nous parle de différentes
manières et nous Lui répondons par des paroles, des actes.. Le
Seigneur passe à travers nous par nos actes, nos paroles, nos
réactions, notre vie etc, et chacun peut Le voir au travers de nous.
Nous
avons, nous aussi, grâce à notre Noé, le bénéfice de la justice
de Dieu sur nos vies. Jésus a parfaitement obéi au Père et nous a
acquis d’être au bénéfice de la justice Dieu. Il bâtit Son
arche, l’Eglise et le jour approche où Il fermera la porte de
l’arche, comme dans Genèse (Genèse 7.16) afin de nous préserver
du jour du jugement de Dieu sur cette terre. Par la foi, Noé a
condamné le monde. C’est
très dur. Lorsqu’il est rentré dans l’arche, plus rien ne
pouvait retenir le jugement de Dieu sur les hommes. Cette parole
devrait nous faire réfléchir. Notre vie sanctifiée est un
témoignage pour le monde. SI nous croyons le Seigneur, nous
condamnons le monde et nous nous en séparons. Nous restons dans ce
monde, bien sûr, sans toucher aux plaisirs de celui-ci, à sa
nourriture. Plus nous sommes séparés, plus nous avons la puissance
de la parole qui va toucher ces personnes afin de les mener vers le
Seigneur en vue de leur salut. La puissance de notre témoignage est
proportionnelle à notre séparation, séparation qui nous donne la
force du témoignage à salut pour eux.
Que
nous puissions méditer ces paroles de notre Seigneur, dans Mathieu
24, lorsqu’Il enseignait ses disciples sur son Avènement nous
a laissées:
37
Ce qui arriva du temps de Noé arrivera de même à l’avènement
du Fils de l’homme.
38
Car, dans les jours qui précédèrent le déluge, les hommes
mangeaient et buvaient, se mariaient et mariaient leurs enfants,
jusqu’au jour où Noé entra dans l’arche ;
39
et ils ne se doutèrent de rien, jusqu’à ce que le déluge
vînt et les emportât tous : il en sera de même à l’avènement
du Fils de l’homme.
40
Alors, de deux hommes qui seront dans un champ, l’un sera
pris et l’autre laissé ;
41
de deux femmes qui moudront à la meule, l’une sera prise et
l’autre laissée.
42
Veillez donc, puisque vous ne savez pas quel jour votre
Seigneur viendra.
Revenons
à notre responsabilité pour nos familles. Il nous a donné, par les
promesses de Sa Parole, les ‘’matériaux’’ nécessaires pour
construire notre arche. Nous avons des promesses formelles.
Nous devons nous emparer de ces promesses par la foi et
construire cette arche qui sauvera nos enfants, et nos familles.
C’est la foi en la
justice de Dieu.
Jésus
n’a-t-Il pas dit : ‘’Mais
quand le Fils de l’homme viendra, trouvera-t-Il la foi sur la
terre ?’’ Nous
trouvons cela dans la parabole du juge inique et de la veuve.
Celle-ci réclame ‘’justice
sur son adversaire.’’ C’est
la parabole qui se trouve dans l’Evangile de Luc au chapitre
dix-huit. Cette veuve a obtenu ce qu’elle demandait car
elle réclamait la justice sur son adversaire. Nous
devons demander, nous aussi, la justice sur notre adversaire pour nos
enfants, justice fondée sur les promesses de Dieu. Le Seigneur a
donné des promesses formelles pour nos enfants. Ces promesses sont
l’expression de la justice de Dieu sur eux. Lisons quelques-une de
ces promesses :
4
Tu ne te feras point d’image taillée, ni de représentation
quelconque des choses qui sont en haut dans les cieux, qui sont en
bas sur la terre, et qui sont dans les eaux plus bas que la terre.
5
Tu ne te prosterneras point devant elles, et tu ne les serviras
point ; car moi, l’Eternel, ton Dieu, je suis un Dieu jaloux,
qui punis l’iniquité des pères sur les enfants jusqu’à la
troisième et la quatrième génération de ceux qui me haïssent,
6 et
qui fais miséricorde jusqu’à mille générations à ceux qui
m’aiment et qui gardent mes commandements.
(Exode 20)
25
Oui, dit l’Eternel, la capture du puissant lui sera enlevée,
Et le butin du tyran lui échappera ; Je combattrai tes
ennemis, Et je sauverai tes fils. (Esaïe 49)
17
Mais la bonté de l’Eternel dure à jamais pour ceux qui le
craignent, Et sa miséricorde pour les enfants de leurs
enfants,
18
Pour ceux qui gardent son alliance, Et se souviennent de ses
commandements afin de les accomplir. (Psaume 103)
26
Celui qui craint l’Eternel possède un appui ferme, Et
ses enfants ont un refuge auprès de lui. (Proverbes 14)
Ces
promesses, qui sont oui en Jésus-Christ, font partie des
‘’matériaux’’ que le Seigneur a donné pour construire notre
arche pour le salut de notre famille. Il est bien évident que seul
le Seigneur sauve. Nous pouvons lire dans la première épître
de Paul aux Corinthiens cette parole étrange : ‘’Je
me fais tout à tous, afin d’en sauver de toute manière
quelques-uns’’ (1Corinthiens 9.22) Paul
a toujours affirmé que seul le Seigneur sauve. Dans ce passage, il
s’était tellement identifié à ce salut qu’il pouvait écrire
cela. Le salut faisait partie intégrante de sa personnalité. C’est
un exemple pour nous. N’as-t-il pas exhorté ses lecteurs en leur
écrivant : ‘’Soyez mes imitateurs comme je le suis moi-même
de Christ.’’ Puissions-nous avoir cette même démarche !
Nous
avons une grande responsabilité. Notre vie doit être en accord avec
notre Dieu. Elle doit être une vie de sanctification et nous pouvons
réclamer le droit, la justice de Dieu sur nos enfants. Dieu ne ment
pas ! Nous pouvons ‘’construire’’ l’arche du salut de
nos enfants en ayant foi en Sa justice que sont ces promesses de
notre Dieu. Nous pouvons sans cesse réclamer cette justice de Dieu,
comme l’enseigne le Seigneur dans cette parabole du juge inique. Ce
ne sont pas de vaines redites, mais le plaidoyer auprès du Seigneur
pour la manifestation de Sa justice sur les personnes et les
situations pour lesquelles nous L’invoquons. Il nous y exhorte par
cette parabole !
Il
y a bien d’autres promesses dans la Parole. Que l’Esprit nous
guide afin d’avoir cette persévérance comme la veuve pour que le
droit de Dieu s’établisse sur nos enfants, nos familles pour leur
salut.
Jésus
a affirmé dans Jean 14 :
13
et tout ce que vous demanderez en mon nom, je le ferai, afin
que le Père soit glorifié dans le Fils.
14
Si vous demandez quelque chose en mon nom, je le ferai.
Cette
promesse est l’effet de la justice de Dieu. Cette promesse formelle
du Seigneur nous établit sur une base solide pour demander. Notre
vie sanctifiée nous permet de nous approcher de Dieu le Père, par
les mérites de Christ. Si nous sommes réellement en Sa présence,
nous ne pouvons demander que selon Sa volonté. Si nous recevons ce
que nous avons demandé (afin que la justice de Dieu soit manifestée
dans notre demande) nous
glorifions le Père DANS le Fils, nous
recevons l’exaucement et la justice
sanctifie Dieu.
(Esaïe 5.16) Cette méditation a pour objet les promesses liés
à nos enfants, mais bien sûr, nous pouvons élargir ce principe
spirituel à tous les sujets que nous avons sur le cœur.
Comme
Noé, nous sommes avertis que de gros nuages s’amoncellent sur le
monde entier et que le jugement de Dieu devient imminent. Nous en
voyons les prémices avec tout ce qui se passe en ce moment sur la
terre. Je crois que la mesure va bientôt arriver à son comble et
que Dieu va se manifester par Son Fils pour le salut de ceux qui
l’attendent et pour le jugement des nations.
La
condition nécessaire et essentielle pour recevoir les promesses de
Dieu dépend aussi de notre vie. C’est la condition mentionnée
dans le verset 6 d’Exode 20 :
‘’et
qui fais miséricorde jusqu’à mille générations à ceux
qui m’aiment et qui gardent mes commandements’’
Jésus
a expliqué comment L’aimer et aimer le Père :
« SI
quelqu’un m’aime, il gardera ma parole et mon Père
l’aimera…..Celui qui ne m’aime pas, ne garde pas mes paroles… »
(Jean 14.23-24)
C’est
très clair, nous devons garder la parole du Seigneur. Garder la
parole ou les paroles, signifie simplement vivre en obéissant à ce
qu’Il nous demande. Une vie conforme à ses commandements pour une
vie sanctifiée. Le Nouveau Testament foisonne de ces exhortations.
Que chacun d’entre nous puisse examiner sa vie et la conformer à
la Parole. Les promesses sont pour ceux qui lui obéissent !
Je
crois que nous ne pouvons aller guère plus loin dans la
désobéissance de l’homme. Le monde entier part à la
dérive. Esaïe écrit au chapitre 5 de sa prophétie (il s’agit du
peuple de Dieu, mais c’est valable pour toutes les nations) :
8
Malheur à ceux qui ajoutent maison à maison, Et qui joignent
champ à champ, Jusqu’à ce qu’il n’y ait plus d’espace, Et
qu’ils habitent seuls au milieu du pays !
9
Voici ce que m’a révélé l’Eternel des armées:
Certainement, ces maisons nombreuses seront dévastées, Ces grandes
et belles maisons n’auront plus d’habitants.
Nous
voyons les grands de ce monde qui s’enrichissent de plus en plus,
prennent pour eux ce qu’il y a de meilleur. Ils laissent les
petites gens vivre dans le dénuement et la misère, malgré
l’accumulation de ces richesses. Des peuples souffrent de la
famine, de toutes sortes de plaies. L’homme a la capacité de venir
en aide à ces populations, mais il ne le fait pas. Il y a des
délibérations, des assemblées qui se réunissent pour examiner ces
problèmes, mais rien de concret ne sort de ces assemblées. Seules
les O.N.G. essaient d’agir de leur mieux sur le terrain. Heureux
ces artisans de paix ! Que ceux-ci soient tous filles et fils de
Dieu. Cette bénédiction est sur leur vie, par la justice de Dieu
qui le déclare.
Dans
nos pays dits ‘’développés’’, les quelques-uns qui ont des
biens, ceux appelés ‘’la classe moyenne’’ sont
pressés par toutes sortes de taxes et de lois contraignantes.
Ils glissent doucement vers la pauvreté.
Malheur
à ces riches injustes déclare l’Eternel par la bouche du
prophète. Malheur à leurs biens et à leur famille !
11
Malheur à ceux qui de bon matin courent après les boissons
enivrantes, et qui bien avant dans la nuit Sont échauffés par le
vin !
12
La harpe et le luth, le tambourin, la flûte et le vin, animent
leurs festins ; Mais ils ne prennent point garde à l’œuvre
de l’Eternel, Et ils ne voient point le travail de ses mains.
Nous
avons la description de tous ceux qui ne pensent qu’à s’amuser
en vivant dans toutes sortes de perversions, de désordres moraux, de
vies dissolues, etc. Ils ne voient pas les prémices de la fin de
cette dispensation, le jugement poindre sur eux.
Nous
devons prendre très au sérieux ce qui se passe en ce moment dans le
monde, car le Seigneur nous a exhortés à ne pas nous endormir ou
avoir une vie contraire à Sa volonté. Ces avertissements devraient
nous donner un regain de zèle pour chercher la Face du Seigneur afin
de ne pas, nous aussi, nous refroidir, voire nous endormir.
Le
Seigneur a prophétisé sur son peuple par Esaïe (chapitre 5) des
choses terribles. Le Seigneur Jésus a subi le jugement qui devait
tomber sur nos vies, car nous étions, nous aussi, comme Son peuple,
sous la malédiction de Dieu à cause de nos vies. Nous n’étions
pas meilleurs qu’Israël, Son peuple et nous méritions, le
châtiment décrit dans les prophètes et dans toute la Bible. Jésus
a été fait malédiction pour nous. Il a pris notre condamnation et
l’expiée sur la Croix. Lisons ce passage du prophète
13
C’est pourquoi mon peuple sera soudain emmené captif ;
Sa noblesse mourra de faim, Et sa multitude sera desséchée par la
soif.
14
C’est pourquoi le séjour des morts ouvre sa bouche, élargit
sa gueule outre mesure ; Alors descendent la magnificence et la
richesse de Sion, Et sa foule bruyante et joyeuse.
15
Les petits seront abattus, les grands seront humiliés, Et les
regards des hautains seront abaissés.
16
L’Eternel des armées sera élevé par le jugement, Et le
Dieu saint sera sanctifié par la justice.
17
Des brebis paîtront comme sur leur pâturage, Et des étrangers
dévoreront les possessions ruinées des riches.
18
Malheur à ceux qui tirent l’iniquité avec les cordes du
vice, Et le péché comme avec les traits d’un char,
19
Et qui disent : Qu’il hâte, qu’il accélère son
œuvre, Afin que nous la voyions ! Que le décret du Saint
d’Israël arrive et s’exécute, Afin que nous le connaissions !
20
Malheur à ceux qui appellent le mal bien, et le bien mal, Qui
changent les ténèbres en lumière, et la lumière en ténèbres,
Qui changent l’amertume en douceur, et la douceur en amertume !
21
Malheur à ceux qui sont sages à leurs yeux, Et qui se croient
intelligents !
22
Malheur à ceux qui ont de la bravoure pour boire du vin, Et de
la vaillance pour mêler des liqueurs fortes ;
23
Qui justifient le coupable pour un présent, Et enlèvent aux
innocents leurs droits !
Ces
malédictions sont sur le monde actuellement avec bien d’autres
décrites dans tout le Livre saint, la Bible. Soyons des disciples
accomplis afin de permettre à nos bien-aimés de passer à travers
ce jugement en construisant notre arche !
J’ai
le sentiment de n’avoir fait qu’effleurer ce vaste sujet. Je suis
persuadé que chacun peut trouver des tas d’encouragements et de
promesses issus de la justice de Dieu pour se tenir devant le
Seigneur et plaider afin que cette justice de Dieu s’établisse sur
les situations pour lesquelles nous Le prions.
J’ai
pris l’exemple de nos familles, mais dans toutes situations que
nous présentons au Seigneur, il a la volonté que Sa justice se
manifeste à salut, mais aussi à jugement. Si nous réclamons cette
justice, Il ne peut que nous entendre et répondre favorablement :
6
Le Seigneur ajouta : Entendez ce que dit le juge inique.
7
Et Dieu ne fera–t–il pas justice à ses élus, qui
crient à lui jour et nuit, et tardera–t–il à leur égard ?
8
Je vous le dis, il leur fera promptement justice. Mais,
quand le Fils de l'homme viendra, trouvera–t–il la foi (Luc
18)
Je
termine par cette promesse formelle du Seigneur, mais aussi
avec cette interrogation :
« Mais,
quand le Fils de l'homme viendra, trouvera–t–il la foi ? »
Dans le contexte, il s’agit, bien sûr, de la foi en la justice de
Dieu.
L’Eternel
des armées sera élevé
par le jugement,
Et le Dieu saint sera sanctifié par la justice.(Esaïe 5.16)
Jésus
a été élevé par le jugement de Dieu sur l’homme. Le Dieu saint
a été sanctifié par la justice accomplie à la croix. C’est le
départ et l’arrivée de tout ce qui est de Dieu :
LA CROIX DU CALVAIRE !
Notre Dieu est vraiment, vraiment merveilleux ! Son amour dépasse tout ce que l’homme peut imaginer ! Ce supplice ignoble, cette croix à laquelle on pendait les condamnés a été l’instrument entre les mains de Dieu pour que le jugement qui est tombé sur le Seigneur élève l’Eternel des armées par ce jugement ! Que c'st beau ! ADORONS!!
jcb
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