1 Après cela, Jésus
parcourait la Galilée, car il ne voulait pas séjourner en Judée, parce que
les Juifs cherchaient à le faire mourir.
2 Or, la fête des Juifs, la
fête des Tabernacles, était proche.
3 Et ses frères lui dirent: Pars d’ici, et va en Judée, afin que tes disciples voient aussi les œuvres que tu fais.4 Personne n'agit en secret, lorsqu'il désire paraître : si tu fais ces choses, montre–toi toi–même au monde.
5 Car ses frères non plus ne croyaient pas en lui.6 Jésus leur dit : Mon temps n’est pas encore venu, mais votre temps est toujours prêt. (Jean 7)
Cette parole du
Seigneur, verset 6, adressée à Ses frères est
surprenante, car après les avoir laissé partir sans Lui à cette fête, Il
y est monté avec Ses disciples, ‘’comme en secret’’ (verset 10.) Nous savons
que le Seigneur n’agissait que sur l’ordre de Son Père. Il nous a, à plusieurs
reprises, affirmé cette dépendance, cette soumission à Son Père. Il ne pouvait
rien faire de Lui-même mais seulement ce qu’Il voyait faire au Père et tout ce
que le Père faisait, Lui aussi, le faisait. (Jean 5.19)
Nous avons par
cette confrontation entre Jésus et Ses frères la richesse d’un enseignement
fondamental pour notre vie chrétienne : ‘’Reconnaître le temps opportun
pour obéir à la volonté du Seigneur et sonder les motivations profondes de nos
cœurs.’’
Nous savons que
les Juifs pieux étaient assidus aux fêtes et sauf un empêchement majeur, ils ne
manquaient jamais de se rendre à Jérusalem pour obéir à la loi de l’Éternel en
les célébrant. Nous sommes dans ce contexte particulier. Jésus devait célébrer
cette fête afin d’obéir à la loi. Donc, Il doit monter au Temple avec Ses
disciples. Ses frères en profitent pour le provoquer par ces paroles que Jean
rapporte ici :
‘’Pars
d’ici, et va en Judée, afin que tes disciples voient aussi les œuvres que tu
fais. Personne n'agit en secret, lorsqu'il désire paraître : si tu fais
ces choses, montre-toi toi-même au monde’’
Le Seigneur ne
pouvait pas suivre Ses frères pour monter ensemble à Jérusalem. Il n’était pas question, dans leur esprit,
comme motivation première de célébrer cette fête mais de provoquer le Seigneur ‘’afin que les disciples
voient les œuvres qu’Il fait !’' Obéir à ses frères était impossible pour
le Seigneur car leur motivation était mauvaise : Se ‘’glorifier’’ par Ses
œuvres ! La fête des Huttes n’était qu’un prétexte donné par ceux-ci.
Nous pouvons contempler la gloire morale de notre Seigneur, car Il les laisse
partir en attendant le moment choisi par le Père pour monter, avec Ses
disciples, à cette fête.
Souvent, nous
connaissons la volonté du Seigneur à notre sujet. Nous savons ce qu’Il nous
demande et nous fonçons. Il arrive ainsi que ce qui, au départ était la volonté
de Dieu, devienne un ‘’flop’’ car nous n’avons pas su attendre la petite voix
du Saint-Esprit nous dire : ‘’Va !’’ Et nous désobéissons !
Connaître la volonté de Dieu ne suffit pas. Nous devons attendre le feu vert du
Seigneur pour agir. Il faut que les circonstances se mettent en place et confirment
que c’est le moment d’agir. Nous devons aussi et surtout vérifier que nous
sommes, dans notre action, en accord avec la Parole ! C’est le critère des critères ! Si
nous avons un doute, il est préférable d’attendre une profonde conviction, en
accord avec la Parole pour agir.
Dans le cas qui
nous occupe, la volonté de Dieu pour Jésus et Ses disciples était clairement
établie par la loi. Les circonstances n’étaient pas favorables à cause de
l’attitude des frères du Seigneur. Ceux-ci désiraient qu’Il se manifeste ‘’au
monde’’ à ceux qui écoutaient et suivaient Son enseignement pour que ceux-ci
‘’Le contemplent’’ ! Ils disaient cela ‘’parce que Ses frères non plus
ne croyaient pas en Lui,'’ écrit Jean. Ils Le provoquaient en essayant de
Le convaincre, avec pour seul objectif qu’Il soit confus. Les circonstances
n’étaient pas favorables pour que le Seigneur parte avec Ses disciples à cette
fête, en suivant Ses frères car le motif dans ce cas était la gloire volée au
Père pour Lui-même. C’était un piège ! Puis, les frères du Seigneur montent
à Jérusalem, sans Jésus et Ses disciples. Lorsque le Père a donné Son
assentiment, eux aussi sont partis à la
fête,’’comme en secret’’.
Nous trouvons
notre Seigneur Jésus à la fête, ‘’comme en secret’’. Les Juifs le cherchaient,
mais Lui et Ses disciples ne se sont présenté au Temple que le quatrième jour
de la fête, au milieu de la fête. La fête durait sept jours plus un huitième jour. Là aussi, le Seigneur a obéi au Père. Il n’y a
pas assisté les trois premiers jours étant soumis au Père. Il a attendu le
temps de Dieu pour agir ! Il était monté à la fête pour la célébrer. Ce
n’est qu’au milieu de la fête qu’ils ont pu enfin se rendre au Temple.
La fête des Huttes commençait le quinzième jour du septième mois et durait une semaine pleine. Puis, le huitième jour avait lieu une ‘’sainte convocation pour offrir des sacrifices consumés par le feu et glorifier l’Éternel. Ce huitième jour ‘’sera une cérémonie solennelle’’ (Lévitique 23.36) Le huitième jour était le dernier.
La fête des Huttes commençait le quinzième jour du septième mois et durait une semaine pleine. Puis, le huitième jour avait lieu une ‘’sainte convocation pour offrir des sacrifices consumés par le feu et glorifier l’Éternel. Ce huitième jour ‘’sera une cérémonie solennelle’’ (Lévitique 23.36) Le huitième jour était le dernier.
L’Éternel a
ajouté un huitième jour pour clore cette fête des Huttes. Dans la Bible, le chiffre huit représente
clairement un recommencement ou un nouveau cycle. La circoncision se pratique le
huitième jour. Elle représente l'alliance avec le Seigneur et l’entrée du
circoncis dans la vie de la communauté. Nous avons un exemple dans le deuxième
livre de Samuel (12.13.25.) Le fils de David et BathChéba meurt le septième
jour, juste avant le jour de la circoncision.
Le chiffre huit
est composé de 7+1. Sept symbolise ce qui est complet, c’est le chiffre de
Dieu. Le chiffre 1 représente un commencement, quelque chose d’entièrement nouveau.
Lorsque Dieu a détruit toute personne sur la terre par le déluge, Il a épargné huit âmes pour repeupler le monde (Noé, sa femme, ses trois fils avec leurs femmes.) Ces huit sont passés à travers la colère de Dieu manifestée en jugement. Ils ont vécu une sorte de résurrection car ils ont survécu à ce jugement de Dieu sur la terre. Nous pouvons affirmer que huit est le chiffre qui symbolise la résurrection, car le Seigneur est ressuscité le premier jour de la semaine, ce fameux huitième jour. Pour nous cela représente la vie de résurrection que le Seigneur nous a gracieusement offert par le Saint-Esprit vivant, habitant en nous.
Lorsque Dieu a détruit toute personne sur la terre par le déluge, Il a épargné huit âmes pour repeupler le monde (Noé, sa femme, ses trois fils avec leurs femmes.) Ces huit sont passés à travers la colère de Dieu manifestée en jugement. Ils ont vécu une sorte de résurrection car ils ont survécu à ce jugement de Dieu sur la terre. Nous pouvons affirmer que huit est le chiffre qui symbolise la résurrection, car le Seigneur est ressuscité le premier jour de la semaine, ce fameux huitième jour. Pour nous cela représente la vie de résurrection que le Seigneur nous a gracieusement offert par le Saint-Esprit vivant, habitant en nous.
Jésus est
ressuscité ce huitième jour, le premier jour de la semaine. Ce même jour, Il
s’est présenté à Ses disciples (Jean 20.19.) Ce jour-là, Il a soufflé sur eux
en disant : ‘’Recevez l’Esprit Saint !’’' Comme Thomas était
absent la première fois, Jésus est apparu une seconde fois le huitième jour
après Sa résurrection (Jean 20.26.) Ces deux visites à Ses apôtres
symbolisent le témoignage de Sa résurrection.
C’est ce
huitième jour, le dernier jour de la fête que le Seigneur a proclamé :
37 ……… Si quelqu’un a soif,
qu’il vienne à moi, et qu’il boive !
38 Celui qui croit en
moi, des fleuves d’eau vive couleront de son sein, comme dit l’Écriture.
39 Il dit cela de l’Esprit
que devaient recevoir ceux qui croiraient en lui ; car l’Esprit n’était
pas encore, parce que Jésus n’avait pas encore été glorifié.
Il annonçait
ainsi le huitième jour, celui de Sa résurrection, (le premier jour de la semaine)
qui inaugurerait une nouvelle alliance, l’alliance de la croix, du pardon des
péchés, de la vie éternelle et de cette communion avec notre Dieu et Père par
le Saint-Esprit habitant en chaque croyant. C’est l’accomplissement de la
parole adressée au prophète Jérémie que nous trouvons au chapitre 31 de sa
prophétie et dans Hébreux chapitre 8 et 10.16-18.
Pour revenir à
notre méditation, nous contemplons notre Seigneur obéir au Père, être frustré
d’une partie de cette fête. Il a enseigné et a confondu les Juifs par cet
enseignement ‘’qui ne venait pas de Lui mais de Celui qui l’a envoyé !’’
Par cet enseignement, je suis persuadé qu’Il préparait les cœurs à recevoir
cette parole du dernier jour de la fête. La gloire manifestée par ces paroles
aux versets 37 à 39 a interpellé les gens. Comme chaque fois, il y avait ceux
qui acceptaient et ceux qui refusaient cette parole du huitième jour ! Il
a eu la puissance de cette parole par l’obéissance inconditionnelle qui le
liait à Son Père. Nous sommes au bénéfice de cette obéissance !
Notre Seigneur
est merveilleux ! Il a obéi au Père et personne n’est resté indifférent à
Sa parole ! Oui ! Il est vraiment merveilleux !
Nous avons un
autre exemple qui nous parle de ce temps de Dieu pour nos vies. Examinons Luc
au chapitre 1 et ce qui est écrit au sujet de Zacharie, le sacrificateur et sa
femme Élisabeth. Nous trouvons cette histoire du verset 5 au verset 25.
Luc nous
présente un couple, tous deux issus de la famille d’Aaron. Il écrit à leur sujet qu’ils étaient :
justes devant Dieu en suivant d’une manière
irréprochable tous les commandements et les ordonnances du Seigneur.’’ (Luc
1.6) …..Mais, ils n’avaient pas d’enfants, parce qu'Élisabeth était
stérile, et ils étaient l’un et l’autre d’un âge avancé.’’
Nous savons que
selon la loi, des promesses étaient sur la vie de ces couples qui étaient comme eux
obéissants et scrupuleux pour ne pas l’enfreindre. Lisons les promesses du
Psaume 128 :
1 Heureux tout homme qui craint l’Éternel, Qui marche dans ses
voies !
2 Tu jouis alors du travail de tes mains, Tu es heureux, tu
prospères.
3 Ta femme est comme une
vigne féconde Dans l’intérieur de ta maison ; Tes fils sont comme des
plants d’olivier, Autour de ta table.
4 C’est ainsi qu’est béni L’homme qui craint l’Éternel.
5 L’Éternel te bénira de Sion, Et tu verras le bonheur de Jérusalem
Tous les jours de ta vie ;
6 Tu verras les fils de tes fils. Que la paix soit sur Israël !
Voilà un
couple qui suit scrupuleusement la loi de l’Éternel et qui ne reçoit pas les
promesses que le Seigneur donne pour ceux qui lui obéissent. C’est un couple
qui était sûrement dans une continuelle tristesse car malgré leur obéissance
ils restaient seuls, sans enfants. Nous savons aussi que c’était très difficile
de vivre une situation pareille vis-à-vis de leurs amis et voisins. On pouvait
penser que ce couple se trouvait sous une malédiction, un juste jugement venant de
l’Éternel et qu'ainsi, le Seigneur avait rendu stérile Élisabeth..
Zacharie, sa
femme sûrement avec lui, malgré tout, persévérait dans sa demande auprès de
l’Éternel afin d’avoir cette postérité promise par la loi. Le temps de Dieu
n’était pas encore là pour ce couple. Pendant son service dans le Lieu-Saint,
l’ange Gabriel lui apparaît et nous connaissons la suite.
Lorsque l’ange
lui décrit comment sera ce fils tellement désiré, je suis persuadé qu’il
énumère ce que Zacharie devait demander dans ses prières : un fils
consacré au service de Dieu. Par ce fils, Dieu va ramener les cœurs des
pères vers leurs enfants, les rebelles à la sagesse des justes et préparer un peuple bien disposé. Jean,
ce fils tant désiré et demandé, venant de la descendance d’Aaron, était destiné au sacerdoce. L’ange a décrit au
prêtre Zacharie de quelle nature serait le sacerdoce de son fils Jean. C’est
l’accomplissement de la prophétie d’Esaïe 40 et de Malachie 3. Son sacerdoce se passera hors le
Temple !
Ce couple qui
attendait des enfants en reçoit un qui va avoir une postérité spirituelle par
l’accomplissement, de certaines des prophéties de l’Ancien Testament. Au temps de Dieu, les promesses pour ce
vieux couple se sont réalisées à travers Jean et la postérité spirituelle de
celui-ci. Tout s’accomplit au temps de Dieu.
Zacharie a
persévéré mais quand il a eu l’exaucement à sa prière, il a douté !! ‘’A
quoi reconnaîtrais-je cela ? Car je suis vieux et ma femme est d’un âge
avancé !" Notre Dieu est
surprenant dans Sa fidélité aux promesses de Sa parole, tellement surprenant
que Zacharie a douté ! Je pense que beaucoup d'entre nous aurait le même comportement ! Dieu est fidèle !
Regardons un autre exemple de ce temps de Dieu pour le servir.
Lisons quelques versets du livre des Actes au chapitre 16 :
5 Les Églises se
fortifiaient dans la foi, et augmentaient en nombre de jour en jour.
6 Ayant été empêchés par le
Saint–Esprit d'annoncer la parole dans l'Asie, ils traversèrent la Phrygie et
le pays de Galatie.
7 Arrivés près de la Mysie,
ils se disposaient à entrer en Bithynie ; mais l’Esprit de Jésus ne le
leur permit pas.
Paul, Silas et Timothée (que Paul avait pris avec eux à Lystre)
sont en route pour évangéliser. Ils traversent des régions qui forment l’Asie
de l’époque, la Turquie actuelle. Ils sont envoyés par le Seigneur pour
annoncer la bonne nouvelle. Pourtant, le Saint-Esprit leur interdit de prêcher
en Asie. Ils sont dans une partie du monde qui doit entendre cet Évangile, mais
l’Esprit de Jésus ne le leur permet pas. Ils voyagent dans diverses régions qui
n’ont pas reçu cette bonne nouvelle. C’est un voyage de plusieurs centaine de
kilomètres. Ils traversent la Syrie, la Cilicie, la Phrygie, la Galatie.
Arrivés près de la Mysie, ils veulent évangéliser la Bithynie, mais le Seigneur
interdit la visite de cette région. Ils sont toujours en mouvement, mais à part
exhorter des Églises qu’ils rencontrent sur leur route, le Seigneur leur
interdit d’annoncer la parole dans toute l’Asie, qu’ils traversent. Ce n’était
pas le temps de Dieu ! Plusieurs d’entre nous, à leur place, auraient pu
penser que cette opposition était le travail de l’ennemi de nos âmes. Je suis
persuadé que bien d’entre nous auraient insisté et désobéi au Seigneur. Il faut
reconnaître impérativement Sa Voix.
Le Seigneur voulait toucher tous ces territoires d’Asie, mais
le temps n’était pas encore là. Le Seigneur donne une vision à Paul pendant une
nuit et les voilà en route pour la Macédoine. La première ville visitée est
Philippes. Lydie, touchée par la prédication de l’Évangile, se convertit. Elle
ouvre sa maison. C’est la première Église à Philippes. Paul et Silas se sont
retrouvés en prison et par la puissance des prières et de la louange de ces deux frères, le
geôlier se convertit avec sa famille. C’est la deuxième Église qui voit le
jour. Puis, après avoir visité Lydie et ‘’exhorté les frères’’ ils continuent
leur voyage et arrivent à Thessalonique : Nouveaux convertis, nouveaux
déboires ! Les voilà arrivés à Bérée et ‘’beaucoup d’entre eux
crurent.’’ Paul se retrouve à Athènes,
puis nous le voyons à Corinthe où il séjourne un an et six mois.
Puis, Paul retourne à Antioche et ‘’demeura là assez longtemps."
Ensuite, il repart en voyage missionnaire et il arrive à Éphèse. Nous sommes au
chapitre 19 des Actes :
8 Ensuite Paul entra dans la
synagogue, où il parla librement. Pendant trois mois, il discourut sur les
choses qui concernent le royaume de Dieu, s’efforçant de persuader ceux qui
l’écoutaient.
9 Mais, comme quelques–uns
restaient endurcis et incrédules, décriant devant la multitude la voie du
Seigneur, il se retira d'eux, sépara les disciples, et enseigna chaque jour
dans l'école d'un nommé Tyrannus.
10 Cela dura deux ans, de sorte que tous ceux qui habitaient
l’Asie, Juifs et Grecs, entendirent la parole du Seigneur.
Paul a pu évangéliser l’Asie, Juifs et Grecs, à partir de
l’école de Tyrannus. Ce sont les gens de l’Asie qui sont venus vers lui. Il n’a
pas eu à arpenter tout ce vaste pays. C’était le temps de Dieu ! Ces
choses ont été écrites pour nous permettre de suivre la trace de ces hommes de
foi que le Seigneur a suscités. Ils sont des exemples d’obéissance et un
encouragement à chercher la volonté de Dieu afin d’être efficaces et féconds
dans notre service….. au temps de Dieu !
Nous pourrions aussi citer le cas d'Abram qui reçut la promesse d'un fils en Genèse 15, puis au chapitre 17 Dieu va changer son nom en Abraham et il aura ce fils 1 an après! Il a eu ce fils au temps de Dieu et de façon miraculeuse!
David a épargné Saül deux fois, alors qu'il a eu l’opportunité de le tuer d'abord dans la caverne d'En-Guédi (1 Samuel 24), puis dans le camp de Saül pendant son sommeil (1 Samuel 26). David aurai pu pensé comme ses hommes dans la caverne ou comme Abichaï dans le camp que le Seigneur livrait Saül entre ses mains pour l'éliminer et ainsi accéder au trône promis. Il a dit non!
Les circonstances sont parfois trompeuses! Il faut le temps de Dieu!
jcb